C'est l'histoire d'une vieille dame qui habite au rez-de-chaussée d'un immeuble de cinq étages. Personne ne connaît son nom, alors tout le monde l'appelle la petite vieille du rez-de-chaussée. Pour aller faire ses courses, elle doit traverser la route ; mais comme elle a peur de la circulation, elle a pris l'habitude de glisser sa main dans celle d'un passant pour se faciliter la traversée. Oh bien sûr, les gens sont surpris mais ils l'ont toujours accueillie avec un sourire. Toujours, jusqu'à aujourd'hui… Un homme d'affaire en costume gris prend très mal la chose et la houspille en s'éloignant à grands pas, la laissant figée sur le trottoir, tétanisée et triste...
Mon avis : Lors de mon dernier comité lecture jeunesse, cet album a été présenté par une enseignante à la retraite et elle a captivé mon attention dès qu’elle nous a montré la première de couverture. Que voulez-vous, cette petite vieille, accrochée à sa cabassette, perdue dans un décor on ne peut plus minimaliste, m’a crocheté le cœur… et je suis repartie le livre sous le bras avec une seule hâte, le découvrir par moi-même, me plonger dans le texte et voyager parmi les personnages grâce aux illustrations. Une histoire qui dit à l’enfant la solitude des personnes âgées, même si elles sont encore autonomes ; leur crainte aussi, face au monde tel qu’il est aujourd’hui, alors même qu’ils sont plus vulnérables par le poids des ans. Un récit qui montre enfin aux jeunes lecteurs à quel point l’entraide resserre les liens entre deux personnes, et que la solidarité est quelque chose de précieux, qui ne coûte pas beaucoup mais dont on sort grandi. On ne peut que fondre de tendresse pour cette mamie qui se confie à la protection des autres simplement en leur prenant la main et qui se fige complètement à cause d’une réaction violente. Ce sont les voisins de son immeuble qui vont la prendre en charge, complètement démunis face à son mutisme et à la tétanie qui lui rend tout mouvement impossible, jusqu’au moment où la personne un peu fofolle habitant le cinquième étage racontera aux autres l’incident de l’homme d’affaire égoïste, faisant couler une larme puis éclore un sourire sur le visage ridé. De la petite vieille du rez-de chaussée, nous passerons à Marie-Louise et, de là, il n'y aura qu'un petit pas pour que nous adorions Marilou. L’auteure a malicieusement choisi un immeuble pluriethnique ce qui ajoute encore au message : avec un peu plus d’attention bienveillante tout serait possible. Les illustrations, qui peuvent aller de la double page à plusieurs instants distincts sur la même page, dégagent elles aussi douceur et humour. Des couleurs pastels, mais lumineuses et chaleureuses dans l’immeuble, des personnages très expressifs, de l’originalité enfin : j’ai adoré ces bandeaux au format portrait centrés sur la feuille blanche, et dont on voit s’échapper un oiseau ou des feuilles d’arbres ; et quel plaisir que ces planches de vignettes qui nous permettent de voir l’intérieur des différents appartements superposés, au fur et à mesure que de l’aide est demandée aux différents habitants ! Vous l’aurez compris, un méga coup de cœur et je ne doute même pas qu’il sera partagé...
Public : à partir de cinq – six ans en lecture accompagnée.
Si vous voulez vous rendre sur le site en anglais de l’illustrateur, Ian De Haes, vous pouvez suivre cette adresse :
http://www.iandehaes.com/
Mais vous pouvez également visiter son blog, qui est lui en français, en vous rendant à cette adresse :
http://www.iandehaes.blogspot.fr/
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Une petite vieille dame habite dans un immeuble avec d'autres familles.
Elle ne sait soudain plus bouger et va se retrouver immobile sur la rue.
Une attention va se porter sur elle et puis une solidarité entre les habitants va apparaître.
Tout cela raconté sur un ton détaché, un peu surréaliste.
J'adore et les enfants aussi.
Les illustrations sont magnifiques et les tons très doux.
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Voici une nouvelle pépite de la maison d'édition Alice Jeunesse qui sait si bien aider l'enfant à comprendre le monde qui l'entourre et à se comprendre.
J'avais adoré les albums "Et j'ai couru" et " Tant que le loup" dans la collection "Histoires comme ça" dans laquelle est édité "Les colères de Simon".
Dans celui-ci, joliment illustré et raconté par Ian De Haes, Simon est un petit chevalier sans armure qui n'a que la colère pour répondre à tout ce qui l'ennuie, n'aime pas ou le blesse.
Ses accès de colère sont si puissants qu'ils se métamorphosent en un animal (du bouc au dragon) de plus en plus grand par la taille et redoutable par sa furie qui fait fuir tout le monde.
Il fait ce qu'il veut maintenant Simon et il est fort. Mais ce jeu n'est plus si amusant quand il se retrouve tout seul.
