Helen Fielding

À presque trente ans, Bridget Jones consigne ses déboires amoureux dans son journal. Elle sort trop, fume trop, boit trop, compte les calories et fantasme sur son play-boy de patron. Sa hantise : finir vieille fille. Ses objectifs : perdre du poids et trouver son prince charmant. L’irrésistible confession de la célibataire la plus célèbre de la planète.



Mon avis : J’avais vu (et adoré) le film d’innombrables fois et j’avais lu l’une des suites (Bridget Jones Folle de lui) qui m’avait fait hurler de rire. Il était donc temps de lire le livre d’origine, surtout en tant que premier livre de l’année 2018 car ce roman débute avec les bonnes résolutions de Bridget.



Publié en 1996, ce livre dégage une vraie saveur années 90s (Bridget aimerait apprendre à utiliser son magnétoscope !), mais il comprend de nombreux concepts toujours bel et bien d’actualité au 21e siècle : la célibattante, le couple marié-et-fier-de-l-être, l’enfoiré affectif, etc. Bref, c’est drôle, léger et pétillant, mais je tiens à souligner que je reste pantoise face au postulat qu’à 59 kilos on est obèse (sauf si Bridget mesure 1m20 !).



Je tiens juste à souligner que le style d’écriture peut en dérouter certains. Pour refléter le format journal intime, l’auteure ne s’embarrasse pas de pronoms et utilise un langage parfois très familier. Oubliez la syntaxe parfaite, c’est une véritable plongée dans les pensées intimes d’une jeune femme en pleine introspection. Je dirais que c’est la faiblesse principale du livre, ce qui me fait pencher la balance en faveur du film qui est une excellente adaptation.



Verdict : ♥ ♥ ♥ ♥ (= j’ai adoré mais je préfère quand même le film !)
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Lu en 2000.J'ai découvert Bridget Jones avant que ses mésaventures ne soient portées à l'écran et j'ai tout de suite adoré cette jeune femme qui nous ressemble tellement (en pire...) et qui m'a beaucoup fait rire.

Lu en 2003.J'ai été très déçue par ce deuxième tome des aventures de Bridget Jones que j'ai trouvé beaucoup trop tiré par les cheveux.

On retrouve Bridget Jones qui, à cinquante ans, est mère de deux jeunes enfants et à nouveau célibataire. Sans Mark pour la cadrer et organiser le quotidien, elle est perdue. Poussée par ses amis, elle décide de retrouver l’amour via les sites internet de rencontre et les réseaux sociaux auxquels elle devient complètement accro. Retrouvera t'elle l'amour dans les bras de son toy boy ou auprès du séduisant professeur Mr Wallaker ?

Malheureusement, la Bridget superficielle, naïve et gaffeuse qui m’amusait à 30 ans, me navre à 50 ans ! Ce roman fut une déception pour moi.
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En bref :

J’ai passé un agréable moment de lecture avec Bridget Jones. Le troisième tome n’est pas dans ma Pal mais il va de ce pas dans ma wish-list car j’ai bien envie de continuer à lire les aventures de cette trentaine londonienne.



Le moins :

J’ai un peu de mal avec les nombreuses abréviations.



Le plus :

On peut toutes (ou presque) retrouver un peu de nous dans Bridget Jones.
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Les ingrédients qui ont fait le succès du premier tome sont de nouveau réunis. Et c'est justement dommage, car si l'on retrouve le personnage phare et le côté humoristique, l'originalité en revanche fait défaut dans cet opus.



Malgré tout, Bridget reste le modèle d'une génération entière où l'on continue à retrouver une part de nous-même.



Un poil moins bon que le premier, cela reste une suite à lire, distrayante et drôle.

On ne présente plus la très médiatisée Bridget Jones, cette trentenaire célibataire dont les déconvenues amoureuses sont un pur régal.



Le style demande un certain ajustement, même si l'on sait à quoi s'attendre sous la dénomination de "journal intime".

Le personnage principal reste fringant d'actualité malgré les années écoulées. Mais si l'on s'y identifie facilement, il n'en reste pas moins qu'elle est parfois tout simplement exaspérante.

