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Critiques de Hiraku Miura (46)
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Beauty and the devil

Charles, un roi démon, tombe sur terre, perd ses pouvoirs et doit pour les récupérer, prendre le sang d'une vierge... Il jette son dévolu sur la très jolie et gentille lycéenne Rin, qui vit seule avec son grand père. Sa douceur et sa persévérance lui permettent rapidement de conclure un pacte avec la jeune fille.

Une histoire d'amour satanique, mignonne et légèrement grivoise, de jolis dessins et des personnages amusants, charismatiques et sympathiques, qui font de ce manga une agréable distraction.
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Beyond evil, tome 3

Ah ! On a enfin la profondeur que j'attendais (bon c'est vrai en écrivant mon avis sur le tome précédent, j'avais oublié cette fameuse "porte noire" dans l'esprit de Gôta...).



Du coup ça devient drôlement plus intéressant, "Prince" apportant une dimension dangereuse et déjantée à l'ensemble. Gôta a bien du mal à s'en dépatouiller, du "Prince" en question, parce que, contrairement à ce qu'on pourrait croire, c'est pas une partie de lui, mais "un autre lui".

Il n'en fait donc qu'à sa tête quand il est aux commandes, et apporte plein de rebondissements (d'ennuis, serait plus juste, lol) dans la vie de Gôta !



C'est dingue, amusant dans le flippant, et ça s'améliore en avançant. Je ne suis pas sûre qu'on ait quoi que ce soit de plus "derrière" que ce qu'il y a là, mais c'est déjà pas mal du tout...



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Beyond evil, tome 2

On poursuit les aventures de Gôta, avec Viktor comme maître, et des concurrents (ou des collègues, ça dépend du point de vue), de ce dernier...



Qui sont-ils ? Des sortes de démons, semble-t-il. Ils offrent ce qu'on veut contre des années de vie. Kiyoto, un "collègue", donc, débarque dans le coin et s'en prend à une enfant harcelée à l'école, ce dont tout le monde se fout éperdument (du moins est-ce l'impression qu'elle a, mais vu qu'elle n'en parle pas, bah forcément elle n'a pas beaucoup d'aide...). Par un biais un peu tordu, il la sort d'un mauvais pas puis propose de la venger, par "contrat".



Or donc Gôta s'attendait à ce que Viktor intervienne, mais Viktor s'en fout. Ou peut-être fait-il semblant pour voir jusqu'où son stagiaire est près à aller ? On ne sait pas trop, tout a l'air de tests dans ces livres, histoire de voir les potentialités du jeune homme.



Les personnages sont toujours bien reconnaissables, aucun risque de les confondre, mais rien qui casse la baraque niveau dessin, pas de grandes cases, sauf peut-être avec les exécuteurs à la fin...



Un petit reproche que j'aurais à faire c'est qu'on ne sait pas très bien où les auteurs veulent en venir, et toutes les situations s'enchaînent très rapidement sans qu'on comprenne bien. Espérons que ça s'éclaire dans les deux tomes suivants, j'apprécierais un fond un peu plus consistant.
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Beyond evil, tome 1

Un grand merci à Babelio et aux éditions Kazé pour cette découverte. Je le sentais bien, j'avais raison ! Je viens en plus de voir que c'est en 4 tomes, Ô JOIE !

(C'est pas de la mauvaise volonté, mais en le fermant, restant en plein mystère, je me disais "il faut que j'arrête de cocher des tomes 1 de mangas ou de BDs en cours, je sais encore pas quand ça va finir...". Et finalement si ! Ouf !).



Parce que c'est drôlement bien ficelé. On perd pas une minute en digressions, c'est droit au but. J'avoue que les 3 premières pages m'ont rendue perplexe. Cette partie de poker étrange, détaillée, en plus, et on se dit "mais c'est quoi ce manga ?". Mais ça ne dure pas très longtemps !



Quand Gôta, l'étudiant, entre en scène, l'action démarre, et ne s'arrête plus jusqu'à la fin de ce premier tome.

