Gunnar Ardelius

J’ai été séduite par la quatrième de couverture mais le contenu ne correspondait pas vraiment à ce que j’attendais. Pourtant j’ai relativement aimé. Relativement, donc ce n’est pas un coup de cœur.

Un couple suédois plus très uni part pour le Liberia. Hektor a trouvé un emploi comme directeur du personnel dans une entreprise suédoise qui exploite une mine.

Son épouse s’ennuie et se découvre sinon franchement raciste, du moins gênée par la présence du Garçon-serpent dont le rôle est d'éloigner ces animaux tandis que leur fils se lie d’amitié avec.

Une grève des mineurs perturbe la communauté des expatriés.



Un panorama intéressant d’un pays d’Afrique et de la mentalité des blancs venus exploiter les richesses du pays.

Quelle énorme déception ! Ce livre doit-être l'un des plus vieux livres de ma pal…

Acheté lors de sa sortie me semble-t-il… (2008 !)

Je me souviens avoir eu un coup de coeur pour le titre ! Et encore aujourd'hui j'adore ce titre. Pourquoi est-il resté aussi longtemps dans ma pal ? Aucune idée. Lol

Mais une chose est sûre, lorsque je l'ai commencé j'avais très envie de le découvrir (enfin !).

Malheureusement, mon enthousiasme est retombé comme un soufflé…





J'admets volontiers l'originalité de l'ouvrage tant par sa construction que par son contenu. L'auteur nous propose une histoire d'amour en nous transmettant uniquement de très brefs morceaux de vie. Ainsi, il n'y a que quelques lignes par page nous racontant chacune une anecdote. Cependant, j'ai ramé. Livre très très court, (heureusement sinon je l'aurai abandonné…) je n'ai accroché ni avec le fond ni avec la forme. Et les deux sont liés, car je pense que si on n'accroche pas avec le fond c'est à cause de la forme justement. C'est un parti pris, certes. Mais ces minuscules morceaux de vie décousus font que l'on ne comprends pas grand chose à l'histoire. Il n'y a presque aucun fil conducteur, c'est haché. Ça manque énormément de fluidité et de générosité. Je n'ai pas réussi à me repérer ni dans le temps ni dans l'espace. Je n'ai rien ressenti : pas d'émotion, pas d'addiction. C'est très compliqué de rentrer dans l'histoire et surtout d'arriver à suivre. Et finalement, lorsque l'on y arrive, ou tout du moins commence à y arriver, et bien c'est fini…

C'est vraiment dommage, d'autant qu'il y a de très belles phrases par moment. D'un seul coup, perdue au milieu de nulle part dans le livre, alors que l'on s'endors pendant la lecture parce que l'on s'est résigné à comprendre, l'auteur sort une superbe formule. Mais à mon grand regret, c'est l'unique point positif de ce livre.

Je me suis malheureusement ennuyée (car il ne se passe pas grand chose), je ne me suis pas attaché aux personnages ( puisque l'on ne les connaît pas, on ne nous les présente pas. Je suis incapable de vous citer ne serait-ce qu'un trait de caractère), et puis tout simplement, en toute franchise, je n'ai pas compris grand chose… J'ai saisi l'essentiel, mais genre l'essentiel de l'essentiel de l'essentiel (lol).





Un livre pas fait pour moi (et j'en suis très triste car lorsque je le regarde je suis toujours aussi fan du titre comme de la couverture). Un ovni. Une énigme. Et surtout une sacré incompréhension (tant pour la forme que pour le fond). Je ne sais pas vraiment ce que j'ai lu, mais je l'ai lu ! lol

( À titre d'info j'ai quand même très longtemps hésité en 1 et 2 étoiles…)

Il s'appelle Morris, elle s'appelle Betty. Ils sont jeunes, ils sont amoureux. Leur amour est éternel. Mais finalement, c'est le temps qui décide de leur sort...



A travers des petites scènes, on observe ces jeunes gens qui viennent de découvrir l'amour ensemble. En fait, on pourrait enlever les deux noms et en mettre d'autres, c'est l'histoire d'un premier amour. Un amour qui voudrait être parfait mais qui reste commun. Les sentiments, C'est raconté par petites touches et ça se lit très vite. Touchant. C'est le premier roman de Gunnar Ardelius, un auteur prometteur !

