AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Grégory Roose (25)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Journal d'un remplacé

Les textes sont lamentables.

Le style est épouvantable.

C’est pourtant difficile à faire, mais le fond est pire.

Pas de réelle théorie, si ce n’est celles qui existent déjà et ont déjà été développées par d’autres. Une sorte de copy comic des conservateurs.

Le développement est limité, les phrases indigestes.

Il faut apprendre à l’auteur que faire de longues phrases n’est pas synonyme de qualité. Bien au contraire.

Les idées ne sont pas structurées, le livre est bourré de contradictions, parfois dans la même page.

C’est lunaire.

Ce machin ressemble plus à une tentative de tweetos en mal de buzz
Commenter  J’apprécie          01
Train de nuit: Et autres nouvelles

Un récit poétique et mélancolique à travers l'histoire d'un soldat inconnu



Dans le texte "La Mangeuse d'Hommes", l'auteur nous transporte dans le cimetière d'un village de montagne où il découvre la tombe d'un jeune soldat, Émile Gras. Le récit oscille entre une description poétique du village et de ses environs et l'évocation émouvante de la vie tragique d'Émile Gras, mort pour la France lors de la Première Guerre mondiale.



Le texte est marqué par un style riche et soigné, qui confère une profondeur émotionnelle au récit. La description du village, de l'église et du cimetière est empreinte d'une mélancolie qui préfigure le destin tragique du personnage central. L'auteur utilise des métaphores évocatrices, comme celle du "palimpseste macabre", pour souligner l'entrelacement des histoires individuelles et familiales dans ce lieu de mémoire.



La narration s'articule autour de l'identification progressive du personnage d'Émile Gras, dont la vie est reconstituée à partir de recherches effectuées sur un smartphone. Cette démarche, qui associe le passé et le présent, contribue à donner une dimension universelle au récit. Le texte interroge ainsi le rapport entre les vivants et les morts et la façon dont la mémoire collective se construit à travers les générations.



Le récit de la vie d'Émile Gras, qui constitue le cœur du texte, est à la fois émouvant et tragique. L'auteur parvient à insuffler une grande humanité au personnage en évoquant ses rêves, ses aspirations et son attachement à son village natal. La description des horreurs de la guerre et du sacrifice consenti par Émile Gras et ses camarades est poignante et soulève des questions sur le sens et la valeur de ces sacrifices.



Enfin, le texte invite à une réflexion sur l'évolution de la société française et sur les liens qui unissent les générations passées et présentes. La description du déclin démographique du village et l'évocation d'une "France qui se délite" suggèrent une certaine nostalgie et un questionnement sur la capacité des sociétés contemporaines à honorer la mémoire de ceux qui les ont précédées.



"La Mangeuse d'Hommes" est un récit poignant et bien écrit qui nous plonge au cœur d'une histoire individuelle tout en interrogeant la mémoire collective et les liens qui unissent les vivants et les morts. La plume poétique de l'auteur, alliée à une narration fluide et captivante, rend ce texte particulièrement touchant et mémorable.
Commenter  J’apprécie          00
Journal d'un remplacé

Selon l’auteur, nous ne serions pas confrontés à un « remplacement », mais en réalité à deux. Un « petit » remplacement qui correspondrait à un changement de classe, de références culturelles perpétré grâce à une inversion généralisée des valeurs traditionnelles et à un déni systématique de la réalité. Et un « grand » remplacement qui, lui, est une substitution ethnique, les allogènes submergeant peu à peu les indigènes par le biais d’une immigration incontrôlée et d’une natalité plus importante. Chaque jour ou presque, nous amène son lot d’actes de violence que les médias classent comme « faits divers » ou comme honte pour la société et grande cause nationale selon l’origine de ou des auteurs. Ainsi le jeune Théo Luhaka eut-il droit dans un premier temps à toute l’attention empathique des médias. Il fut présenté comme la malheureuse victime d’un viol perpétré par des policiers indignes. Quelque temps plus tard, après enquête, le parquet reconnaîtra qu’il n’y eut aucun viol. L’individu sera d’ailleurs mis en examen pour escroquerie en bande organisée, blanchiment, faux et usage de faux et travail dissimulé. Mais auparavant, François Hollande s’était immédiatement précipité à son chevet, ce qui ne fut pas le cas pour un autre jeune, Yurii, lynché en pleine rue par une bande de racailles venues de Vanves. Pas plus que pour le malheureux Adrien Perez, poignardé en plein cœur pour avoir voulu défendre une jeune femme agressée par des voyous. Pas plus que pour Laura et Maurane, assassinées à la gare Saint-Charles de Marseille ou pour le capitaine Arnaud Beltrame. Indignations à géométrie variable. Deux poids, deux mesures…