Bon j'avoue là j'ai une pensée pour "Deathnote". Mon tout premier manga ! Parce que les dessins m'y font penser, le sujet, aussi, les ambiguïtés et les questionnements rattachés à la mort sont à peu près du même acabit.



En bref, j'ai beaucoup aimé le scénario, les dessins sont pas mal, pas vraiment "beaux" mais vu le sujet, ça ne s'y prête pas. Les personnages sont bien reconnaissables, on ne peut pas les confondre, et leurs noms faciles à retenir (pas toujours évident pour moi dans les mangas, j'avoue) !



Je pense hélas plonger pour la suite incessamment, ralala, je suis indécrottable... *soupir*



Relu le 25/01/18 : je l'ai trouvé encore meilleur que la première fois que je l'ai lu. Et comme je compte lire la série dans la foulée, c'est parfait !
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Wild Love, tome 1

Cela s’appelle se faire rouler. Si, si. J’ai trouvé ce livre dans le rayon des shojos, j’ai trouvé la couverture très belle, avec ces fleurs et ces tons roses, et elle l’est. Je n’avais pas vu la petite inscription « pour public averti ». J’ai débuté la lecture pendant le quart d’heure lecture, et heureusement, personne ne m’a posé de questions sur ma lecture (j’étais avec les troisièmes).

L’histoire aurait pu être bien, mais l’héroïne est d’une naïveté confondante. Oui, dans les shojos, les héroïnes sont naïves, mais tout de même. Je lui conseillerai de rompre illico avec son amant loup garou, tout sauf mignon, relativement violent, et qui ne tient pas du tout compte de ses désirs à elle. Oui, je suis restée focalisée là-dessus, elle est son « repas », un point c’est tout. Le quatrième de couverture dit qu’il est en demande d’affection, l' »affection », ce n’est pas vraiment ce qui se passe entre eux ! Naïve, toujours, Yuzuki accepte de se rendre dans la boutique d’un inconnu, et tant pis si elle ne sait pas ce que vend cette boutique, tant pis si elle ne connait pas bien ce quartier, tant pis si elle a peur d’un moineau – pour quelqu’un qui parvient à apaiser l’animal le plus violent, c’est tout de même un comble.

Alors oui, l’on devine des luttes de pouvoirs, entre ces loups qui existent au Japon depuis des siècles et tentent de survivre, ces loups-garous qu’il faut vider de leur force/magie/pouvoir (oui, je suis déjà en train d’oublier ce que j’ai lu) avant qu’ils ne deviennent extrêmement violents mais cela semble presque à la périphérie du roman. J’ajoute un autre personnage, la princesse des loups qui est recherchée par des loups garous, justement, et qui, à mon sens, est juste sous notre nez (ou truffe, cela dépend).

Il doit exister une suite, puisque c’est un tome 1, mais je ne la lirai pas.
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Beauty and the devil

Un one-shot intéressant et doté d'un bon potentiel au niveau du scénario, donnant envie de découvrir le manga Midnight Devil.

Toutefois, j'ai buté sur la première scène "d'amour", l'absence de consentement de l’héroïne donnait plus une scène d'agression, même si au final elle a prit du plaisir, le corps peut parfois être traître....
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Wild Love, tome 1

Un premier tome qui pose les bases d'une romance assez simple dans le fond mais avec une pointe d'originalité avec le loup-garou. Le tout avec un peu d'humour et de mystère.

J'ai hâte de voir ce que nous réserve la suite niveau intrigue.
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Beyond evil, tome 2

Johnny Butler, plus connu sous le nom de Raven, rassemblait des personnes licenciées ou endettées afin de les faire participer à un jeu lui permettant ainsi de récupérer quelques années de vie. Les candidats devaient s’entretuer pendant une heure et les survivants empochaient alors la somme de 100 millions de yens (environ 815 000€). Étant donné que Raven est une personne préventive, il a protégé le lieu où se déroulait ce fameux jeu par des barrières psychiques empêchant Viktor d’y pénétrer de force. C’est là qu’est intervenu Gôta qui avait pour mission de participer au jeu afin que Viktor, usant de l’esprit de Gôta, puisse mettre fin aux agissements de Raven. Une fois cette mission accomplie, Viktor et Gôta ont repris la route, Gôta interrogeait Viktor sur ses propres peurs et ce dernier nous laissait une réponse un peu évasive attisant notre curiosité. C’est ainsi que se terminait le premier tome de Beyond Evil, voyons donc ce qu’il adviendra de notre duo dans ce second tome, disponible chez Kazé.



