Helen Fielding

Hyper drôle, le journal intime de Bridget, avec ses joies, ses peines, ses kilos en trop et ses amis déjantés. J'adore! A lire et relire les jours où on n'a pas la pêche!

L’age de raison est le second opus de la sage Bridget Jones et je l’ai trouvé un peu en deçà du premier.

Bridget est enfin en couple avec Mark Darcy ! Mais très vite son histoire d’amour est réduite à néant par la perfide Rebecca.

Certes ce roman est truffé de bons passages plein d’humour (comme son interview de Colin Firth) mais il y a aussi, selon moi, beaucoup de longueurs. Les rebondissements sont un peu disproportionnés : entre le trou dans son mur pendant des mois, son arrestation en Thaïlande, les menaces anonymes…Bridget n’a plus vraiment la vie de Madame tout le monde.

En conclusion, j'ai trouvé ce livre amusant mais sans plus.
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On retrouve ici Bridget, célibattante de 35 ans, sans enfant .... et qui finalement tombe enceinte sans savoir qui de Marc ou Daniel est le père



Un triangle amoureux qui je pense a fait son temps, du réchauffé voire re-réchauffé à outrance. Un style auquel j'ai un peu de mal à accrocher mais quelques fous rires en lisant le livre d'où les deux étoiles

Je n'avais pas lu le 3ème volet, je pense n'avoir rien loupé et ne le lirai probablement pas (mais qui sait, je n'aime pas ne pas faire les choses dans l'ordre).

On y retrouve quand même la Bridget attachante qu'on aime avec ses maladresses et ses pitreries.

A lire pour les fans de la série, sinon passez votre chemin sans hésiter.



Je ne sais pas s'il y aura une suite, mais si suite il y a, par pitié, arrêtez les duels Marc / Daniel ça en devient franchement lassant

Première surprise c’est pas la suite du tome 3 en fait c’est un préquel de ce dernier. On en apprends un peu plus sur les grossesses de Bridget, sur sa séparation d’avec Marc Darcy. Néanmoins, l’humour habituel est là, on retrouve Bridget et on la voit grandir, évoluer, devenir plus responsable mais toujours aussi maladroite.



C’est pas seulement un livre pour les fans de Bridget Jones car cela aborde des thèmes qui parleront à toutes les quarantenaires : l’horloge biologique, les doutes, la place à donner à la carrière, la pression de la famille, des amis face à la maternité. C’est un livre très moderne et bien qu’il y ait beaucoup d’humour notamment les petites pensées de Bridget, c’est aussi triste par moment et très touchant. La fin est vraiment superbe mais je ne la dévoilerait pas. Il y a beaucoup d’humour et d’amour et on ne peut qu’être touchée par ce personnage. L’écriture est fluide et légère, l’histoire se suit bien et on lit très vite (trop vite). C’est toujours sous forme de journal, mais l’humour est moins piquant que dans les précédents. C’est pas le livre de l’année mais il fait tout à fait l’affaire pour quelques heures de détente.



VERDICT



Détente, rire, maternité au programme. Un livre qui détend et qui offre quelques heures de déconnexion salutaires.
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L'héroïne d'Helen Fielding préfigure Bridget Jones, comme on peut le lire partout, mais une Bridget plus dégourdie tout de même, et probablement un brin plus féministe, même si bien sur son monde tourne beaucoup autour de ses amours.

C'est simple, drôle, efficace. A lire pour se détendre les neurones (et les zygomatiques) !

J'aborde les rivages d'un monde qui m'est complètement inconnu, celui de la chick-lit, et je découvre ses paysages et ses habitants avec un regard neuf et sans doute bien candide.



Je ne connaissais de Bridget Jones que les deux films, qui m'avaient fait en leur temps mourir de rire. Le roman de sa cinquantaine n'a pas dérogé. Je me suis amusée comme une petite folle au déroulé des aventures de Madame Veuve Darcy. Parce que c'est drôle et plutôt léger.



Certes, ça n'est pas le chef d'oeuvre de l'année. Déjà, l'amorce de l'histoire est forcée. On prend une cinquantenaire pour pouvoir broder autour du thème du cougar et des toy boy, et on lui colle des enfants en bas âge pour ajouter celui des jeunes mères solitaires et débordées. C'est à se demander ce qu'ont fichu Bridget et Mark de trente-cinq à quarante-cinq ans : ont-ils attendu dix ans avant de faire des enfants, alors que l'horloge biologique de Bridget l'affolait dans le premier opus ? Pas très cohérent et un peu trop tordu dans tous les sens pour pouvoir rentrer dans les moules voulus. Bon.



