Gabriel Garcia Marquez

Saga familiale sur cent années, entre amours consanguins, entreprises ruineuses et projets avortés sur fond de révolution. Une malédiction plane sur les protagonistes de cette histoire foisonnante dans laquelle vivent en harmonie morts et vivants. L'écriture est luxuriante comme, imagine-t-on, la végétation qui entoure le village de Macondo et le rire côtoie le drame à chaque page. Ce livre est à déconseiller à tous ceux qui ne croient pas au merveilleux et aux enfants à queue de cochon.

J'avais ce livre dans ma PAL depuis des années et je suis heureuse d'avoir enfin lu ce chef d'oeuvre, car pour moi il s'agit bel et bien d'un chef d'oeuvre.

C'est un roman de pur réalisme merveilleux, un genre que j'aime beaucoup. A chaque chapitre il se passe un évènement cocasse qui m'a fait rire ou m'a émut.

Je me suis très vite attachée à cette famille Buendia que l'on suit sur plusieurs générations, à ses membres tous aussi loufoques les uns que les autres.

Je peux comprendre que certains ont du mal surtout avec les nombreux personnages et les prénoms identiques mais c'est vraiment un livre qu'il faut lire, tellement il nous fait voyager.

Surprenant dans les premières pages, ce livre devient très vite envoutant. Plein de fantasmagories, d'espoirs et de désespoirs, le récit mêle plus qu'habilement réel et surnaturel. On vit les décennies avec la famille Buendia dans ce village de Macondo. Les textes sont incroyables tant ils tournent et retournent pour n'oublier aucun membre de la famille et la moindre petite allusion à un évènement au début du livre se vérifie par la suite et souvent de manière très subtile. J'avais un peu peur de commencer ce livre pour le peu que j'en connaissais, je pensais ne pas accrocher et pourtant... Sacré lecture!

magnifique

Ouvrage surréaliste. J'ai aimé et puis la perplexité m'a saisie...?

C'est mon petit frère qui, ayant lu ce livre, me le recommanda avec tellement de passion et d'intensité que je le lus d'une traite.

Comment dire?

Magnétisé, hypnotisé, emmené, entraîné... Je fus tout cela lorsque la lecture de Cent ans de solitude m'absorba et me digéra tout cru jusqu' à la toute dernière phrase!

Le souffle épique de Garcia Marquez et des Buendia, m'avait emporté dans un monde nouveau que j'étais stupéfait et enchanté de découvrir.

Bon, j'étais jeune... mais tout de même, quand même!

Cent ans de Solitude, réellement, m'a fait découvrir...autre chose.

Bien. Il va être temps pour moi de le relire.

Incontournable saga-fable où l'extraordinaire côtoie le casi surnaturel dans un cadre foisonnant de personnages plus pittoresques les uns que les autres.

L'une de mes plus belles lectures (2 fois).

150 Pages et je ne dis pas que c'est mal écrit, au contraire, quelle belle littérature mais pour l'histoire entre la narration de l'histoire de la famille Buendia, qui fondèrent un village de Macondo qui oscille entre réel, magie et surnaturel, les personnages qui portent, presque les même prénoms, je ne me suis pas laissée embarquer. Pourtant je l'avais repéré dans la liste des 100 livres à lire avant de mourir et bien pour moi il y aura un manque..... J'en ai d'autres sur ma liste et j'espère que pour les autres je ne serais pas déçue et aussi enthousiaste que les autres .....
Lien : http://mumudanslebocage.cana..

Le chef d'oeuvre absolu. Pas dormi pendant deux jours après l'avoir fini.

Avec Cent ans de solitude, vous partez en voyage dans univers parfumé, coloré et fantastique avec une famille extraordinaire.

Un gros bouquin qui vous parle de politique de croyances de religion. Un petit bijou de littérature qui ne vous laissera certainement pas indifférents.

Fan d'Isabelle Alliende, je viens de lire son père "d'écriture". Ce roman est... coloré !

Livre dont la lecture n'est pas forcément aisé. Il y a beaucoup de personnage qui ont le même nom ce qui fait que l'on a tendance à se perdre. Je vous conseille d'avoir un arbre généalogique à coté. L'écriture est quand à elle assez belle et plaisante.

Roman foisonnant, qui retrace le destin d'une famille sur des générations, avec le surgissement du surréalisme souvent, quand on ne s'y attend pas, comme cet homme toujours accompagné d'une nuée de papillons, comme les résurrections de Melquiades ou l'épiphanie de Remedios la Belle.
Lien : http://edencash.forumactif.o..

Je savais qu'il fallait que je lise cet auteur. Je savais sans l'avoir lu que j'allais découvrir quelque chose que l'on se doit de ne pas louper dans sa vie et bien sur cela c'est confirmé.

Maintenant des années que j'ai lu ce livre, pourtant mon imagination ressent tout de suite les souvenirs d'atmosphères. Ces jours, voir ces années sans que la pluie ne s'arrête. Transformant les maisons terrestres en maisons presque aquatiques, vaseuses en tout cas. Des impressions qui restent à jamais inscrites dans notre esprit. Un livre référence sans nul tout, qui donne tant de matière à réflexion! A ne surtout pas manquer!!

Tout a commencé avec ce livre! Je l'ai lu au secondaire il y a longtemps et il a déterminé le choix de mes études. C'est l'unique livre que j'ai relu. Je suis d'avis qu'il y a tant de livres intéressants à lire que je n'ai pas le temps de relire un livre. Je l'ai lu d'abord en néerlandais et plus tard en espagnol. Et la passion est restée. C'est un monument de la littérature mondiale du XXième siècle. Un incontournable.

épique, onirique, envoutant

un genre de murakami a la sauce colombienne

un must!

LABORIEUX : mon avis va encore une fois détonner par rapport aux autres lecteurs, mais je n'ai vraiment pas aimé cette histoire, ni les personnages mis à part peut être Ursula. L'histoire a manqué totalement d'intérêt à mes yeux, et les personnages qui finissent par devenir fous à cause des multiples union consanguines, qui se complaisent dans l'adultère, l'inceste et même la pédophilie, ne m'ont pas plu du tout. Je suis parvenue à lire ce livre jusqu'à la fin mais que ça a été difficile.

Un roman extraordinaire, foisonnant, où le merveilleux et l'humour nous entraînent dans une saga familiale en Amérique du sud.

tout simplement l'un des plus beaux livres jamais écrit. Une anecdote : Alexandre Gritschouk, joueur d'échecs russes, qui n'arrivait pas à gagner une seule partie lors du championnat du monde d'échecs l'a cité en disant qu'il se sentait comme le héros du roman, incapable de faire plier le destin.

Le bien membré José Arcadio, abandonnant son nouveau né Arcadio à son père José Arcadio Buendia quitta son hameau de Macondo en compagnie des gitans, ne pensant jamais y revenir, de même que je ne pense pas revenir à la prose de Marquez...



Cet empilement baroque, sans finesse et sans chaleur, d'histoires d'amour, de consanguinité, de compagnies bananières, de pots de chambres, de révolutions libérales et syndicales avec leur cortège de tyrans et de morts violentes ne m'a pas séduit.