Après l’affaire Raven, Viktor descelle un certain pouvoir émanant de Gôta, celui-ci semble posséder des capacités à fort potentiel que Viktor compte bien exploiter. L’histoire suit son cours et met en scène, en début de tome, Yukari, une jeune lycéenne qui se fait harceler et qui souhaite mettre fin à ses jours. Gôta étant proche de la scène bondit pour tenter de la sauver avant que le train ne la renverse mais la voilà sauvée, semble-t-il, par un nouveau venu vêtu d’un costard cravate, plutôt stylé avec une belle dégaine répondant au nom de Kiyoto. Il va d’ailleurs aller se présenter à Viktor car il a établi un contrat sur son territoire.



Gôta se met alors dans tous ses états car il considère que Kiyoto a profité du mal être de Yukari pour lui établir un contrat en échanges de ses années de vies. Il demande alors de l’aide à Viktor pour mettre un terme aux agissements de Kiyoto, mais Viktor décline sa proposition. Réponse qui ne plaît pas à Gôta qui va foncer tête baissée hors du bureau de Viktor et se met alors l’idée en tête qu’il y parviendra seul. De fil en aiguille, Kiyoto va venger Yukari de sa camarade tyrannique finissant par la balancer du haut du toit de l’école mais Gôta la sauve in extremis. Cet acte aura de lourdes conséquences pour Gôta car après s’être frotté à Kiyoto il va malheureusement se rendre compte de son erreur le menant vers une tragédie dont il va devoir faire au péril de sa vie…



Ce second tome démarre d’emblée sur une scène, du même acabit que la scène finale du tome 1, piquant ainsi notre curiosité avec l’introduction d’un nouveau personnage, qui connaissait Raven. À peine les premières pages entamées, une certaine interrogation est soulevée quant à l’identité de ce « prisonnier » qu’a fait Viktor. Je me suis directement demandé s’il s’agissait de cette même personne dont parlait Viktor à la fin du tome 1, celle qu’il se dit avoir enfermée à double tour au plus profond de son être. Le mystère pèse alors et il persiste dans ce tome 2, sans apporter vraiment de réponse ou tout autre suspicion.



J’apprécie toujours autant le travail effectué par Ogino tout au long de ce second tome, digne du premier volet. Les traits sont toujours aussi appréciables, travaillés et percutant à bon escient. J’ai aimé notamment la scène finale de la clause 12, celle du passage à niveau, qui est bien mise en scène avec l’accélération de Gôta, où on ressent son stress au vue des traits et gouttes sur son visage. C’est aussi à ce moment-là qu’est apparu « le nouveau gars » et la scène où il est introduit m’a fortement fait penser à celle où Viktor sauve Gôta dans le tome 1, celle qui marque le début de leur « contrat », sans pour autant s’y attarder car on connaît le principe, cela ayant été mis en scène dans le tome 1. L’affrontement entre Kiyoto est Gôta m’a aussi bien surpris, je suis resté saisi de la tournure qu’a pris ce face à face. On ne voit pas venir une certaine action, l‘effet de surprise dans le scénario avec de bons rebondissements est encore bien mené par Miura dans ce second tome.



