Gary Devon

Henry Lee Slater est le maire d’une ville en Californie, cet homme a des désirs sexuels particulier, il aime les jeunes filles, tout abjecte qu’il est, il va vouloir supprimer tous les obstacles qui vont le gêner dans son exercice du pouvoir. L’écriture n’est pas super, elle est même très banale et l’intrigue manque de profondeur, je n’ai pas aimé cette lecture. Slater n’est pas un bon personnage principal car je ne m’identifie pas à lui, ni à ses victimes, il est horrible avec tout le monde, et va se donner les moyens pour parvenir à ses fins. Conjuguer à ça, l’intrigue est facile à deviner, il lui manque le suspens inhérent à tout thriller qui se respecte.

En bref, l’écriture laisse à désirer, et s’il n’avait pas été court, je l’aurais abandonné en cours de route. Les personnages principaux sont creux et manque de charisme, aucun ne se démarque des autres. Je n’ai rien apprécié dans ce roman en même temps les histoires de pédophilie moi ça me rebute.

Jeune actrice en devenir, Callie se marie avec Malcom qu'elle connait depuis à peine trois mois. Ils ont été condisciples au même collège quelques années auparavant mais elle ne s'en souvient pas. D'ailleurs Malcolm est fort discret sur son passé.



Aucun membre de sa famille, aucun ami pour assister à la cérémonie. Le mariage a lieu chez Emery et Dorothy Hudson, des producteurs qui ont recueilli Callie à la mort de ses parents.



L'humeur de Malcolm est changeante et inquiète la jeune femme qui s'interroge à propos de cette attitude, imputée à la solennité de cette journée particulière. Elle sent que l'entretien que les Hudson accordent à un inconnu trouble son mari. Les jeunes époux échappent à la meute des journalistes en empruntant un canot qui doit les conduire de l'autre côté du lac. Personne ne remarque sous le débarcadère les cadavres égorgés des Hudson.



Ils s'installent à l'hôtel et Callie sent son mari anxieux, nerveux, possédé d'une colère latente. Alors que Malcolm est sorti, elle aperçoit de sa fenêtre un inconnu qui la surveille. Elle pense à un journaliste mais peu après l'homme l'aborde. Il déclare s'appeler Hartwood et être le père de Malcolm. Il lui remet un dossier qu'elle compulse. Composé de coupures de journaux et de photos, ce dossier relate une vieille affaire criminelle. Malcolm y est décrit comme le meurtrier de la secrétaire de son père. Il n'avait que treize ans.







L'intérêt de ce roman réside dans la montée en puissance de l'angoisse, puis de la chute à double détente.



On ne peut s'empêcher de penser au roman de Robert Bloch, Psychose, sans qu'il y ait pourtant corrélation. Simplement l'histoire d'un enfant meurtrier et des affres qui étreignent peu à peu le personnage féminin. Peut-être parce que l'éditeur fait référence au film qu'aurait pu en tirer Hitchcock s'il avait encore été vivant.



Un bon roman qui fera passer une agréable nuit blanche, à défaut d’une nuit de noces.


Lien : http://leslecturesdelonclepa..

bon nous avons un enfant mauvais qui passe son temps à faire souffrir les autres et que sa tentative de suicide ratée va rendre encore pire j'aurais aimé que l'histoire commence avant cet épisode qu'il nous dévoile plus le quotidien de cette famille la routine de cet enfant sadique

ensuite vient l'incendie dans lequel périt toute sa famille sauf sa petite soeur seul être qui trouve grâce à ses yeux

elle se retrouve à l'hôpital blessée et choquée et là entre en scène Léona,une jeune femme qui va la prendre en pitié et décider de la kidnapper pour prendre soin d'elle mais c'est sans compter sur le frère qui veillait sur elle et qui n'est pas prêt de renoncer à elle il va se mettre sur la trace de cette inconnue qui lui a prit la seule personne qu'il a jamais aimé et son parcours sera jonché de cadavres

bon je trouve l'histoire un peu invraisemblable cette jeune femme qui enlève une fillette inconnue sur un coup de tête,un gamin de 12 ans qui séme des cadavres sur sa route sans être inquiété ni blessé,et j'ai trouvé que l'histoire avec les deux autres enfants était de trop