La lecture est parfois lourde de répétitions lorsque l'héroïne nous narre quotidiennement sa consommation alcoolisée, calorique ou encore tabagique. Et certains personnages secondaires sont tout bonnement des caricatures.



J'en garde donc un souvenir assez partagé. Heureusement certaines scènes sortent du lot et font de ce livre la pierre angulaire de la chick-lit. Bref, au final, pour moi cela reste un bon livre de gare, frais et marrant.

Nul Creux

Très mal écrit Beaucoup de fautes de français, des mots écrits a la suite qui ne veulent rien dire.

J'ai acheté les deux ensembles quelle erreur. Je ne sait pas si je vais lire l'autre. j'ai termine péniblement cette histoire qui s’emmêle de plus en plus dans le mélo. Rien de drôle dans les démêlés rocambolesques de cette célibataire ivrogne et tabagique.

A ne pas faire lire aux ado. Ce livre dénigre la femme et les célibataires, et les fait passer pour des moins que rien.

J’ai dévoré et adoré ce livre ! Je ne m’attendais pas à autant apprécier ce livre, et je ressors absolument ravie de ma lecture ! J’ai vu le film une fois ou deux, il y a quelques années, et il ne m’a pas marqué plus que ça, donc je ne m’attendais pas à grand chose du roman. Et j’ai adoré !



J’ai tout de suite bien accroché avec le personnage de Bridget. Si j’étais célibataire, je pense que je serais une Bridget par certains aspects, surtout pour le côté perte de poids… En fait, même en étant en couple, je ressemble à Bridget pour le côté perte de poids ! Et pour le côté cuisinière aussi, du genre à se fixer de grands objectifs absolument inatteignables et finir avec le pied dans la purée… bref ! On a toutes un peu de Bridget en nous, et c’est ce qui fait la force de ce livre. J’ai trouvé ce personnage absolument génial, déluré et touchant à la fois. Toutes ses faiblesses m’ont parlé et m’ont fait rire !



J’ai également beaucoup aimé les personnages secondaires, Darcy en premier lieu. Oui, Darcy, Jane Austen, blablabla, vous aurez forcément remarqué le parallèle entre les deux œuvres : préjugés entre les personnages, sens de l’amour dans la société actuelle, une mère épouvantable, etc. Le petit souci c’est que je n’ai apprécié Darcy que vers le milieu du livre, au début il est quasiment inexistant, donc j’ai eu un peu de mal à me projeter dans sa romance avec Bridget. Mais j’ai surtout adoré son groupe d’amis, Jude, Sharon et Tom !



Le petit souci que j’ai eu, c’est avec le style. Certaines phrases ne sont pas rédigées dans leur intégralité, de même que certains mots. Au début, ça m’a un peu dérangé. Mais au fur et à mesure de ma lecture, ça s’est arrangé, et je ne me focalisais plus sur ces éléments.



L’histoire m’a entrainé, même si elle est parfois abracadabrante, et m’a fait sourire jusqu’aux dernières lignes ! Je lirai la suite avec plaisir, sachant qu’en plus je n’ai jamais vu le film (ou si je l’ai vu, je ne m’en rappelle pas du tout !) !



17/20
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Bridget Jones, jeune trentenaire indépendante, entourée d’amis et de parents un peu foldingues et lourdingues, cherche désespéramment le grand amour. Elle est attachante cette Bridget, mais par moment, j’ai eu envie de la secouer tout de même. Elle est toujours à se larmoyer. « Je suis seule », « personne ne m’aime » et ce, quasiment tout au long de ma lecture… c’est redondant et fatiguant à la longue !

Par contre, j’ai trouvé bien original l’idée du journal, la manière dont c’est écrit et surtout le compte de ses kilos pris ou perdus, des cigarettes fumées, des verres bus etc. à chaque fois qu’elle écrit dedans. D’ailleurs, certains de ses commentaires prêtent à sourire. En bref, lecture légère et style plaisant, c’est sympatoche… mais pas plus. Bizarrement, j’ai davantage aimé le film !