Alors que la couverture du tome 1 mettait en avant Viktor, celle du tome 2 fait honneur à Kiyoto. On en apprend vraiment très peu sur cet homme, qui, je trouve, fait contraste avec Viktor dans leurs manières d’agir, leurs caractères et même d’un point de vue esthétique. Quand on regarde Viktor, il a les cheveux bien peignés, vêtu d’un costume blanc, un regard sombre, les mains tatouées et les ongles vernis de noir, il impose de sa présence alors que Kiyoto c’est carrément l’inverse avec une chevelure plus ébouriffé portant un costume noir, au sourire u peu sadique avec un côté plutôt impulsif. Je reste sur ma position : Viktor reste le plus imposant. Reste à savoir si Kiyoto refera surface dans un prochain tome ou s’il n’était que de passage.



Je trouve Viktor toujours aussi charismatique, sûr de lui, il montre bien que c’est lui le maître et que Gôta est à son service. Mais le jeune garçon, lui, ne va en faire qu’à sa tête, il ne fera pas preuve de maturité, se mettant une certaine idée en tête, quitte à se frotter à un adversaire dont il n’est pas de taille. Situation qui lui mettra un peu de plomb dans la tête et qui nous montrera une certaine force de caractère émanant du jeune garçon. C’est aussi au cours de ce tome que les liens entre Viktor et Gôta commencent un peu plus à s’intensifier avec une rencontre vers la fin du tome très percutante. D’ailleurs, ce fameux passage dans l‘au-delà est très bien mis en avant, la découpe des vignettes et la ponctuation de noir fait bien ressortir l’atmosphère plus pesante.



J’apprécie vraiment cette série où le scénario de Miura est bien intense, mature et toujours bien ficelé, nous proposant certaines surprises entre nos principaux protagonistes. La violence est ici moins présente que dans le premier tome, les scènes penchent davantage à nous orienter vers l’ascension de Gôta. J’ai aimé l’allusion de Gôta avec Baba la voyante qui fait référence à un personnage du manga Dragon Ball. C’est aussi dans ce second tome que nous faisons aussi la connaissance d’un autre personnage, d’un certain groupe appelé les « exécuteurs de la loi » et de l’au-delà.



« Une scène finale pleine d’entrain et de surprise, des yeux captivés par un scénario pleins de rebondissements. Un tome moins violent que son prédécesseur mais tout aussi sombre qui annonce du tout bon pour la suite ! »
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Beyond evil, tome 1

Viktor est un être surnaturel très puissant qui monnaie la vie des humains. Il sauve Gôta, un adolescent et passe un contrat avec lui. Première partie réussie d'une tétralogie. Ogino et Hiraku Miura signent un manga rythmé et plaisant avec des chapitres courts, indépendants et percutants.
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Wild Love, tome 2

Dans ce second tome on se retrouve un peu dans un scénario basique, loup-garou, vampire et humaine. Toutefois, je trouve l'histoire intéressante et prenante, malgré des scènes de sexe que je ne trouve pas vraiment nécessaire....
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Wild Love, tome 1

Yuzuki fait des études pour devenir toiletteuses pour animaux. Depuis quelques jours, elle a perdu un petit chiot qu'elle avait recueilli, son voisin Shiro l'aide dans ses recherches. Yuzuki est très attirée par Shiro qui est en fait un loup garou et qui est lui aussi sous le charme de la jeune fille. Une histoire assez banale malgré le côté fantastique.
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Beauty and the devil

Dans ce manga, il est question de toiture détruite, de démon qui a perdu ses pouvoirs et de SEXE. De sexe, de sexe, de sexe. C'est à peu près tout ce que j'ai retenu de ce manga...

Pas qu'il soit mauvais, mais il n'est pas extraordinaire non plus. Comme beaucoup de oneshot, le récit est trop rapide, mais là en plus, c'est un peu décousu.Les personnages ne sont pas exploités, les chapitres s'enchaînent sans vraiment se suivre.

Heureusement, les dessins sont très jolis, très féminins, mais paraissent parfois mal imprimés. Ou peut-être ai-je eu un exemplaire défectueux ?



Mais n'allez pas croire que je n'ai pas aimé. Malgré tous ses défauts, c'est une lecture détente qui fait sourire, qui détend. C'est mignon, sans prétention et ça se lit bien.