Un petit amuse-bouche littéraire assez plaisant à lire. Un concept original de dérouler le livre en scène. Une page, une image. J'ai beaucoup aimé. Le style d'écriture est fluide, simple et léger. Le titre est atrocemment niais et ne réflète pas du tout le contenu du livre. Derrière une histoire qui semble naïve l'auteure nous parle merveilleusement bien, de la lassitude et de l'ennui dans le couple. Les choses éphémères sont parfois les plus belles...

Je n'ai pas aimé ce livre. Il est très court et est très facile à lire, mais c'est vraiment difficile d'accrocher (c'est vraiment vers les dernières pages qu'on commence à accrocher...donc bon...). Il n'y a pas de contexte, tout ce qui se passe est centré sur l'action, et ça je n'aime pas trop...

La littérature suédoise a toujours un petit quelque chose de différent si on la compare à la nôtre. Leurs polars, par exemple, sont plus psychologiques, plus contemplatifs et plus "dark" que les nôtres, les personnages plus fouillés et à mon sens plus crédibles. 🖤



Et bien pour la littérature ado et jeunesse c'est pareil ! 😁



Oui, oui. Les fantasmes y sont traités avec une grande honnêteté de sujet et sans jugement. 😚



Ainsi on retrouvera l'ado qui fantasme sur sa prof, la jeune femme qui fantasme sa relation, les expériences de jeunesses plus ou moins calculées... 😁



Un recueil, un peu plus "chaud" que certains autres titres de la collection, bien sûr il reste le problème inhérent à tous recueils de nouvelles : elles ne vous emballeront peut-être pas toutes autant. Mais n'est ce pas ça, le frisson de la découverte ? 😎



En tous cas, c'est un voyage au pays de la littérature érotique suédoise qui dépayse réellement ! ♥️

Si vous croyez partir dans le grand nord avec cet écrivain suédois, vous vous trompez.

Nous allons à Yekepa, ville de la république du Liberia, bien loin à l'intérieur des terres à la limite de la Guinée et de la Côte d'Ivoire.

Découvrir vite, très vite dès les premières pages du roman que le titre reprend la phrase qui accompagne les armes du pays.

Apprendre que Monrovia, la capitale a été "baptisée du nom du président américain James Monroe qui, en son temps, avait affranchi des esclaves américains et les avait envoyés sur la côte ouest de l'Afrique fonder le pays nommé Liberia".

Aller à la rencontre de cette micro société d'expatriés, qui se passionne pour connaitre les nouvelles expressions à la mode à la capitale, doit on dire : "jouer aux cartes" ou "taper le carton", "zizi" ou "zob" ?

S'amuser d'apprendre que Västerâs, est la ville des cornichons, et dire que j'y suis passée sans le savoir alors que j'aurais pu en déguster !

Découvrir que la côte de l'or était une colonie britannique, dans ce qui est devenu aujourd'hui le Ghana, ainsi nommée par les Européens, en raison des quantités importantes d'or trouvées dans cette région, bien que le commerce des esclaves soit la principale activité de cette région.

Apprentissages et découvertes passionnantes qui nous plongent dans un autre monde où nous constatons que le Liberia n'a pas eu la chance ( ! ) d'être colonisé pour être pourvu d'infrastructure industrielle.

Il a dû attendre l'implantation de quelque société comme LAMCO, (Liberian-American-Swedish Mining Company), (fondée en 1955 par des investisseurs suédois et américains, entreprise reprise aujourd'hui par ArcelorMittal).

Nous constatons les dégâts du début de la mondialisation dans ce pays qui subit les assauts de la colonisation économique.

Nos regards passent par trois personnages.

Le salarié blanc lambda, venu avec bonne conscience, espérant faire carrière, confronté au mépris de l'entreprise pour sa main d'œuvre exploitée.

Sa femme blanche, inactive, qui n'a comme seule préoccupation que de s'immiscer au milieu favorisé des "expats", cercle protégé, coupé de la réalité du monde qui l'entoure .

Son fils blanc pro révolutionnaire, qui rêve de devenir noir sous la peau.

Constat accablant de notre incapacité à avoir des relations saines, équilibrées avec un continent que nous continuons de piller!

En retournant dernièrement à la bibliothèque, mon oeil fut attiré par ce petit bouquin au titre un peu particulier (pour ne pas dire niais, ce qui d'ailleurs, ne reflète pas vraiment le contenu de ce livre). La quatrième de couverture m'ayant d'autant plus intrigué, je me suis lancé dans la lecture.