C'est une belle histoire qui fait prendre conscience à l'enfant des ravages destructeurs de la colère envers lui-même et dans ses relations avec les autres ; que cet enfant peut trouver en lui les ressources pour apaiser la petite pointe de tristesse qui le fait réagir de cette manière.
J'ai beaucoup aimé l'image des milliers de papillons qui volètent de légèreté et de sérénité.
Les expressions de la colère et du calme sont aussi très bien visualisées au niveau des couleurs, de la représentation des animaux et de la physionomie du visage. Le rouge grimaçant des débuts s'atténue à la fin en un rose attendrissant sur les pommettes des joues de Simon.
C'est un formidable coup de coeur que je ne manquerai pas de faire partager au cours de mes lectures à voix haute avec les enfants.
Je remercie vivement Babelio et les éditions Alice Jeunesse à qui je souhaite un très bon anniversaire !
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J'ai partagé un agréable moment avec mon fils de 7 ans en lisant « La classe des mammouths », qui permet d'aborder le thème de l'égalité entre les filles et les garçons, une valeur qui me tient particulièrement à cœur et que j'essaie de transmettre à mes enfants au quotidien.
Dans le « cahier fou », une sorte de journal de bord de la classe, les élèves vont chacun à leur tour raconter les événements marquants de leur année scolaire et livrer leurs réflexions sur leur quotidien en tant que fille ou en tant que garçon.
Les stéréotypes de genre sont ancrés dans les mentalités dès le plus jeune âge, et font malheureusement souvent partie de l'éducation transmise par les parents ou plus largement par la société. Un papa dit à son fils « Fais pas ta chochotte ! Pleure pas, ce sont les filles qui pleurent ! » ; une grande sœur explique à sa petite sœur que les filles doivent être « jolies et féminines sinon, on n'a pas envie de leur parler » ; un maître d'école pense que « les filles sont plus soigneuses que les garçons » ; et même en orthographe, le masculin l'emporte sur le féminin « parce que c'est comme ça ! ».
Ce conditionnement a des répercussions dans la cour de récréation où le clan des filles ne se mélange pas avec celui des garçons, et entraîne des frustrations chez certains enfants qui se retrouvent limités et cantonnés à des rôles qui ne leur correspondent pas.
Adam, qui se comporte comme un petit mâle alpha, impose ses règles au jeu de la préhistoire : les filles doivent garder les bébés dans la grotte pendant que les garçons partent chasser le mammouth !
Afin de dépasser les préjugés, le maître va proposer à sa classe de travailler sur la vie des hommes préhistoriques, et les rapports entre les élèves vont peu à peu évoluer : au jeu de la préhistoire, les enfants vont désormais jouer tous ensemble et se sentir plus libres de faire ce qu'ils ont envie, sans distinction entre des tâches de « filles » ou de « garçons ».
J'ai beaucoup aimé ce roman jeunesse plein de fraîcheur, qui se place du point de vue des enfants. Certains passages font écho à certaines situations que les enfants peuvent parfois vivre dans la réalité, et cette histoire est un bon moyen pédagogique pour engager une discussion avec des élèves en école primaire sur cette question de l'égalité hommes/femmes. Ce livre permet de véhiculer un message important, qui est repris dans la conclusion : « sois comme tu as envie d'être et pas comme ton genre te l'impose ».
Un grand merci à Babelio et aux éditions Alice Jeunesse pour cette jolie découverte dans le cadre de l'opération Masse Critique Jeunesse !
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Simon est un jeune enfant qui fait des bêtises et quand il est puni, il se met en colère tellement fort que des animaux féroces viennent l'aider. C'est chouette car plus personne ne lui refuse rien ! Mais "Simon le terrible" n'a plus de copains, plus personne ne veut jouer avec lui car il fait peur à tout le monde. Comment faire pour redevenir ce petit garçon aimé de tous ?
Je remercie Babelio et Masse Critique pour m'avoir offert cet album sympathique pour mon fils de 5 ans. Cela tombait à point car j'ai aussi un petit garçon qui se met parfois en colère quand il n'est pas content. C'était une bonne manière d'aborder ce thème avec lui. J'ai bien aimé les dessins colorés sur chaque page ou double page, les illustrations sont réussies. J'ai aussi apprécié la petite ritournelle qui revient régulièrement "C'était chouette, c'était pratique, tellement fantastique d'avoir un bouc/ un alligator/ un grand lion d'Afrique/ un rhinocéros redoutable/ un dragon crachant des flammes horribles...". Le fait que le texte soit bâti avec des rimes apporte beaucoup de musicalité à l'album. Une belle réussite donc et un joli album qui va nous accompagner longtemps et rejoindre la bibliothèque familiale. Merci de ma part et de celle de mon petit garçon !