Au final, un shojô fantastique gentillet qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais qui se lit sans déplaisir.
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Wild Love, tome 1

Concernant la couverture, je la trouve vraiment très jolie. Je n'aime pas le rose et, bien qu'il soit présent, nous sommes plus sur des teintes violettes et parme, ce qui me va très bien. Les personnages sont magnifiques. J'aime le fait qu'il y ait un très léger relief qui donne un côté brillant.

Par contre attention, la couverture a beau être mignonne, il s'agit bel et bien d'un josei avec de la nudité et du sexe. A ne pas mettre devant tous les yeux !



Concernant les graphismes, ils sont tout simplement à la hauteur de ce que promet la couverture : fins, délicats et magnifiques. Autant les personnages, que les animaux ou les vêtements. J'aime vraiment beaucoup ! Pour moi, c'est quelque chose de primordial, qui va me décider ou non à 50% pour acheter un manga.



Venons-en à l'histoire. Yuzuki Madoka est une jeune fille qui a toujours eu un don avec les animaux. Aujourd'hui, elle fait des études pour devenir toiletteuse. Un jour, elle trouve un petit chien blanc qui semble perdu. Même si sa résidence interdit les animaux, elle décide de le prendre sous son aile et le prénomme Shiro. Malheureusement, il disparait peu après...

En même temps, Shirô Kuon, un étudiant emménage dans l'appartement voisin du sien. C'est un beau jeune homme, gentil et attentionné, qui l'aide à chercher son chien. Leur attirance va être très rapide.



Que dire de ces deux personnages ? Le secret de Shirô est très vite révélé. Je ne vais pas vous spoiler, mais si on parle de romance paranormale et qu'en plus vous regardez bien la couverture, vous comprendrez aisément sa teneur. Enfin passons. C'est, comme je l'ai dit, un jeune homme gentil et attentionné. Très câlin et très porté sur la chose également. lol

Yuzuki, quant à elle, est une jeune fille douce, innocente et passionnée par les animaux. Un peu l'archétype de la nunuche, mais je trouve qu'elle fait preuve d'un certain courage lorsque le danger rode. Sans compter qu'on sens qu'il y a un petit mystère autour d'elle, peut-être même dans son passé. Et puis je l'ai trouvée très mignonne lorsqu'elle s'est rendue compte de ses sentiments. ^^



Parlons maintenant des scènes de sexe. Elles ne sont pas vulgaires, montrent assez sans en montrer trop. Le vocabulaire n'est pas déplacé. Rien de choquant à mon niveau. Ces scènes arrivent très vite dans l'histoire et sont ensuite plus que régulières. Avant, je pense que cela m'aurait sans doute dérangée, mais pas aujourd'hui. Pourquoi ? Parce que maintenant je suis apte à comprendre cette passion et cette tension sexuelle que je n'avais jamais rencontrée avant avec mes anciens partenaires. Maintenant, cette attirance et cette envie de fusionner avec l'autre, je les connais. Je pense qu'à sa place, je ferais certainement la même chose. lol



La seule chose qui me dérange vraiment, c'est que lors de ces scènes, elle passe son temps à avoir les larmes aux yeux, comme si c'était des larmes refoulées, comme si son corps et sa bouche disaient oui, mais que son cœur disait non. Alors que l'on sait très bien qu'elle est heureuse. Après, les larmes de bonheur à chaque rapport, je n'y crois pas trop non plus... Quand c'est la première fois, et que tu es ivre de bonheur, à la limite, et encore... Est-ce pour la rendre plus mignonne ? Plus désirable ? Ce serait du n'importe quoi...

Pour moi, un rapport plus des larmes, j'associe ça à un viol... Oui, je sais, ici ce n'est pas du tout le cas. Mais je trouve qu'elles n'ont pas leur place, qu'elle donnent des codes erronés sur les rapports sexuels. Sans compter que, je n'ai pas lu les autres tomes mais, si jamais elle venait effectivement à subir des attouchements ou un viol, comment le différencier d'avec ses rapports avec Shirô, vu qu'elle pleure (j'imagine) dans les deux cas ? Peut-être juste par les mots...