Ensuite, Bridget. Elle est rigolote, Bridget. Elle a en elle des petits bouts de nous, les filles, de petits miroirs dans lesquels on se reconnaît, l'espace d'un instant. Mais quand même, elle pousse loin le bouchon. Il y a des scènes où on la secouerait bien pour lui remettre les idées en place, surtout quand elle textote comme une folle sur son téléphone alors que son scénario dramatique se transforme peu à peu en bouffonnerie.



Et puis, il y a l'histoire d'amour. LES histoires d'amour. On en revient toujours là, malgré les enfants, tendrement chéris et câlinés entre deux parties de jambes en l'air drôlement épicées. On sent bien que tout n'est que prétexte à développer la vie sentimentale de Bridget. En tout premier lieu, déjà, en ayant assassiné le sublime Mark : à croire que raconter la vie d'un couple marié, amoureux et vieillissant, ce n'est pas intéressant.



J'ai pourtant mis quatre étoiles, me direz-vous ! J'assume.

Alors que les nouvelles venues du monde entier me donne envie de m'enterrer dans mon jardin, ce bouquin m'a donné de précieux instants d'hilarité.



M****, c'est trop bon, quelquefois !

Non pas de fausse joie, un nouveau tome de Bridget Jones ne vient pas de sortir. Si je parle de dernier dans le titre de ce billet, c’est que le 3ème volet des aventures de cette chère Bridget est paru en livre de poche. J’avais lu pas mal de commentaires déçus à son sujet mais cela n’a pas entamé ma joie de retrouver cette anti-héroïne gaffeuse et angoissée dont j’avais adoré suivre la vie sentimentale.



Je vais vous avouer quelque chose de complètement anti-féministe (je crois que de toute façon ne pas être une ardente féministe, en dehors du fait que oui bien entendu une femme devrait avoir les mêmes droits, opportunités de carrière et salaire qu’un homme) mais la scène de bagarre entre Hugh Grant et Colin Firth m’a toujours fait fantasmer. A l’époque j’aurais plutôt choisi -au moins physiquement mais aussi parce qu’il était plus drôle – Hugh Grant (une bonne décennie plus tard il semblerait que Colin Firth est bien mieux vieilli).



Souvenez nous : Bridget finit dans les bras de Mark Darcy, l’homme au pull en laine avec tête de renne. Dans Bridget Jones : Folle de lui, ce dernier n’est plus de ce monde (ce qui explique peut être que certaines fans aient été déçues) et Bridget, la cinquantaine, se retrouve seule et veuve pour élever les deux enfants qu’elle a eu avec l’avocat.



Après une période de deuil et de brouillard de plusieurs années, elle décide de se reprendre en main physiquement (vous vous souvenez du fameux décompte de ses kilos ? on le retrouve ici ainsi que le nombre de followers sur twitter gagnés ou perdus ou le nombre de sms envoyés par exemple, Briget Jones dans ce volet 3 est résolument 2.0) et ses amis vont la pousser à rencontrer à nouveau des hommes.



Bien sûr on n’est pas en train de lire Guerre et Paix de Tolstoï, Folle de lui est un roman léger, avec une bonne dose de futilité et il me semble, destiné plutôt à un public féminin. Pour autant, je le trouve largement mieux écrit et plus intéressant que les quelques titres de chick lit que j’ai pu avoir sous les yeux et dans lesquels les préoccupations principales des héroïnes tournaient autour d’histoire de chaussures, de fringues, de sacs et de mariage.



Bridget Jones sort avec un homme beaucoup plus jeune qu’elle. Ce toy boy est beau comme un dieu, un amant fantastique mais pas bête comme ses pieds comme le voudrait les clichés. Dans ses relations sentimentales, Bridget est toujours la championne pour se poser 10 000 questions et se couper les cheveux en quatre. Elle est également encore obsédée par son poids, elle gère ses émotions en mangeant (des paquets de gruyère râpé et pas des gâteaux comme sur ma photo), elle passe un temps fou sur des sites de fringue en ligne pour au final ne rien acheter, se trouve assez systématiquement la plus nulle, culpabilise beaucoup, est la reine des listes, est souvent « too much », pour toutes ces choses et pour encore bien d’autres encore, je me sens très proche d’elle.