« Journal d’un remplacé » n’est pas vraiment un journal dans la mesure où l’auteur ne suit pas un ordre chronologique des évènements, mais les reclasse par thèmes : immigration, insécurité, propagande, écologie, crise sanitaire et autres. Au fil de ces « faits divers », il aborde toutes sortes de sujets comme les élections truquées aux Etats-Unis, la censure sur les réseaux sociaux, la déconstruction du sentiment national, les violences policières, les Black Lives Matter, le communautarisme, le covid, le féminisme 2.0, la cérémonie des Césars, les éoliennes, la COP 21, Greta Thunberg, etc. Tout est vu par le petit bout de la lorgnette. Les analyses sont souvent légères pour ne pas dire discutables. Pour Roose, la crise sanitaire a eu un bon côté, celui du retour de la nature au cœur des villes et d’une nette amélioration de la qualité de l’air. Pas un mot sur les mesures idiotes, inutiles, liberticides et vexatoires. Le chapitre sur l’écologisme est un peu plus travaillé. La jeune Thunberg et ses séides repartent rhabillés pour l’hiver. Celui sur l’insécurité rappelle « La France Orange mécanique » de Laurent Obertone en moins percutant et en moins fouillé. On aurait aimé que tout l’ouvrage se soit affranchi de son côté anecdotique et ait plus viré à l’essai socio-politique, voire au pamphlet, ce qui n’est pas le cas. L’ensemble reste léger et superficiel tout comme le style peu travaillé et même un brin approximatif parfois.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
Commenter  J’apprécie          50
Journal d'un remplacé

Le constat implacable d'une société qui périclite jour après jour. Quelques cartouches intellectuelles sont proposées par l'auteur en vue de résister ou de retarder ce déclin amorcé. Un style concis, direct et un état des lieux lucide du monde qui nous entoure. Bravo !
Commenter  J’apprécie          30
Le Camée

Le Camée, fait partie de la sélection des 15 nouvelles lauréates du prix Gérard de Nerval, ce qui, avec pas moins de 372 soumissions de textes, représente une certaine consécration.



On se retrouve au siècle dernier, dans une France bourgeoise qui n’est pas

sans évoquer le monde des romans de Pierre Drieu la Rochelle. Vice et foi se côtoient au sein de la famille de Millevassant, la femme étant un modèle de piété et le mari un homme bien décevant. Seulement, ce que certains appellent le karma, d’autres la justice divine, se met de la partie. Les amateurs de Guy de Maupassant se délecteront.



On note dans ces deux ouvrages une élégance du langage naturelle, ni forcée ni dénaturée par un lyrisme pédant. En 2020, c’est déjà en soi un acte de résistance à la médiocrité ambiante.
Lien : https://present.fr/2020/11/1..
Commenter  J’apprécie          20
Journal d'un remplacé

"Journal d'un remplacé" est un essai qui aborde de nombreuses thématiques actuelles, comme le néoféminisme qui peut se dresser contre les femmes, les paradoxes des écologistes, etc. C'est un essai qui nous remet les idées à l'endroit.



Chacun de ses chapitres fait quelques pages, ce qui nous permet de le lire dès qu'on a cinq minutes devant soi.

Commenter  J’apprécie          40
Journal d'un remplacé

Les écrits de Grégory Roose sont toujours de très bonne facture, "Journal d'un remplacé" ne déroge pas à cette règle.

Ce livre qui traite du Petit Remplacement et du Grand Remplacement, du changement de culture et du changement de peuple via une immigration subit,

déconstruit et recadre le discours officiel et met le politiquement correct et le progressisme devant leurs contradictions.

Grégory Roose évoque également avec ferveur, l'écologie dont l'extrême gauche française s'est emparée, ne servant en fait qu'une seule cause, le mondialisme progressiste,

il y critique leurs propositions tout en y apportant de véritables solutions non punitives.



A lire d'urgence - livre à mettre dans toutes les mains.
Commenter  J’apprécie          70
Journal d'un remplacé

Très bon travail de Grègory Roose qui débunde toutes les affaires marquantes de ces deux dernières années en France . Le point ou j'ai été le plus agréablement surpris c'est sur l'écologie. Un vrai boulot de recherche sur l'écologie enracinée. L'écologie a le vent en poupe, on ne doit pas la laissé aux mains des mondialistes !

lisez ce livre et pour ceux qui le souhaite j'ai fait une note de lecture sur ma chaine YouTube . cordialement https://www.youtube.com/watch?v=8kVsXOpdgyE
Lien : https://www.youtube.com/watc..
Commenter  J’apprécie          51
Le châtelain

Cette délicieuse nouvelle de Grégory superbement bien écrite, est merveilleusement parfumée des ses mots emprunts de "sens", elle nous rappelle que jamais rien n'est acquis, qu'il faut surtout les préserver, ne jamais céder à la facilité, car d'autres sont là en embuscade prêts

à nous le rappeler fortement le cas échéant.