Enfin bref, ces yeux humides m'ont vraiment dérangée.



Revenons un peu à l'histoire. Nous avons une romance paranormale érotique, certes, mais il n'y a pas que ça. Il y a tout un pan plus sombre de ce côté paranormal qui se met peu à peu en place. Il y a des attaques, des traques, des petites choses de dites qui nous dévoilent un peu les contours opaques de quelque chose d'autre... Je pense que l'histoire d'amour de nos tourtereaux ne sera pas toute rose et que leur route sera sans doute semée de quelques embûches.



Juste un dernier petit point, mais la conclusion du bonus Premier maître... Autant je comprends dans quel sens et quel contexte Yuzuki la prononce, et aussi du fait de la nature de Shirô... Mais ça a, sorti de son contexte, une connotation de servitude et de perversité plutôt marquée... ^^'



En résumé, j'ai passé un très bon moment entre les pages de ce premier tome. Il nous présente une romance paranormale à la foi mignonne et plutôt chaude, avec des personnages attachant qui, je l'espère, seront un peu plus creusés dans les prochains tomes, tout comme les mystères qui les entourent. Petit bémol pour les larmes de Yuzuki à chaque rapport sexuel. Ma note sera évolutive en fonction de mon ressenti sur la fin de cette saga de 6 tomes.
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Beyond evil, tome 1

J'ai découvert cette série de type manga un peu par hasard. Je n'en avais jamais entendu parler avant. Tout en noir et blanc, on ne sait pas trop si on a affaire à des anges ou à des démons ou bien des sortes d'anges de la mort dotés de super pouvoirs. On entre rapidement dans un cycle d'ultra violence qui dépend les défauts de la société japonaise tels que les taux d'usure exorbitants ou l'attrait des jeux type Battleroyal.
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Beyond evil, tome 1

L’introduction de ce premier tome se fait par une scène où on assiste à une partie de poker qui me semble un tant soit peu particulière, avant de faire la rencontre plutôt musclée de Gôta, jeune homme qui impose directement sa force de caractère. Gôta est un jeune lycéen qui aime venir en aide à son prochain et c’est ce qu’il fera à plusieurs reprises jusqu’à débarquer de force chez un prêteur sur gage où toutes personnes, dont son camarade Kenji, qui souhaitent contracter un emprunt signent un contrat avec son propre sang cédant par cette même occasion sa vie.



Afin de libérer Kenji de sa dette, Gôta va proposer à l’usurier une partie de poker mettant ainsi sa propre espérance de vie en jeu. Marché conclu pour Gôta et l’usurier, un contrat en bon et due forme est donc rédigé avant de procéder à la signature de ce dernier. Mais Gôta ne viendrait-il pas de faire une terrible erreur en vendant son âme avec cette signature ?



Le comportement de l’usurier est assez louche et c’est durant la partie de poker où il affronte Gôta que l’on en apprendra davantage sur le genre de personne qu’il est et qu’il est loin d’agir tel un humain. Le souci étant qu’il se retrouve face à Gôta, un jeune adversaire redoutable qui semble tout aussi bien cacher son jeu que ses propres cartes. Comment un humain peut-il faire face à un usurier qui n’est autre qu’un un être aux pouvoirs surnaturels ? La raison est simple, après avoir signé un contrat qui lui vaut la vie sauve, Gôta travaille désormais pour Viktor qui dispose lui aussi de pouvoirs surnaturels. Il va alors découvrir un univers sombre et violent où les faibles se font exploiter par les plus forts et les règles sont toutes aussi valables pour lui.



