Giovanni Verga était au vérisme ce que Zola était au naturalisme mais avec quelques différences, notamment au niveau de l'utilisation de la langue mais aussi d'autres procédés comme l'aspect scientifique cher à Zola et qui sera laissé par Verga au profit d'un apport plus lyrique. L'ensemble des nouvelles de Verga abordent la misère au sens le plus noir possible mais également la fatalité, la mort, la maladie, je pense notamment à Neddà, une de ces nouvelles qui m'a le plus marquée... En revanche, je n'ai pas lu i malavoglia mais je peux très bien ressentir l'ambiance et le style de narration, propre au thème de l'auteur.
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