Lorsque l'homme frappe l'homme, lorsque les coups frappent bruyamment sur les corps, lorsque celui qui frappe et celui qui est frappé soupirent, celui qui rejette violemment l'air de ses poumons, et celui qui remplit les siens avec précaution, eh bien, je me surprenais à me soulever de mon siège, le souffle coupé, ayant oublié que le monde et moi nous existions, entièrement absorbé que j'étais par la lutte qui se déroulait devant moi.