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3.8/5 (sur 32 notes)

Nationalité : Argentine
Né(e) à : Buenos Aires , le 28/01/1941
Biographie :

Horacio Lalia est un dessinateur et scénariste argentin né le 28 janvier 1941. Il fait ses débuts dans la revue "Hora Cero" en 1964 et entame une collaboration avec l'éditeur Columba. Il seconde Eugenio Zoppi et Alberto Breccia et fait des apparitions dans "El Tony" ou "D'Artagnan". De 1966 à 1968, il travaille pour le marché britannique et Fleetway à travers le studio de Francisco Solano Lopez. En 1975, il dessine Nekrodamus avec Hector Oesterheld. Une série qu'il continuera jusqu'en 1994 en Argentine et 1998 en Italie. En 1978-79, il dessine Lord Jim avec Carlos Albiac pour la revue "Skorpio" en Argentine et pour "Lanciostory" en Italie (sous le titre de Lord Jim : I misteri di Londra). En France, la série paraîtra dans Akim (1re série). À la fin des années 70 et dans les années 80, il écrit pour la revue anglaises "2000AD". On le voit aussi travailler en Italie pour Eura, en Espagne pour Norma ou Bruguera, en Allemagne pour Bastei et en France pour Albin Michel. Il adapte des classiques en bande dessinée comme La Guerra de los Mundos en 2006 d'après H.G. Wells ou le chat noir d'après Edgar Poe en 1999. Il crée aussi Belzarek avec Gustave Schimpp em albums. En Argentine en 2001, il sort l'album La Mano del Muerto chez Colihue.

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Source : bedethèque
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
En approchant de la cité sans nom, je sus qu'elle était maudite. Sous la lumière blafarde de la lune, je traversais une terrifiante et aride vallée, et je la vis de loin, surgissant des sables comme un cadavre émergeant d'une tombe en ruines...

p55
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"CE QUI DORT N'EST JAMAIS MORT... 

...A LA FIN DES TEMPS, MÊME LA MORT PEUT MOURIR."


La cité sans nom
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Tout le monde m'ayant conseillé de ne pas prêter attention aux récits du vieil Ammi Pierce, je ne manquai évidemment pas d'aller lui rendre visite dès le lendemain.

(La couleur tombée du ciel)
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Ils ont fait allusion à certaines croyances qui devraient nous glacer le sang si nous n'étions pas doués d'une grande dose d'optimisme.
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À l'ouest d'Arkham s'élèvent des collines sauvages et les forêts des vallées n'ont jamais connu la hache. Il y avait un vieux sentier qui filait en ligne droite jusqu'à la "lande foudroyée". Le tracé de cette ancienne route était toujours visible, malgré les herbes folles d'une nature qui reprenait ses droits, et il subsisterait sans doute encore, même quand les eaux du nouveau réservoir auraient inondé la vallée. Lorsque je partis pour lever les plans du futur réservoir, on m'avait averti que ces lieux étaient maudits. J'appris cela des gens d'Arkham qui ont un goût prononcé pour les histoires de sorcières.

(La couleur tombée du ciel)
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— Tu te souviens que Pickman excellait surtout dans les visages, un peu comme Goya... Et comme au Moyen Âge, les gargouilles et les chimères de Notre-Dame ou du Mont-Saint-Michel. À cette époque, les gens croyaient à toutes sortes de choses et parfois même les voyaient...

(Le modèle de Pickman)
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L'hiver suivant eut lieu un événement surprenant. Wilbur fit un premier voyage. La bibliothèque d'Harvard, celle de Paris, celle de Buenos Aires ainsi que celle d'Arkham, n'avaient pu lui procurer un ouvrage essentiel. Il s'agissait de la version latine du "Necronomicon" de Wormius, imprimée en Espagne au XVIIe siècle. Il n'avait jamais vu la ville et une seule idée le guidait : trouver le chemin de l'université de Miskatonic. Il avait emporté la version anglaise, incomplète, afin de la comparer à la version latine pour découvrir le passage qui aurait dû se trouver à la page 751.

(L'abomination de Dunwich)
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Mon cerveau n'était que chaos. Saisi par l'étrangeté de ce qui m'entourait et ivre de lune, je ne pouvais retenir mes pas. Je ne savais pas si ce qui se passait était folie, rêve ou magie...

(Je suis d'ailleurs)
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L'écrivain arriva à Providence en 1934 et s'installa au dernier étage d'une vieille maison, située sur une colline proche de l'université Brown, derrière la bibliothèque John Lay. (...) Lorsque la nuit tombait, il contemplait, songeur, le spectacle que lui offraient les tours de Memorial Hall, le palais de justice et les hauteurs spectrales de Federal Hill qui stimulaient son imagination.

(Celui qui hantait les ténèbres)
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Mon esprit était troublé par de curieux sentiments et il me revenait en tête les prophéties arabes au sujet de la ville que les hommes ne doivent pas connaître. Mon hésitation ne dura qu'un instant, je m'enfonçai dans le tunnel et commençai à descendre. On ne descend ainsi qu'au milieu d'un délire. L'angoissant escalier semblait un puits sans fond.

(La cité sans nom)
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