Folle de lui est probablement un peu moins bien que les deux premiers volets de Bridget Jones car on retrouve la même mécanique, les mêmes dialogues intérieurs (quoique pour moi cela a été plutôt de joyeuses retrouvailles), une partie des mêmes personnages (dont Daniel plus pathétique que séduisant) et on n’a pas vraiment de grosses surprises quant à l’épilogue de l’histoire (on voit même arriver les choses de loin) mais j’ai pas mal ri, j’ai trouvé Bridget attachante et ses réactions de femme justes alors pour ces 3 points là au moins, j’ai passé un bon moment de lecture.
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On se retrouve aujourd’hui avec une chronique d’un roman qui traînait dans ma PAL depuis un bon moment, mais que je ne me sentais pas spécialement pressée de lire parce que j’ai vu son adaptation cinématographique à moult reprises. Il s’agit du Journal de Bridget Jones, d’Helen Fielding. En termes de comédie romantique et humoristique, le film est d’une fraîcheur tout à fait plaisante, ou en tous cas il l’était au moment de sa sortie, et c’est avec enthousiasme que je me suis lancée dans l’histoire originale. Quelle erreur !



Pour ceux qui auraient vécu dans une grotte des quinze dernières années, le récit se présente sous forme de journal intime dans lequel la dénommée Bridget, trentenaire londonienne et célibataire, raconte sa petite vie et en particulier ses déboires sentimentaux. Dans le film, Bridget est une jeune femme drôle, gaffeuse et attachante par son manque de confiance en elle. Dans le roman, elle donne juste l’impression d’être superficielle et égocentrique à l’extrême. Sans en venir à la détester, j’avoue que c’est un personnage qui m’a très vite tapé sur les nerfs.



Pour ce qui est de l’intrigue, l’objectif principal de Bridget dans la vie étant d’avoir un petit ami, on tourne très vite en rond. Surtout qu’elle s’amourache, comme une gamine de 14 ans immature au possible, d’un coureur de jupons invétéré ! Mais comment peut-on être aussi crédule, naïve, bête en un mot ? Le propos est beaucoup trop appuyé. Ce qui est drôle l’espace de quelques pages finit par devenir atrocement lourd et ennuyeux. L’auteur essaie bien de faire diversion avec quelques événements parallèles, autour de la mère de Bridget ou de ses amis, mais elle fait choux blanc car rien de tout ça n’est crédible une seule seconde.



Une lecture qui m’a laissée de glace quand elle ne m’a pas purement agacée. Je n’ai pas retrouvé la fraîcheur qui se dégageait du film, je ne me suis absolument pas retrouvée en Bridget, je n’ai pas trouvé ça drôle. S’il s’agit d’une référence du genre en chick-lit, je n’ai pas peur de me tromper en affirmant haut et fort que ce genre n’est décidément pas fait pour moi. Une bonne grosse déception !
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Si l'oeuvre de fiction est censée nous faire rêver en créant des personnages montés de toutes pieces, alors ce roman ne joue pas le jeu.



"Cher journal, quelle chemise choisir pour plaire au nouveau voisin d'en face, des petits cœurs roses ou bien des petites étoiles bleues? Et mon décolleté jusqu’où dois je le faire tomber?"

Il n'y a rien de fictif à ce type de personnage, il existe -malheureusement- bel et bien, et je n'avais aucunement envie de le recroiser dans mes fictions.



Si seulement le livre cherchait à déduire une morale, ou critiquer un fait de société. L'auteur présente le tout comme un acte tout ce qu'il y a de plus acceptable et légitime voire amusant.



Alors oui c'est drôle par moment (et je dis bien par moment) mais est ce donc le but ultime de toute création de nos jours? C'est bête, c'est dégradant, c'est sexiste mais c'est tellement tellement drôle. Hop! on fourre ca dans la gueule des gens, la moitié a déjà la bouche béante et la salive qui dégouline.

Bridget Jones est blonde. Bridget Jones est trentenaire. Bridget Jones est maquée à Mr Darcy. Mais elle a du mal à le garder. Entre amour, coups de gueule et gueules de bois, Bridget raconte dans son journal ses péripéties, ses kilos, ses potes et ses parents sans manquer d'humour.



