Guillaume Gallienne : "Maman, je suis hétérosexuel !"-On n'est pas couché 31 oct 2009 #ONPC #shorts
Amandine et moi avons décidé de nous marier.
- Avec qui?
Moi, comme tous les traumatisés de l'enfance, il faut encore que j'accepte de vieillir.
Magazine Littéraire n.491
_"Concrètement Maman ? Eh bien ça tombe bien que tu me le demandes, parce que la deuxième chose que je voulais t'annoncer, c'est qu'Amandine et moi avons décidé de nous marier.
_Avec qui ?"
En fait, la grande différence des femmes, c'est leur souffle. Il est plus doux, plus variable aussi, moins linéaire, moins homogène, voilà ! Le souffle d'une femme varie tout le temps selon qu'elle est émue ou concentrée, séductrice ou charmée. Les hommes, ils n'ont que deux manières de respirer, pas plus, selon qu'ils sont calmes ou excités. C'est simple, c'est comme les clebs ! Leur souffle n'est relié à rien, si ce n'est le petit soldat qui est en eux et qui doit surtout ne rien montrer de ses émotions. Tandis que les femmes, c'est incroyable, leur souffle est relié à leurs plus profondes émotions, à ce qu'elles ont de plus intime. Bon, bien sûr, elles savent en jouer, et elles ne s'en privent pas d'ailleurs. Mais ça aussi j'ai appris à le reconnaître, et à le reproduire... Ainsi, je les ai tous appris... tous les souffles, toutes ces respirations qui faisaient battre mon coeur à l'unisson avec les femmes...
Il n'y a qu'un endroit où je ne m'ennuie jamais, c'est dans les livres. Les livres sont de sublimes amis.
Lire. Aout 2015.
En fait, la grande différence des femmes, c’est leur souffle. Il est plus doux, plus variable aussi, moins linéaire, moins homogène, voilà ! Le souffle d’une femme varie tout le temps selon qu’elle est émue ou concentrée, séductrice ou charmée. Les hommes, ils n’ont que deux manières de respirer, pas plus, selon qu’ils sont calmes ou excités. C’est simple, c’est comme les clebs ! Leur souffle n’est relié à rien, si ce n’est le petit soldat qui est en eux et qui doit surtout ne rien montrer de ses émotions. Tandis que les femmes, c’est incroyable, leur souffle est relié à leurs plus profondes émotions, à ce qu’elles ont de plus intime. Bon, bien sûr, elles savent en jouer, et elles ne s’en privent pas d’ailleurs. Mais ça aussi j’ai appris à le reconnaître, et à le reproduire… Ainsi, je les ai tous appris… tous les souffles, toutes ces respirations qui faisaient battre mon coeur à l’unisson avec les femmes…
Quatre livres si différents [...]. Quatre livres hantés par des espaces inexplorés, des mondes vierges que les héros tentent d'apprivoiser. [...] Patricia, Tom, Alice ou le jeune Vendredi mènent un combat pour garder en vie l'enchantement du monde.
(Préface de Timothée de Fombelle)