A lire absolument.
Commenter  J’apprécie          40
Le châtelain

Cette jolie nouvelle nous happe, nous touche et nous émeut, pour nous rappeler, à la toute fin, que le désespoir est toujours une absurdité et, surtout, qu'il n'est jamais une solution ! En effet, les seuls combats perdus d'avance sont ceux qu'on ne livre pas ! La plume de Grégory Roose est très agréable à lire. Je connaissais le journaliste, je connais désormais le nouvelliste, et il a beaucoup de talent !
Commenter  J’apprécie          40
Le châtelain

"Le Châtelain" est une nouvelle qu'on lit d'une traite. On est immédiatement plongés dans l'intrigue et dans les paysages que l'auteur déroule habilement sous nos yeux.

Le style de Grégory Roose est remarquable: la syntaxe est fluide, le vocabulaire varié et adroitement choisi.

C'est un livre que je conseille à ceux qui ne veulent pas se lancer dans des lectures trop longues mais aussi à ceux qui ont le sens de la transmission et qui aiment la littérature enracinée.
Commenter  J’apprécie          30
Train de nuit

Après la nouvelle Le Châtelain, Gregory Roose nous offre un petit recueil de nouvelles aussi courtes que percutantes. En à peine une centaine de pages, l’auteur nous accompagne le long d’un voyage à la frontière entre la chronique et la fantaisie, à travers dix nouvelles dont le fil conducteur est le désespoir, sentiment ô combien en phase avec l’actualité. Devant les yeux du lecteur défilent des histoires vraies, comme le récit de la tragédie du vol de la GermanWings, ou vraisemblables, comme la possible mutation de la COVID-19 ; des témoignages beaucoup plus intimistes, comme le petit secret du « Grand Pascal » ou la nostalgie lancinante de « Retour perdant » ; jusqu’à des contes imaginaires au final aussi inattendu que glaçant, comme « Le bélître » ou « Train de nuit », dans lesquels Gregory Roose s’approche de la maîtrise de Richard Matheson, Grand Maître inégalé de l’horreur. C’est peut être sur ce filon qu’évoluera son talent ; assistera-t-on la naissance d’un Edgar Allan Poe ou d’un Howard Phillips Lovecraft du 21ème siècle ?
Commenter  J’apprécie          60
Le châtelain

La nouvelle "Le Châtelain" de Gregory Roose est tout d'abord une délectation pour la qualité soignée du style plantant avec une plume acerbe l'ambiance de déréliction d'un monde, d'une époque, de lieux mais aussi pour l'âpreté des descriptions de personnages devenus leurs propres caricatures. La mélancolie y dispute la place à la cupidité. Il y a du F. Scott Fitzgerald dans la peinture désabusée des âmes humaines en présence. Un second niveau de lecture s'impose également dans une réflexion plus métaphysique sur l'épuisement du sens de la vie elle-même : la transmission sans la descendance n'est elle pas une illusion ? La mort sans l'espérance n'est elle plus que pathétique ? Dans un ultime rebondissement une réflexion sur la force du destin s'invite à la conclusion de l'ouvrage. On ne peut donc que conseiller vivement la lecture de cette nouvelle qui laisse le lecteur dans un état rare de sidération et de méditation simultanées. Un tour de force littéraire à ne pas manquer.
Commenter  J’apprécie          60
Le châtelain

Bon style, sans trop d’emphases. Un peu court naturellement pour se faire une véritable idée sur le talent de l’auteur, mais à suivre en tout cas. .
Commenter  J’apprécie          10
Le châtelain

Une délicieuse nouvelle.

Je connaissais Grégory Roose pour ses articles en tant que journaliste et là, je découvre une plume avec un style très agréable et des descriptions qui permettent au lecteur de rentrer dans l'univers de l'intrigue !

Grégory Roose est un ami virtuel. Nous échangeons souvent sur les réseaux sociaux et j'ai eu la chance d'être choisi pour recevoir son livre. J'avais adoré son premier "pensées interdites", mais là, l'auteur fait un virage à 180°.

Une vraie histoire courte qui n'est pas sans me rappeler l'univers de Mauriac dans le souci du détail dans chacune de ses phrases. C'est très agréable sans être aussi pesant que son illustre confrère écrivain. Tout y est juste.