Mais que s'est-il passé ? Autant je me suis éclatée avec Le journal de Bridget Jones, autant je me suis ennuyée avec L'âge de raison. Celui-ci est relativement lourd et manque cruellement de la légèreté pimpante de l'opus précédent. Jadis spontanée, rusée et naturelle, Bridget est devenue un personnage sans surprise, avec un humour parfois pipi-caca qui ne lui ressemble pas et des péripéties peu convaincantes tellement elles sont surréalistes. Je me suis forcée pour terminer le second tome de la saga de la trentenaire british qu'on aime (aimait ?) tous ; on y tourne parfois en rond ; on tourne les pages sans grande conviction ; on fait durer notre lecture encore et encore, en lisant en parallèle un autre livre comme un amant irait voir ailleurs. Je me suis perdue dans son cercle d'amis et cette fois, je n'y ai pas trouvé ma place. Presque trop de personnages. Presque trop de relations, coucheries et tromperies. Bridget et Mark rompent. Bridget et Mark se remettent ensemble. La boucle est bouclée. Tout ça pour ça.



J'accorde ★ ★ ☆ ☆ ☆ à L'âge de raison. Je n'ai mis guère de coeur dans la lecture que j'en ai faite et je ne peux pas en mettre plus dans la critique du livre. Je suis tout simplement déçue. Me voilà fâchée avec Bridget Jones.
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Je viens de ce 3ème tome de Bridget et j'ai bien ri (ce qui fait du bien en ce moment). J'ai été contente de retrouver Bridget mais attristée de la disparition de Darcy (ce qui veut dire que Colin Firth ne sera pas dans le film snif snif..)

Bridget a 51ans, veuve avec 2 enfants, des kilos en trop et elle ne se remet pas de la disparition de Darcy, 5ans plus tôt. Ses amis l'encouragent à revenir dans la réalité et rencontre des hommes. Voilà donc Bridget qui se lance à l'assaut des réseaux sociaux pour trouver un toy boy....

L'auteur surfe sur les thèmes actuels des parents solos, des rencontres sur le net, des cougars et toys boys....

Je me suis retrouvée parfois dans Bridget, maman solo qui tente de tout gérer et d'être parfaite.... Sans Darcy, on retrouve la Bridget des premiers livres : "miss catastrophe", manque de confiance en elle, vouloir être à la mode....

Un livre drôle qui se lit vite où en somme on retrouve la Bridget des débuts qui tente de ressembler à toutes ses femmes de magazines qui gèrent tout.

Les personnages sont attachants et drôles.....

Bridget Jones est de retour, des années plus tard. Toujours aussi humaine, vulnérable et forte à la fois. Il est très facile de s'identifier au personnage, tellement réel.



J'aurais pu davantage apprécier le roman si l'auteure n'avait pas illustré le récit de tant de détails bien souvent inutiles.

Ce roman est la suite du Journal de Bridget Jones. Ici, on suit encore les aventures de Bridget, ses amours, ses amitiés et ses régimes répétitifs. Dans ce deuxième tome, Bridget reste la même à la différence près que l’élu de son cœur n’est plus son ancien charmant patron Daniel Cleaver mais Mark Darcy.



J’avais hésité à vous présenter le premier tome qui semblait s’inspirer d’Orgueil et Préjugés mais dans lequel, je n’avais trouvé aucune référence à part le nom de Darcy. Le second tome prétend s’inspirer de Persuasion et je me suis attelée à trouver les ressemblances. Et cette fois-ci, je les ai trouvées !



Les références au dernier roman de Jane Austen ne font leur apparition qu’après 200 pages alors soyez patient – ou alors j’en ai ratées. Je vais vous en présenter seulement deux ou trois pour ne pas gâcher votre lecture si jamais vous étiez tenté de lire ce roman.



- La persuasion des amis de Bridget vis-à-vis de Darcy rappelle celle de Lady Russell envers Anne.

- Mark Darcy a un ami qui se nomme Benwick. Il est sur le point de divorcer et se trouve des points communs avec Bridget en matière de guides personnels. Ici le personnage est le même que dans Persuasion et il parle poésie avec Anne.

