Jack Meggitt-Phillips

Il y a quelque chose du mythe de Faust et du Portrait de Dorian Gray dans La bête et Bethany.



Ebenezer Tweezer, homme égoïste et superficiel, cache un secret dans son immense maison... Une bête avec laquelle il a scellé un pacte. Lorsque Ebenezer satisfait un caprice de la bête, alors la bête satisfait un des caprices d'Ebenezer. Mais le mécanisme va se gripper le jour où la bête décide qu'elle veut croquer un enfant. Si la demande ne dérange pas outre mesure Ebenezer au départ, la situation va se compliquer quand son chemin va croiser celui d'une petite fille pas commode : Bethany.



L'histoire est bien écrite avec des personnages principaux attachants et des personnages secondaires dont les défauts sont volontairement exagérés pour amuser le jeune lecteur, le tout accompagné d'illustrations bien sympathiques.



L'univers m'a rappelé celui de Roald Dahl. En revanche, le résumé m'avait laissé espéré le soupçon d'impertinence d'une Mortelle Adèle, et je n'ai finalement pas retrouvé ce petit côté mordant. Petit regret de l'adulte que je suis qui reste toutefois sans grande importance. Le principal est que Mini-me a, pour sa part, été captivé par cette intrigue de bout en bout.



Merci à Babelio et aux éditions Bayard Jeunesse pour cette chouette découverte ! Et vivement la sortie du tome 2 !

« La bête et Bethany » est un roman très drôle avec lequel on passe un très bon moment. S’il possède bien une dimension horrifique avec une bête redoutablement inquiétante, cette peur est désamorcée par un humour omniprésent. Ainsi, le roman est parsemé de scènes très amusantes avec des double niveaux de compréhension. L’ensemble devient rapidement totalement improbable, par moment complètement déjanté, ne semblant pas se prendre au sérieux. Un petit côté Roald Dahl en définitive ! L’auteur nous propose un très beau travail sur les personnages et leur évolution. C’est un vrai plaisir de découvrir les personnages de Ebenezer et de Bethany, si différents et éloignés l’un de l’autre au départ. Malgré leur caractère assez insupportable et égoïste, le lecteur ne peut que s’attacher progressivement à eux, à mesure qu’ils se rapprochent, même s’ils vont avoir du mal du mal à l’admettre véritablement, l’un de l’autre. Le tout est sublimé par les magnifiques dessins en noir et blanc d’Isabelle Follath, parfaitement dans le ton du texte.

Un roman sans temps mort qu’on découvre comme on aime jouer à se faire peur !


Lien : https://mangeurdelivres.word..

Un bon roman jeunesse plein d'humour noir. Et joliment inattendu !

Souvent les livres jeunesse, même si on se régale, on se doute un peu de ce qui va se passer. Ici, j'ai été plus d'une fois surprise.

Il fait peur, il fait rire. Un joli suspense.



Nous croisons ici un vieux garçon très fringant, (du moins quand tout se passe bien, il a tout de même 511 ans), une fillette qui essaie de survivre à l'orphelinat en étant le plus terrible possible, une directrice d'orphelinat plus qu'odieuse, une très grosse bête très dangereuse mais aux pouvoirs très intéressants. Sans oublier quelques oiseaux rares et un oiseleur qui les aime.

La vie vaut-elle la peine d'être vécue éternellement ? Et si oui, avec quelle contrepartie ? Tout est-il supportable pour ne pas vieillir ?

Un conte horrifique et drôle, une jolie lecture pour préparer Halloween !



Avec en plus une très belle couverture : des lettres tout en or, des dents "terrifiantes", et Béthany, tellement bien "croquée" (pas par la bête pour le moment)



Un premier tome qui peut se lire seul, mais qui se termine tout de même par une belle ouverture vers le suivant ! (À paraître l'an prochain)
Lien : https://livresjeunessejangel..

Reçu en masse critique privilégiée, merci!

D'abord l'objet livre est beau, la couverture attire et est vraiment belle.

La Bête et Bethany se lit facilement, on entre vite dans la vie des deux personnages, on les aime et on peut rapidement avoir de l'empathie pour eux.



Ebenezer est vieux! Très vieux! 511 ans! Mais voilà, Ebenezer doit sa longévité à une bête qui en échange de nourriture le comble de cadeaux mais aussi d'élixir de jouvence. Tout va pour le mieux pour Ebenezer, il a tout, il est blasé, il est seul, et n'a aucun état d'âme!

Mais le jour où la bête décide de manger un enfant, la vie d'Ebenezer bascule.

Entre en scène Bethany, orpheline, c'est une vrai tornade.



Comment ces deux êtres un peu méchants à leur manière vont-ils pouvoir se défaire de cette bête qui n'en démord pas. Elle mangera Bethany...



On voit où veut en venir l'auteur, mais ce n'est jamais poussif. Et puis on s'attache au personnage, avec leur défaut, leur faille mais aussi leur cœur.

Bref une très belle découverte.



A partir de 10 ans en lecture autonome.

À croquer !



Les enfants aussi peuvent participer au Pumpkin Autumn Challenge !

Et quoi de mieux qu’un pacte faustien sauce moderne pour les faire frissonner un peu ?!

