A Jean Paulhan
Novembre 1934
(...) Maintenant la photo. C'est extraordinaire, cette manie des photos. J'ai écrit pour qu'on puisse justement se passer d'une photo de moi. Me suis-je assez montré ! Eh bien qu'Est-ce qu'il leur faut encore ?
Je vais justement faire faire une radioscopie de mes poumons, car ça ne va pas fort là-dedans.
Je la lui enverrai, et un agrandissement de mon nombril. Soyez tranquille, c'est présentable, le cordon ne pend plus. On l'a coupé proprement, en temps voulu. (p. 32)