Je suis bluffé par la lecture de ce premier tome qui ne perd pas de temps à nous mettre dans le feu de l’action principale. On y découvre les règles, si l’on peut dire, et la mise en avant de la relation entretenue entre Gôta et Viktor. J’ai d’ailleurs trouvé très classe l’apparition de Viktor dans ce premier tome. Très charismatique, c’est aussi une personne qui dispose et respecte certains principes. Gôta lui n’a pas froid aux yeux, très serviable envers autrui mais aussi très sûr de lui. Il dispose d’un tempérament bien trempé. Le dessin de Ogino est très précis, notamment avec des traits de visages très expressifs, avec de bons effets d’ombres permettant d’atténuer certaines expressions faciales. Toutefois par moments, je trouve les trais un peu irrégulier, fait à la va-vite comme sur la fin du chapitre 6 avec certains plans de voitures, ou un peu après sur le toit d’un immeuble, pour ne pas trop en dévoiler.



Ce premier tome nous offre une bonne découpe au niveau des vignettes, avec des plans d’actions ou autres situations bien fournis en détails, autant sur les décors que sur les passages plus matures. Le côté graphique imposé ici par Ogino m’a énormément plu, je n’étais pas forcément convaincu à la vue de la jaquette, où figure Viktor, mais une fois en main, j’ai enchaîné la lecture. Il va sans dire que le scénario de Miura est très accrocheur, on ne s’ennuie pas. J’ai d’ailleurs été surpris à plusieurs reprises, en début comme en cours de tome, et l’histoire est bien ficelée. Le lecteur est amené à découvrir un univers profond, très mature et ce aussi bien au niveau des dessins que du scénario. Un très bon point !



Autres bons points qui m’ont interpellé et non négligeables, avec d’une part les chapitres qui composent ce tome qui sont ici des « clauses ». Et comme on parle souvent de contrat pour vendre son âme, j’ai trouvé le clin d’œil très bien pensé. D’autre part, ce premier tome est composé d'une scène coupée et de scènes préparatoires où l’on découvre les dessins de Miura (scénariste) imaginant Viktor et Gôta. On constate que ces deux personnages issus des mains du scénariste font ressortir des traits du visage bien plus rudes et plus âgés que ceux dessinés par Ogino.



Pour les dessins de fin par le scénariste, ajouter que ceux qu'il a imaginé et dessiné de ses propres mains font bien plus vieux que ceux du dessinateur. Les traits du visage font que Viktor et Gôta sont bien plus agées.



L’édition proposée par Kazé est vraiment de très bonne facture, avec un papier léger mais très soigné. La lecture s’apprécie jusqu’à la dernière page avec l’envie de se jeter sur le tome 2. D’ailleurs, cela fera plaisir à un grand nombre de lecteurs de savoir que cette série est composée au total de 4 tomes. Si les autres tomes sont tout aussi réussi que ce premier alors vous pourrez ajouter cette série à votre collection, elle ne vous ruinera pas et vous proposera de découvrir le monde sous un autre angle, dépourvu d’âme.



« Beyond Evil n’est pas à mettre entre toutes les mains tant le scénario est fort, ponctué de dessins qui dévoilent un univers bien sombre retranscris avec une grande maîtrise. »
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Beauty and the devil

Je ne sais pas si c’est la mention « pour public averti » ou bien la sublime (mais aussi très sensuelle) couverture de ce manga qui m’a le plus convaincue, toujours est-il que j’ai cédé à la tentation et que j’ai fini par me l’acheter ! Et vous savez quoi ? J’ai bien fait, je ne regrette absolument pas mon achat car ce petit one shot est vraiment excellent.



L’héroïne, Hashiba Rin, vit seule avec son grand-père. Sa famille s’occupe depuis toujours de l’entretien d’un petit temple et Rin a donc pris l’habitude de s’y rendre tous les jours afin de prier mais jusqu’à présent, aucun de ses vœux ne s’est réalisé. Elle commence sérieusement à douter de l'existence de ces Dieux qui ignorent constamment ses prières jusqu’au moment où un bel inconnu débarque de nulle part, détruisant au passage le toit du temple. Il se prénomme Charles et se dit être le roi de démons, rien que ça ! Notre héroïne, pas du tout impressionnée, exige de lui qu’il répare le toit. Le problème est qu’il a perdu tous ses pouvoirs et ne peut même plus rentrer chez lui !