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C'est l'histoire d'une petite fille si joyeuse qu'elle illumine son entourage : c'est même son super-pouvoir. Mais à l'école, certains enfants lui font remarquer que ça n'est "que ça", alors elle finit par perdre confiance en elle. Jusqu'au jour où...
Un magnifique album sur la confiance en soi et le fait d'avoir sa place grâce son côté unique. Une histoire émouvante et des couleurs qui réchauffent le cœur des jeunes lecteurs (et des moins jeunes aussi).
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J'ai lu cette histoire à un enfant de 4 ans qui a une nette tendance à se mettre en colère dès qu'il est contrarié: si on lui refuse quelque chose, s'il perd au jeu..., tout comme Simon. L'enfant a très bien compris que les colères étaient symbolisées pas des animaux dangereux dont tout le monde finissait par s'éloigner. Je crois que mon petit auditeur n'était pas à la première lecture de ce livre et, comme c'est lui qui l'a choisi dans sa bibliothèque, je le soupçonne d'avoir cherché à se faire confirmer ce qu'il avait déjà compris de la morale de cette histoire. Tout ça pour dire que ce livre m'a semblé atteindre son but éducatif. Les images sont colorées et très évocatrices, ce qui contribue à faire de cet album un objet de choix à offrir aux enfants coléreux.
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Etre une petite vieille c'est loin d'être quelque chose de facile. Souvent on nous oublie, on devient une personne sans prénom qu'on rattache à un lieu qu'on prend soin d’éviter. Mais bon, on a beau vieillir, il faut continuer à se nourrir et cette tâche est loin d'être agréable pour notre petite vieille car pour arrivant chez son épicier elle doit traverser une route très large. Le plus souvent, ni une, ni deux, elle empoigne le bras ou la main qui se trouve à côté d'elle afin que cette personne l'aide à traverser. Mais ce jour là rien ne se passe comme prévu et notre adorable petite vieille se transforme en une statue. Elle n'arrive plus à bouger, ni parler. Heureusement des voisins passent par là mais au vu de la situation se sera de l'aide de tout l'immeuble dont la petite vieille aura besoin pour reprendre vie.
Adorablement illustré, j'ai adoré cette histoire qui nous montre comme la solitude et le rejet peuvent être douloureux à vivre au quotidien pour plusieurs personnes. On soulignera à la fin de cet album que les rencontres, l'entraide sont d'une grand richesse. Ce sont des sources d'amour et de vie dont il faut profiter au maximum.
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👉🏻 Tour d'abord, je tiens à remercier @Babelio et l'auteur pour m'avoir permise de connaître ce fabuleux album jeunesse.
L'histoire est très intéressante; c'est celle d'une classe d'enfant de primaire qui découvre l'âge de la préhistoire, ses coutumes et habitudes de vie; grâce à une fouille qui se trouve au bout de leur cour d'école.
Ils vont vite se rendre compte que de fortes inégalités existent entre les femmes et les hommes ! Et un enfant en particulier va en faire l'amer expérience, ce qui va lui changer sa vision des choses sur la parité.
Une « enquête » est alors menée pour savoir vraiment si oui ou non ses inégalités ont existé. Suite aux résultats de cette recherche,
Ils vont apprendre à leur dépend que ses différences perdurent à notre époque et les difficultés que cela entraîne chaque jour selon son sexe.
✨Mon avis: C'est un livre que je recommande, et pas seulement aux enfants! On est mis face à une réalité: Les stéréotypes et idées reçues jalonnent nos vies depuis la tendre enfance. (Une fille doit forcément aimer le rose, être tendre, polie
Et impeccable.
Quant aux garçons,
Ceux ci doivent être courageux et ne pas montrer leur sentiments ou faiblesses.) Peu importe son sexe
Ou son identité, chacun est libre de faire ce qui l'entend, et tout le monde devrait pouvoir vivre comme bon lui semble sans être jugés ou pire par autrui.
Une belle leçon de vie !
Je recommande ce livre aux enfants à partir de 7 ans pour leur permettre de comprendre véritablement cette histoire ce qui en découle.
La Classe des mammouthsJerome Poncintous les livres sur Babelio.com
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Lecture à 4 yeux avec ma progéniture jurée pour le Prix des Incorruptibles.
Bon début de sélection avec cette classe des mammouths, plutôt amusante, qui vient tordre le cou aux stéréotypes hommes/ femmes de façon originale : une statuette transforme le macho Adam en fillette, et là, les choses sont tout de suite moins faciles à vivre dans la cour de l’école quand on porte une robe et qu’on s’appelle Lili. De l’action et de la surprise, un bon cocktail pour passer un agréable moment de lecture.
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Nos différences sont nos super-pouvoirs : voilà le joli message de ce livre jeunesse.
C'est joliment dessiné, l'histoire est simple mais efficace : un album lumineux.