Dans ce roman, chaque page représente un moment de la vie d'un couple, aussi banal soit il. Certains penseront que ça manque d'action, qu'il n'y a pas de contexte, mais c'est justement le fait que ce soit si simple, si commun, qui permet à chacun de pouvoir se reconnaître derrière ces lignes. C'est l'histoire d'un amour naissant, un amour qu'on a envie de faire vivre pour qu'il dure une éternité, et qui au final, n'est peut-être pas aussi fort que l'on pensait.



Ce fut un plaisant petit moment, pas un coup de coeur, mais je ne regrette pas de m'être attardé dessus.


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Le livre fermé, on se demande comment on a pu choisir un tel livre alors qu’il y avait sûrement juste à ses côtés d’autres livres qui en valaient sûrement plus la peine que celui-ci. Mais à quoi bon tourner le fer dans la plaie? C’est fait, c’est-à-dire choisi et lu. Ne reste plus qu’à oublier J’ai besoin de toi plus que je ne t’aime et je t’aime si fort du Suédois Gunnar Ardelius. Déjà qu’un titre pareil, c’est suffisant pour le déformer sans faire d’effort.



Et pourtant, le quatrième de couverture laissait entendre que ce livre avait été un succès dans sa langue maternelle, qu’il était plus ou moins inclassable par sa forme et qu’il avait pris tout le monde par surprise à cause de originalité. Or, ce premier roman, destiné aux 15 ans et plus, que l’éditeur n’a pas cru bon de paginer, est un ramassis de chapitres courts faits d’instantanés de peu d’intérêt. Cette supposée histoire d’amour qui nous est racontée au moyen de ceux-ci nous donne un roman décousu et sans intérêt.



Il n’en reste pas moins que j’ai retenu une phrase :

« Quand sait-on que c’est fini?

- Peut-être quand on se sent plus amoureux de ses souvenirs que de la personne qu’on a devant soi. »



Mais c’est tout ce que je retiendrai. J’ai besoin de toi plus que je ne t’aime et je t’aime si fort fait partie des livres à oublier.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..

L'histoire de deux personnes qui s'aiment et peut être un peu trop. On n'a pas l'habitude de lire ce style de construction dans les romans. C'est écrit par petit passages. Ce n'est pas une histoire linéaire. J'ai bien aimé le lire. J'avoue que je n'ai pas tout compris mais je suis contente de l'avoir lu.

Vous connaissez cette déception que l'on a parfois à sentir un thé dans la boîte, parfumé et délicieux, qui n'a finalement qu'un goût insipide et frustrant? Et bien cette sensation a été la même à la lecture de ce roman. Enfin, "roman" ne convient pas vraiment, plutôt "scénario" ou "suite de moments ou de sentiments". Certes les émotions sont assez bien décrites, la fusion et l'insouciance des premières amours est touchante, mais je n'en ai pas eu pour mon compte. En plus, savoir dès le début que la relation des héros était vouée à l'échec, ça aurait pû être rendu intéressant par une écriture originale, mais ça a fait flop là aussi.



Minimaliste, plat et en kit donc, c'est peut être normal d'un texte qui vient d'un pays nordique? ;)
Lien : http://petitesmadeleines.hau..

Cet ouvrage compile plusieurs nouvelles écrites par des auteurs suédois autour du thème du sexe, du désir et du fantasme. C'était assez intéressant de découvrir le point de vue créatif de chacun sur ces thématiques.



Certaines nouvelles m'ont laissée dubitative. Je pense notamment à Cours d'éducation sexuelle et La pose qui m'a questionné sur le consentement. Il y a une différence d'âge et une relation qui me paraissent quelque peu douteuses.



En revanche, j'ai apprécié les nouvelles Paris surprise, Sel et Mon presque petit frère. La manière de traiter du désir m'a semblé juste et délicate. Il y a une certaine subtilité dans les plumes.



Je conseille une fois encore la collection L'ardeur des éditions Thierry Magnier qui aborde de nombreux sujets importants, en particulier à l'adolescence.
Lien : https://psycheedelik-unehist..

Bof, c'est plus un livre pour ado qui découvre le c....qu'autre chose !

on est loin des films pornos !! ce n'est pas très intéressant, ça manque dirais je de profondeur si l'on peut le dire ainsi !!

on a pas le temps de se lasser car ce sont des petites histoires...

Tous les genres y passent.

Lecture « récréation » ce week-end.



L’écriture et le concept sont originaux : Une page, une image.



Pas grand-chose à retenir au final même si derrière cette simplicité du texte, se cache une histoire qui nous parle.





En quelques mots l’auteur parvient à mettre en scène la lassitude et de l'ennui dans le couple.


Lien : http://polar-addict.blogspot..