J’ai beaucoup aimé cette petite histoire même si elle est assez simple mais surtout, ce sont les personnages que j’ai adoré... Lire la suite sur le blog.
Lien : http://betweendandr.blogspot..
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Midnight Devil, tome 3

Troisième opus de la série Midnight Devil, on attend enfin la moitié de l'histoire, un certain climax émotionnel qui va vous tirer plus d'une larme. D'ailleurs, la couverture très colorée et dynamique donne très envie, bien plus joyeuse que le contenu de ce tome.

Du jour au lendemain, Charles se retrouve rapetissé, enfermé dans le corps d'un jeune enfin et faisant de fortes fièvres. On comprend assez rapidement que c'est dû à une trop grande utilisation de ses pouvoirs et le fait qu'il ne retourne pas à Abalone afin de rester aux côtés de Rin. Charles est ultra touchant et adorable, ses faiblesses dévoilent les doutes qu'il ressent sur son existence et son but dans la vie, heureusement que ses sentiments pour Rin sont une lueur d'espoir. Mais Rin commence à craindre que son caprice finisse par lui couter la vie.

Pour le coup, bien qu'il y a plusieurs scènes érotiques, Hiraku Miura met l'acens sur l'émotionnel, l'importance de ce que ressentent les différents personnages. Après Rin, c'est au tour de Charles de faire une introspective et surmonter bien des doutes qui le hantent depuis des années.

Les difficultés du roi d'Abalone permet de voir les difficultés de ce monde, l'intolérance envers l'inconnu et la maltraitance que vivent les métisses. Sa puissance semble pouvoir calmer les oppositions, mais pour combien de temps, surtout que maintenant sa vie ne tient qu'à un fil ?
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Midnight Devil, tome 4

Dans ce tome l'auteure nous démontre que l'amour n'a pas de frontière. On peut aimer une personne qu'elle soit proche de nous ou pas, vivante ou morte,...







Rin va devoir faire des choix qui vont la bouleverser mais aussi la faire grandir et gagner en maturité.







A travers cet opus, nous faisons un retour en arrière. Il m'a beaucoup fait penser à son préquel Beauty and the Devil.







Nous voyons une autre façade de Charles qui évoque un peu plus ça condition de démon.







Shô lui m'a beaucoup déçu par ses actions à la fin du manga. Tout n'est que manipulations et je n'ai pas du tout apprécié son comportement.







Je n'ai pas aimé la façon dont est traitée la femme particulièrement dans ce tome même si c'est un sentiment que j'ai eu dès le premier opus de la saga.







Je ne sais pas vraiment quoi penser de ce 4e opus. J'ai envie de savoir plus, de voir comment la situation va se dénouer mais en même temps cela m'énerve de voir un personnage féminin qui ne s'affirme pas plus que cela et se fait manipuler par la gente masculine.







Et vous qu'en avez-vous pensé ?
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Midnight Devil, tome 3

Ce troisième opus commence d'une façon inattendue. Cela va créer quelques situations plutôt cocasses.







L'auteure critique les préjugés à travers les dialogues et les scènes présentent dans l'histoire.







Le côté émotionnel du manga est beaucoup plus accentué que dans les tomes précédents. Pour une fois j'ai eu l’impression que les liens entre les protagonistes étaient réels.







Cependant je trouve que tout va trop vite, les hésitations de Rin m'ont assez énervé et j'ai trouvé que sur cela elle manquait beaucoup de maturité.







Reste à voir comment cela va se dégoupiller dans le tome 4.








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Beyond evil, tome 3

Gôta fait la connaissance de son double et le moins que l'on puisse dire, c'est que la cohabitation s'avère difficile... Très différents l'un de l'autre, ils arrivent néanmoins à trouver un terrain d'entente qui vont les mener sur les pistes d'une dangereuse secte.

Toujours aussi riche en action, le ton de ce troisième tome devient plus sombre et les personnages de plus en plus fascinants...
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