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Les élèves de la classe des mammouths ont construit une cabane pour jouer à la préhistoire, mais Tom vient la détruire. Adam se transforme en fille, parce qu'il a trouvé une Vénus, de l'autre côté de la palissade protégeant les fouilles archéologiques (qui devait être normalement la construction d'un gymnase).
J'ai adoré ce livre, je l'ai lu en 2 jours. Ca parle de l'égalité entre les hommes et les femmes, dans la cour d'école mais pas seulement. Ca parle un peu de la préhistoire et de l'archéologie. J'ai bien aimé que ça soit raconté par un élève différent à chaque chapitre. C'est comme un journal intime, mais écrit par plusieurs personnes.
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Nour est super, enfin superlumineuse! Mais est ce un super pouvoir ou plutôt un truc super embêtant?
En effet, elle est au centre de toutes les attentions tant sa lumière brille.. A l'école, ses amis se moquent un peu d'elle...Elle se dit alors que c'est embêtant et décide de ne s'habiller qu'avec des vêtements qui ne laissent pas passer la lumière et elle devient ainsi comme les autres.
Mais le soir, sa lumière est toute faiblarde, mais suffisante pour calmer sa petite sœur qui a peur du noir ... Au réveil, elle se rend compte qu'elle peut partager sa lumière..
Ce qui la rendait différente devient un atout qu'elle propage autour d'elle..
Cet album réchauffe nos âmes et nos cœurs..
Quand elle est lumineuse , la petite fille est rayonnante tandis que quand elle essaie d'être comme tout le monde,la tristesse s'abat sur elle...
Cette histoire montre bien que la différence n'est pas forcément une mauvaise chose, que l'on peut en trouver un intérêt et que le partage rend la bie plus jolie.
Les illustrations sont Superlumineuses, baignées de soleil et de lumière...
Une belle histoire qui fait du bien!
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Critique de Mélusine, 9ans :
C’est l’histoire d’un professeur qui adore la préhistoire. Au début de l’année il offre le cahier fou a ses élèves. Toute la classe peut écrire tout ce qui leur passe par la tête quand ils ont le cahier. Par exemple Julius le 2 et le 16 septembre et un peu plus loin Irina le 13 décembre et le 7 janvier. Un jour Adam, un garçon qui dit que les filles sont des « chochottes » et que les garçons qui ont peur comme Julius sont des « gonzesses » trouve une statuette, il la cache sous son oreiller et le lendemain il est devenu une fille ! Plus personne ne connait Adam à la place c’est Lili.
Personnellement j’ai adoré ce livre car on avait l’impression de lire un agenda. A la toute fin la dernière personne à écrire c’est le professeur monsieur Jérémy Vanderelst qui est très fier de ses élèves.
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Note de Maman : Ça y est, mon bébé est devenu grand, elle lit et critique toute seule ses livres, je vais bientôt devoir lui créer un compte Babelio pour elle toute seule ! Concernant le roman, j’ai trouvé que le sujet « filles-garçons » était présenté avec une fraîcheur bien agréable. Et étant donné la vitesse à laquelle ma petite lectrice l’a dévoré, je ne peux qu’approuver et conseiller La classe des mammouths. Une très bonne lecture pour les enfants en fin de primaire…
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Attention pépite jeunesse pour nos primaires !
« Qui a décidé un jour qu’il y a des tâches pour les femmes et d’autres pour les hommes ?
Depuis quand on est pas libres d’être comme on veut et qui on veut ? »
Vraies questions, non ?
C’est la trame de fond de « La Classe des Mammouths », un super roman jeunesse découvert chez mon libraire : Jérôme Poncin interroge ici ce qu’est être une fille ou un garçon dans l’imaginaire collectif, mais aussi et surtout dans la cour de récré.
Ici pas de théorie, mais des chapitres plein de vie, qui donne la parole à dix personnages – enfants, les dix enfants de la classe de Mr Vanderelst.
A travers un journal de vie – le cahier fou – Julius, Sérénade, Talia, Tom, Adam, Oliver, Caeli, Pacôme, Irina et Clémence nous racontent leur année scolaire, leurs sentiments, leur réactions… et vraiment, ça vaut le détour, car cette année scolaire est hors du commun : une défense de mammouth découverte dans le petit bois au fond de la cour d’école, une statuette magique qui va faire vivre à Adam une expérience exceptionnelle et qui va changer sa vision sur les relations filles – garçons…
Les textes sont plein de vie, les personnages attachants, drôles. Ma fille de 8 ans ½ a réagi a quasiment toutes les pages, faisant des parallèles avec ses situations d’école. Une belle occasion de partager en famille. 😊
Les illustrations sont aussi très belles et rythment le récit.
Bref, un joli coup de cœur – surprenant de justesse et de profondeur.
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