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Citations de Glenna McReynolds (25)


La dissuasion étant la meilleure forme de défense.
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Les scientifiques qui débarquaient en Amazonie avec leurs diplômes et leurs livres essayaient de comprendre ce monde selon leurs propres règles. Ils n'obéissaient pas à celles de la forêt. Leurs recherches, qui se voulaient rationnelles, ne menaient nulle part, car l'Amazonie possède sa propre logique.
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Le doute n’avait plus de place en elle. Le seul homme qui ait réussi à la capturer lui avait donné son cœur et bouleversé sa vie. Elle avait tenté de s’enfuir, elle avait tenté de se dérober, mais il l’avait toujours rattrapée. En lui offrant sa tendresse, il lui avait fait don du bonheur d’être femme. Lorsqu’elle se sentait vulnérable, il était toujours présent pour la protéger. A ses côtés, elle se sentait prête à affronter le monde entier. Enfin et surtout, il lui avait donné le courage d’aimer et de célébrer dans ses bras l’éternel mystère de l’amour.
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Je n’ai que faire du passé... Ce qui m’intéresse, c’est ce que nous sommes ici et maintenant
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Les premiers mots qui lui venaient à l'esprit pour décrire son visage étaient «douceur», «velouté», «pêche»...
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Ils avaient connu ensemble l’aventure, le danger, les grands espaces et l’amour sous la voûte étoilée des montagnes. Ensemble, ils avaient humé les entêtants parfums de la forêt au printemps et s’étaient empli les poumons du grand air des sommet
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Quand il la regardait, c’était bien de l’amour qui lui serrait le cœur. Il souhaitait se réveiller tous les matins à ses côtés, jouir jusqu’à la dernière de ses nuits des inexprimables plaisirs qu’elle soulevait en lui comme jamais aucune femme ne l’avait fait.
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Le monde de la raison semblait s’éloigner d’elle à la vitesse de la lumière. Les caresses de Walker lui faisaient tourner la tête et se succédaient trop rapidement, trop intensément pour lui permettre de reprendre ses esprits. Quant à son instinct, il réclamait d’autres baisers, d’autres caresses.
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Ce n’est pas parce que vous n’avez pas encore trouvé l’amour de votre vie, cet amour qu’on ne rencontre qu’une fois, qu’il faut renoncer à la vie. Quelquefois, nous avons tous besoin de nous réveiller le matin avec quelqu’un dans notre lit. Quelquefois,nous avons besoin de caresses et de chaleur pour pallier le manque d’amour.
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Le sexe n’a rien de répugnant, Iris, murmura-t-il en lui prenant la main. Il fait partie de la vie. Je mentirais si je vous disais que j’ai toujours su distinguer le sexe des sentiments. Sans doute ai-je brisé un cœur ou deux. Et moi aussi, j’ai eu le cœur brisé. Mais on grandit, on devient adulte et les aspirations changent. Regardez-moi.
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Ce n’est pas en portant les cheveux courts et des bottes trop grandes que vous pourrez m’abuser. Je sais que vous êtes une femme. Une très jolie femme.
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Pour lui, le paradis ne se concevait que dans les bras d’Iris. Il savait qu’il lui fallait à tout prix éviter de tomber amoureux d’une femme comme elle. Et le problème, justement, était qu’il était bel et bien en train de tomber amoureux d’elle.
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Elle ne ressemblait ni à une amazone, ni à une chercheuse de trésor, ni à une femme capable de tirer sur un homme. On aurait presque dit une enfant, une très jolie enfant. Privée du fusil avec lequel elle lui avait tiré dessus, elle paraissait extrêmement vulnérable.
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Son désir lui donnait une lucidité que l’alcool n’avait aucune chance de lui faire perdre, quelle que soit la durée de son attente.
Était-il possible qu’il l’aimât encore comme il l’avait aimée autrefois ? Cela paraissait peu vraisemblable. Ce qui était certain, en revanche, c’était qu’il la désirait avec la même intensité. Elle avait été la seule à lui ouvrir un jour les portes du paradis, et il était décidé à saisir cette chance unique qu’elle pouvait lui donner d’en franchir encore le seuil. Son désarroi s’estompait peu à peu. Il se sentait déjà plus fort que tout à l’heure.
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Rien n’était plus normal que de pleurer lors d’un enterrement, et personne ne soupçonnerait que ses larmes étaient dues à tout autre chose qu’à la perte d’un être cher. En revanche, elle ne pouvait s’abuser elle-même, et la vérité ne laissait pas de l’horrifier : comment pouvait-elle pleurer, au bout de dix ans, pour un simple regard dénué d’expression ? N’avait-elle donc aucune dignité ?
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S’il avait un corps d’homme, puissamment viril, mûr et plein de force, la vulnérabilité qui dansait dans ses prunelles était le miroir de sa jeunesse. Sa douleur était celle d’un enfant, sa passion celle d’un jeune homme incertain d’obtenir ce à quoi il aspirait désespérément. Carl ne cherchait plus à se réfugier derrière le masque d’arrogance qu’elle lui avait souvent vu afficher. Il ne cherchait à lui dissimuler ni son désir, ni ses doutes, ni son amour.
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Sarah le croyait fort. D’ailleurs, près d’elle, il se sentait fort. L’obligation qu’il avait de se contenir pour ne pas l’effrayer, voire lui faire mal, quand il la prenait dans ses bras, faisait partie du plaisir qu’il éprouvait à l’embrasser. L’amour et la confiance de Sarah lui donnaient la volonté d’être pour elle le meilleur des hommes.
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Toutes les plantes parlaient mais, en réalité, peu d'entre elles avaient quelque chose à dire. La Messagère était différente. Son langage était plus complexe. Sa connaissance remontait au commencement des choses, quand ses pétales s'étaient déployés pour la toute première fois, dans le premier matin brumeux de l'Éden amazonien, don du ciel aux Indiens.
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Là où la terre s'effaçait devant le ciel, la rivière formait une transition subtile et semblait quitter l'univers mystérieux de la forêt pour couler dans l'Autre Monde, le monde étoile de la voie lactée.Lentement, à mesure que la nuit tombait, leur environnement commença à refléter cette voie lactée: sur les arbres, des milliers de minuscules lueurs apparaissaient là où, dans la journée, la lumière du soleil les dominait.
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Aucun gouvernement ne comprenait vraiment ce qu'était le pouvoir. La bureaucratie liait les mains et les esprits des dirigeants.
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