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Ben oui, voilà, on l'aime Bridget, parce qu'elle nous ressemblance. Parce que c'est nous, peu importe l'âge, le tour de taille ou de poitrine. Nous sommes toutes passées par les mêmes émotions, les mêmes doutes, les même envies. Et puis c'est drôle, très drôle. Et même si on ne s'y reconnaitrait pas, on reconnaitra certainement sa voisine, sa cousine ou sa meilleure amie. Un des best-sellers du genre; les autres ne lui arrivent pas à la cheville. Quitte à n'en lire qu'un, que ce soit celui-ci.

J’avais vraiment besoin d’une lecture légère et divertissante. C’est ce que m’a apporté ce livre, mais sans plus. Dans les extraits de chroniques qui apparaissent sur le livre, on peut lire qu’il s’agit d’un livre hilarant ou encore que l’humour de l’auteur est absolument brillant. Je n’irai pas jusque-là. Il s’agit d’un roman qui m’a fait tout au plus sourire mais je n’ai vraiment ri à aucun moment. « L’humour » qui fait le roman, c’est que l’on se retrouve parfaitement dans toutes les situations de la vie quotidienne qui arrivent à Bridget, mais je dirais plus que c’est avec ironie et une certaine tendresse que l’on aborde ce côté plutôt qu’avec humour véritablement.



Je regrette un peu de l’avoir lu en anglais, mais c’est quelque chose que je ne pouvais pas deviner. Tout d’abord, il y a énormément de références londoniennes et un vocabulaire familier très british auxquels je ne comprenais rien. Mais étant donné qu’il ne s’agissait pas véritablement de vocabulaire utile car peu employé dans d’autres livres, j’avoue ne pas avoir pris la peine de chercher tout ce que je ne comprenais pas. Il y avait également beaucoup de blagues avec des personnalités prises comme référence, et là aussi je ne les connaissais pas (est-ce parce que je suis française ou parce que je ne suis pas de la même génération ? difficile de le savoir). En plus, n’oublions pas que le livre a été publié en 1996 et que je suis née en 1994. En bref, j’ai trouvé qu’il y avait un véritable fossé culturel et générationnel qui me bloquait un peu l’accès à l’humour du roman et qu’il aurait été plus sage de le lire en français, car je suis certaine que la traduction a eu recours à des explications pour faire apparaître le sens de certaines blagues.



J’ai bien aimé le format du roman, qui est assez original. Les chapitres sont remplacés par les mois de l’année et c’est donc tout naturel que le roman soit divisé en douze parties. Pour chaque mois, il y a des jours où Bridget écrit dans son journal et parfois des semaines où elle nous laisse sans nouvelles d’elle. Les passages sont variables, et peuvent aller de quelques lignes seulement à 4-5 pages. Une mise en forme qui nous laisse véritablement penser que nous sommes en train de lire un véritable journal intime.



En tout cas, un roman qui nous fait réaliser que nous ne sommes absolument pas les seules à compter le nombre de calories que nous mangeons, à nous peser constamment sans comprendre pourquoi l’on n’a pas perdu de poids, à nous poser un million de questions, ni à avoir de grandes attentes pour nos soirées entre amis qui finissent toujours par foirer. C’est extrêmement réaliste et bien vu et c’est ce qui fait à mon avis le grand succès de ce roman. Je n’ai pas encore vu le film mais je ne sais pas pourquoi, l’histoire me semble plus adaptée à un film qu’à un livre et je sens que cela va bien me plaire.



Une comédie romantique sympathique avec un personnage principal original mais auquel on peut s’identifier facilement, qui est devenu emblématique avec le temps et est bien parti pour rester le classique incontestable de la chick lit. Pas un chef d’œuvre, et je ne le recommanderai pas vivement, mais il m’a fait passer un bon moment.
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Je remercie Babelio et les éditions Harrap's pour l'envoi de ce livre. Il s'agit du livre “Le journal de Bridget Jones“ dans lequel on retrouve la célèbre trentenaire obsédée par son poids, maladroite, délurée qu'on a l'impression de connaître tellement elle nous ressemble. J'ai beaucoup apprécié la structure des chapitres qui est vraiment ressemblant à un journal intime. Le fait d'avoir des numéros sur les mots parfois compliqués à comprendre et de pouvoir lire leur traduction dans la marge est très pratique pour la continuité de la lecture. Cette édition est une belle découverte et permet de nous aider à lire en anglais.