- A un anniversaire, Bridget est assaillie par un enfant et Darcy l’aide. Même scène entre Anne et le capitaine Wentworth. Je vous laisse découvrir les autres.



En ce qui concerne le roman en lui-même, au début, j’étais exaspérée de lire les plaintes de Bridget et j’ai eu mal à me concentrer sur ma lecture à cause du style de l’auteur que j’avais bien aimé dans le premier tome. Malgré tout, après quelques pages, je me suis habituée et j’avais hâte de savoir comment l’histoire allait se dérouler. J’avais vu le film bien avant et je me suis rendue compte au fur et à mesure de ma lecture que tout était bien différent. Et ce n’est pas plus mal. L’histoire est entraînante et même si Bridget mériterait un bon coup de pied pour la motiver, on arrive à la plaindre un petit peu.
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Encore plus déjanté que le premier! Il m'a fait mourir de rire! Bridget est toujours aussi pathétique et en même temps tellement proche de nous! Son petit côté paranoïaco-délurée et son don pour se mettre dans des situations toujours plus rocambolesques lui donnent ce petit côté si attachant. Sa bande d'amis est toujours si amusante et piquante et Mark Darcy toujours aussi classe et charmant. J'aime décidément beaucoup cette auteure et son english touch! Par contre l'adaptation cinématographique est encore plus à déconseiller que le premier volet!

L’histoire m’était déjà connue et j’ai trouvé le livre plus fade que le film.

Je classerais ce roman dans les guides....

Le guide des mœurs bloquées américaines.



La pauvre Bridget est très mal dans sa peau mais elle s’en sort avec humour malgrès des contextes que d’autres jugeraient dramatiques

J'ai eu une période chick lit quand j'étais à la fac : la légèreté de ces romans me permettait de décompresser et d'oublier la lourdeur de mes études. Aussi, après avoir lu et apprécié Le Journal de Bridget Jones, j'ai continué sur ma lancée avec un autre livre de Helen Fielding : Cause Céléb'.

Dire que j'ai été déçue est un euphémisme. L'auteur tente de nous faire rire avec un sujet qui n'est pas du tout drôle : la faim dans le monde et l'engagement humanitaire. Je n'ai pas ri une fois mais, pire que tout, je me suis ennuyée. Les personnages sont creux et les situations ne sont pas crédibles. On ne ressent aucune émotion, aucune compassion, aucun intérêt pour les personnages.

En définitive ce livre m'a donné envie de fuir et de ne plus jamais lire un bouquin écrit par Helen Fielding !

Roman détente, "journal intime",plaisant à lire, beaucoup de rires !!! Toujours de fameuses expressions mais pas beaucoup de profondeur. Délectable quand on a le bourdon!

J’avais vu l’adaptation il y a un petit moment déjà. Pour le livre j’ai mis longtemps à le lire et là c’est négatif, il m’ennuyait peut-être est-ce parce que je ne comprenais pas tout (lu en anglais).



L’héroïne m’a fait penser à Georgia Nicolson qui tient elle aussi un journal (et je préfère Georgia), mais Bridget m’exaspérait, elle est stupide avec ses obsessions de l’apparence et des hommes (comment peut-elle sortir avec un coureur de jupons comme Daniel et croire au grand amour o.O !). Et son journal est peut-être drôle mais je n’ai pas une seule fois ri.



Daniel, irrespectueux et coureur de jupons, le genre d’homme que je déteste (et la façon dont il parle à Bridget -_-’). Mark Darcy (Darcy venant d’Orgueil et préjugés de Jane Austen, j’adore largement celui d’Austen, incomparable), il m’a semblé vide…



Déçue de cette lecture qui aurait pu être plus agréable (d’habitude la chick-lit me divertit un minimum). Je ne me lancerai donc pas le tome suivant. Pour une fois, je pense préférer le film !
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Lecture en moins de 24h (en prenant en compte une nuit de sommeil et une matinée de boulot) : un pur plaisir qui donne envie de lire la suite. Le plus surprenant. J'ai vraiment adoré le livre, ce style décousu puisqu'il s'agit d'un journal intime. On s'amuse à vivre le quotidien marquant d'une Bridget toujours sincère, qui écrit plus ou moins en fonction de son état d'ébriété ou tout simplement de son humeur.

Vraiment pas une oeuvre en soi !!

C'est peu dire.

A lire aux cabinets en quelque sorte......