L'intrigue est plaisante et on l'on souhaite connaître la fin qu'il nous cache avec suffisamment de finesse que pour ne pas nous laisser deviner quoi que ce soit avant les dernières lignes.

Si je devais émettre une critique, c'est peut-être une vision d'un monde aristocratique un peu désuet mais comme l'histoire est intemporelle, (sauf quand il parle de coronavirus), on peut très bien la transposer dans un passé plus conventionnel et classique qu'aujourd'hui.

Enfin, la fin permet au lecteur de s'imaginer sa propre suite selon ses humeurs. Accordera-t-on un destin funeste au héros ou lui donnera-t-on une seconde chance dans une vie quelle que peu solitaire et conditionnée par une éducation ou le devoir prime ?

A vous de le lire et d'imaginer votre propre suite.

4 sur 5

Commenter  J’apprécie          60
Le châtelain

Essayiste, polémiste (dans le sens positif du terme), Gregory Roose se présente à nous sous la tunique de l’écrivain, avec cette première nouvelle qui se lit en quelques heures seulement. Il nous offre l’histoire du dernier héritier d’un château, dont il est obligé de se séparer, ne pouvant plus l’entretenir. La trame est apparemment simple : une vente immobilière d’un bien qui fut d’exception. Dès le début on devine que quelque chose va se passer et l’atmosphère un brin angoissante est digne de l’un des scénarios écrits par Richard Matheson pour la célèbre série La Quatrième Dimension, avec la surprise finale ô combien ironique. En réalité, derrière le premier plan, purement narratif, on entrevoie le conflit entre la noblesse, d’âme bien avant que de titre, qui trouve ses racines dans un passé qui n’aurait jamais dû passer, et la vulgarité sans scrupule d’une époque que l’on a pas vu (ou pas voulu voir) arriver. Nostalgie, découragement et rage se mêlent de façon magistrale dans la dénonciation à peine voilée d’une société où l’avoir a définitivement pris le dessus sur l’être.
Commenter  J’apprécie          80
Le châtelain

Un livre complètement inintéressant dénué de toute profondeur. Je le déconseille fortement, ce fut d'un ennui à mourir. De plus la qualité de langue est déplorable.
Commenter  J’apprécie          02
Le châtelain

1ere nouvelle que je lis de G. Roose. 50 pages lu pratiquement d'une traite !! Bien prenant !! On attendant la prochaine avec impatience. ;-)
Commenter  J’apprécie          30
Le châtelain

Le châtelain de Gregory Roose est une pure merveille.



Il met en lumière ce qu'il se passe aujourd'hui,'hui entre les vendeurs, les agences immobilières et les promoteurs.

Et surtout qu'un être humain pauvre ou riche peut se faire avoir par des gens peu scrupuleux.

Bravo et merci
Commenter  J’apprécie          80
Pensées interdites

« Pensées interdites » de Grégory Roose est un texte « militant », qui s’adresse à des lecteurs dont la sensibilité est à droite. Il s’articule en une introduction et une collection d’aphorismes. L’introduction fixe le contexte et dresse un constat amer et réaliste de la situation actuelle. Les aphorismes sont argus et touchent la cible, même s’ils ne peuvent pas rivaliser avec ceux de Friedrich Nietzsche, maître inégalé dans l’art de l’aphorisme. La critique sévère de l’islamisme est de grande actualité et totalement justifiée mais la comparaison aurait été plus correcte entre le catholicisme et l’islam (religion), plutôt que l’islamisme (son « bras armé »). La critique du « régime végétalien », qui va jusqu’à accuser les végans d’avoir « inventé le fascisme alimentaire », montre une connaissance imparfaite du sujet, se basant sur les dérives antispécistes de l’extrême-gauche. C’est un problème récurrent à droite, qui après avoir laissé l’écologie aux mains de la gauche (avec les conséquences néfastes que l’on constate aujourd’hui) laisse filer aussi le train de la transition alimentaire. Mais à part ces deux points, auxquels chaque lecteur attribuera un poids plus ou moins important, le livre de Grégory Roose est une bouchée d’air frais dans l’atmosphère étouffante du politiquement correct. Je recommande vivement (à remarquer que les pages ne sont pas numérotées, ce qui rend le sommaire pas très utile).
Commenter  J’apprécie          80




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Grégory Roose (37)Voir plus

Quiz Voir plus

Complétez les titres de Pierre Desproges

Chroniques de la haine ...

annoncée
ordinaire
amoureuse
nécessaire

10 questions
88 lecteurs ont répondu
Thème : Pierre DesprogesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}