On découvre Bridget Jones durant une année à travers son journal dans lequel elle écrit chaque jour : son poids, les unités d'alcool consommées, le nombre de cigarettes fumées mais aussi le nombre de calories absorbées. Bridget confie tous ses secrets dans ce petit journal et on plonge ainsi facilement dans son histoire à la fois fraiche et drôle. Mais, elle n'a pas une vie facile, loin de là, entre une mère en pleine crise existentielle, un père déprimé suite à la rupture avec sa femme, des amis qui un jour filent le parfait amour et le lendemain sont célibataires, sans parler d'un boss très séduisant, Daniel Cleaver. Mais le destin tumultueux de notre chère Bridget ne s'arrête pas là, en effet, elle croise le chemin de Mark Darcy, grand avocat, riche mais à l'allure coincée. Elle est complexée par son poids et se focalise sans arrêt sur des régimes, elle alterne excédant de nourriture et culpabilité ensuite. C'est pourquoi elle peut nous faire penser à nous car, après tout qui n'a jamais mangé de chocolat lorsque le moral n'était pas au rendez-vous ?



J'ai apprécié l'originalité de la mise en forme du livre, il n'y a pas de chapitre, uniquement des dates afin de lire les pensées de Bridget. J'ai cependant été agacée car, d'accord elle se focalise sur son poids mais de là à écrire chaque jour tout ce qu'elle a pu consommer, j'ai trouvé ça lassant à la longue et cela peut rendre la lecture lourde. J'adore le personnage de l'héroïne qui m'a fait beaucoup rire entre ses amours ratés, ses maladresses et sa joie de vivre. J'ai passé un bon moment dans ma lecture et lirai avec plaisir la suite de ses aventures.
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Qui ne connaît pas Bridget Jones, ne serait-ce que par l’intermédiaire des deux films sortis au début des années 2000 ? J’avais adoré ces films à l’humour très rafraîchissant, et je me suis enfin décidée à me lancer dans le premier des trois livres de la saga d’Helen Fielding dont ils sont issus. Un grand merci au passage à Gabrielle, qui me l’a offert dans un swap organisé sur l’Imag’In Café. Le journal de Bridget Jones nous propose donc les chroniques délirantes d’une célibataire londonienne de 30 ans, célibataire et sans enfant.



Il est vraiment très rare que l’adaptation cinématographique d’un livre soit meilleure que son original, et c’est pourtant tout à fait ce que j’ai ressenti ici. Comme le veut son titre, le roman se présente sous la forme d’un journal intime, dans lequel Bridget nous expose tous ses petits problèmes, de poids, relationnels et surtout sentimentaux. Mais autant je l’avais trouvée attendrissante et drôle dans le film, autant elle m’a paru ici futile et un peu bête, presque agaçante pour tout dire. A moins que ce ne soit tout bonnement parce que j'ai moi-même mûri, allez savoir !



Bon après, l’auteur manie parfaitement le style « journal intime » et les situations toutes plus délirantes les unes que les autres restent amusantes, je ne dis pas le contraire. Bridget prend sans cesse de bonnes résolutions qu’elle s’empresse d’oublier l’instant d’après ! Mais je ne me suis pas franchement retrouvée dans ce personnage pas si attachant, tout compte fait. On cherche à nous faire croire que chacune d'entre nous est Bridget Jones, quelque part, mais j'ose espérer que ce n'est pas le cas !