Décevant j’ai attendu tout le livre quelque chose et au final rien de bien croustillant … y’a pas tellement de suspens , l’auteur passe son temps à décrire les émotions des personnages ,c’est l’assant je ne recommande pas c’est vraiment dommage car sur le papier les critiques disait qu’il était intéressant, mais j’ai vraiment passé tout le livre à attendre , et c’est assez frustrant. J’ai continué à le lire pour savoir la fin mais si c’était à refaire, je ne le finirai pas je suis pas trop fan de la manière d’écrire de l’auteur on dirait qu’il fait du remplissage tout le temps à décrire des choses inutiles je sais pas si la traduction a mal été faite, mais parfois des mots ne veut rien dire ou des expressions en soi, c’est pas très grave, mais ça rajoute du négatif sur le tableau déjà bien noir voilà j’espère que vous avez apprécié me lire et courage à tous les lecteurs qui voudront le lire

Lu en Août 2020



Du suspense il y en a ! Une montée en puissance de l'angoisse au fur et à mesure que l'on tourne les pages.

Un bon roman qui fera passer une agréable nuit blanche, à défaut d’une nuit de noces.



Noté 3,5/5



Instagram: visionbykri

Maire de Rio del Palmos, une petite ville californienne, Henry Slater est amoureux. Amoureux fou d’une jeune fille de plus de vingt ans sa cadette.



Il est marié mais sa flamme, son désir auprès de sa femme sont éteints depuis longtemps.



Sheila, la jeune fille qu’il connait depuis l’âge de dix ans et qui en sept ans s’est transformée en adorable adolescente, Sheila lui accapare le cœur et l’esprit. Mais Sheila, si elle est orpheline, vit chez sa grand-mère, Rachel, une vieille dame qui ne s’en laisse guère conter.



Et Henry Slater, l’homme important de la ville, le protecteur de la veuve et l’orphelin, le responsable de la sécurité urbaine, le garant des bonnes mœurs, celui qui doit montrer l’exemple de la justice, de la probité, de la moralité, et qui secrètement brigue de plus hautes fonctions politiques, Henry Slater non seulement s’entiche d’une jeunette mais de plus va louer les services d’un tueur afin d’effacer de son chemin la barrière représentée par la vieille dame inquiète de l’avenir de sa petite fille.



Et le tueur ne réussissant pas à honorer son contrat, c’est lui Henry Slater qui fera le travail, même si pour cela il doit se salir les mains.



Tout est organisé, tout est agencé, pensé, conçu, sauf les soupçons qui effleurent Reeves, le chef de la police, un peu trop présent aux yeux de monsieur le maire.



Quant à Faith, l’épouse délaissée, que va-t-elle penser de tout ça ?



Henry Slater se trouve entraîné dans l’engrenage à cause d’un tout petit grain de sable, d’une silice, d’un diamant.







L’histoire de Désirs inavouables va crescendo malgré une narration en dents de scie.



L’on croit assister à un roman criminel et l’on tombe dans un roman d’amour. L’on pense subir un roman à l’eau de rose et tout s’effrite, tout éclate sous la violence.



La violence de l’amour et du désir, la violence des passions et de la jalousie, la violence des sentiments et des actes. Le tout décrit avec subtilité.



Il est impossible au lecteur de s’arracher à ce roman. Et s’il pressent parfois la suite logique, le déroulement de cette intrigue, il est happé, aspiré dans cette tourmente, cette dégradation et en même temps cette exaltation des sentiments décrite avec beaucoup plus d’angoisse et de pudeur que ne le laisserait supposer le court résumé de la jaquette.



Quant à l’illustration de la couverture, pour une fois elle est d’une simplicité émouvante et suggestive sans agressivité.


Lien : http://leslecturesdelonclepa..

SUPER