Bref, une lecture bien fade à côté d’un film qui m’avait beaucoup fait rire, c'est assez rare pour mériter d'être signalé. J’avais l’intention de lire toute la saga, mais pour le moment, je n’en ai plus réellement envie.
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J'attendais avec impatience un nouvel opus des aventures de Bridget. Et je ne suis pas déçue, même si - attention spoiler - Mark Darcy est déjà mort quand on commence ce livre. Ce qui est surtout dommage pour l'éventuelle adaptation cinématographique.

Bridget est toujours aussi gaffeuse, obsédée par les calories, un brin alcoolique, et on ne peut pas dire qu'elle se soit assagie avec le temps. Seul changement notoire, la présence de ces enfants.

Entre les personnages tout aussi farfelus que dans les précédents tomes et les situations toujours aussi rocambolesques, on a affaire encore une fois à une très bonne comédie. Et ce n'est pas si courant...

Des retrouvailles sympathiques avec Bridget... Mais sans Mark Darcy qui a rejoint les étoiles en laissant Bridget seule avec leurs deux enfants. On retrouve Bridget 4 ans après la mort de Mark qui essaie comme toujours d'organiser sa vie avec plus ou moins de succès. Entre orgie de fromage râpé et soirée arrosée avec ses fidèles amis, elle découvre twitter et devient une cougar (bah oui elle a 51 ans ! ).



La recette qui a fait le succès de Bridget Jones est au rendez-vous. Même mode narratif, même situation coquace, on pourrait presque se dire qu'on a quitté Bridget hier.

Sauf que la Bridget trentenaire m'a fait rire, la Bridget quinqua m'a seulement fait sourire. Mais je ne pense que pas que ce soit dû à la qualité intrinsèque du livre. C'est plutôt que je me sentais plus proche de la jeune Bridget.



J'ai passé un bon moment de détente livresque malgré tout :-)

J'ai dévoré ce livre en quelques jours. Ce roman m'a offert beaucoup de divertissement. Olivia Joules est dotée d'une personnalité peu commune. Je me suis énormément amusée avec ce personnage.



Même si l'intrigue est peu crédible ainsi que le dénouement, j'ai laissé de côté la réalité et me suis plu à voyager avec Olivia. Dans ce roman, on retrouve également les clichés de la culture anglaise et de la culture américaine. Le personnage principal est amené à fréquenter un monde de strass et de paillettes où se cache un mystérieux réseau dont elle ne tardera pas à déjouer les fils.



Il y a du suspens et de nombreux rebondissements. La plume d'Héléna Fielding est acérée et très fluide. Je vous conseille vivement ce livre pour passer un bon petit moment de détente.


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On retrouve avec bonheur Bridget dans ce deuxième volet.



Bridget semble ne pas trouver son équilibre avec Mark Darcy, toujours tiraillée par ses vieilles habitudes de célibattante et finit par saboter sa relation. S'ensuivent de nouvelles aventures, peut-être un peu trop "extraordinaires" mais la recette marche toujours et le livre se lit très vite avec beaucoup de plaisir et de délectation.

À travers ce journal intime, nous suivons les aventures et des déboires de Bridget Jones, cette anglaise presque trentenaire et qui n'a pas toujours pas établi de relation stable avec un homme responsable. Entourée de ses amis, Tom, un gay ex-chanteur raté et de Sharon, sa meilleure amie,

et de trop (à son goût) de couples mariés, Bridget va prendre des bonne résolutions pour cette nouvelle année. En haut de sa liste : arrêter de fumer, arrêter de boire et surtout...perdre du poids.

Il faut dire aussi que son environnement familial ne lui est pas d'un grand secours : entre une mère égoïste et complètement névrosée et un père affectueux mais qui n'arrive pas à suivre la cadence, vous voyez un peu le tableau... Aussi, un de ses autres objectifs est-il de trouver un homme stable qui ne soit ni 'une enfoiré affectif » ni un de ces « fils à maman » coincés que sa mère lui aura présentés. Autant dire que la partie n'est pas gagnée d'avance...

Livre plein d'humour mais sans que cela soit lourd et tombe dans des clichés. Si vous voulez passer un bon moment en lisant un livre drôle et léger, je vous le conseille.