Promis, juste un peu, car c’est surtout drôle, attachant et bourré de thèmes de réflexion.



Ebenezer Tweezer a 511 ans et va bientôt fêter ses 512. Non, Ebenezer n’est pas une créature étrange, c’est bien un homme comme les autres, à un détail près : il héberge dans le grenier de son manoir de 15 étages une bête terrible lui permettant de garder la jeunesse éternelle. En contrepartie de ses élixirs, Ebenezer doit nourrir la bête. Et cette année, elle a décidé que pour son repas, elle croquerait bien un enfant. Un peu contrarié par cette demande, le jeune homme part en quête de l’enfant le plus insupportable qui soit - histoire de moins culpabiliser. C’est là que Bethany entre en scène. Et Bethany c’est vraiment, vraiiiiment !, une enfant insupportable. Vraiment ?



J’ai trouvé cette lecture absolument succulente ! J’ai adoré détester Bethany, puis, petit à petit, comme Ebenezer, m’attacher à elle. J’aime ces romans où notre regard évolue sur un personnage.

On comprend que la méchanceté, les comportements violents ou agressifs sont avant tout un appel au secours. L’amour, la bienveillance ça change tellement de choses chez l’autre.



Et puis il y a Ebenezer. Tellement effrayé par la mort, obsédé par le désir de posséder, au point d’en oublier l’essentiel, se voilant la face sur ses propres responsabilités…

De petits messages subtils sont distillés tout au long du roman mais c’est avant tout une aventure un peu folle et surtout très drôle.



Le tout est parsemé d’illustrations noir et blanc exactement dans le même ton. Des pauses drôles et bienvenues pour bien comprendre l’histoire.



Un roman idéal pour la saison, dès 8 ans.

En librairie dès mercredi.
Lien : https://demoisellesdechatill..

Un homme nommé Ebenezer Tweezer âgé de cinq cent onze ans habite dans une maison de quinze étages; au quinzième étage loge une bête. Ebenezer la nourrit depuis son très jeune âge, plus la bête mange, plus elle grossit et plus elle demande de manger des choses plus rares: au départ, c'était une cuisse de poulet, puis elle a demandé Lord Sushi le chat d'Ebenzer, ensuite des tigres puis des ours ou encore des oiseaux chanteurs comme Patrick.

Un jour la bête exige qu'Ebenezer lui apporte un enfant pour voir quel goût ça a. Ebenezer va à l'orphelinat chercher un enfant répondant aux critères de la bête : bien gros, bien gras, et bien odieux. Mlle Frizelyflop, la directrice de l'orphelinat amène Ami, Geoffrey, et encore 5 autres, avant Bethany, qu'Ebenezer choisit. Il la ramène chez lui et l'apporte à la bête, qui lui dit que Bethany est trop fine pour qu'il la mange le jour même. Elle lui demande de l'engraisser pour le samedi suivant, qui est la date de l'anniversaire d'Ebenezer.

Est-ce que Bethany va survivre ? Est-ce que Ebenezer va mourir ? Est ce que Bethany et Ebenezer vont réussir à tuer la bête ?

Pour le savoir, lisez le livre, vous ne serez pas déçus!

Juliette S.

Le second tome est dans la lignée du 1er, soigné avec de belles illustrations et toujours aussi fantaisiste et remplie d humour.



Nos 2 protagonistes pensent être débarrasser de la bête et vont continuer leur quête de devenir de bonnes personnes avec l aide de Claudette. Mais 3 profiles différents vont voir le jour. Ebenezer va plutôt être dans un état dépressif et regretter les moments où la vie était douce en compagnie de la bête, d ailleurs on va apprendre plein de chose sur son passé et leur rencontre. Puis Bethany qui déploie toute son énergie à vouloir que les gens l aiment mais qui a trop mauvaise réputation pour y arriver facilement et enfin Claudette, la gentille Claudette qui conseille au mieux Bethany malgré que depuis qu elle a avalé la bête à l air de moins en moins dans son assiette.



Ce drôle de duo fonctionne toujours aussi bien car ils sont touchant dans leur maladresse mais ont réellement l espoir de mener à bien leur "quête". Maintenant qu Alice est venue à leur aide vont il pouvoir l aider en retour?

Vivement le tome 3 pour avoir la réponse à cette question.

Voici une chouette aventure à mettre entre les mains des plus jeunes dès la primaire, lors de la période d'Halloween.



On est sur une histoire aux airs de conte merveilleux qui n'a pas été sans me rappeler ceux de la rue Broca. Même s'il s'agit de romans, ils empruntent en effet de nombreux codes du genre. Nous suivons donc Ebenezer, jeune homme de 511 ans, qui abrite dans son grenier un horrible monstre, dévoreur en tout genre. Un jour, ce dernier lui demandera même un enfant. Ebenezer, qui tient à garder sa vie de rêve, se mettra en quête de l'enfant le plus détestable au monde pour étouffer sa mauvaise conscience. Seulement, tout ne se passera pas comme prévu...



Dans cette fable au style de Roald Dahl, le grumpy règne en maître. Impossible de ne pas se laisser charmer, surtout lorsqu'on se retrouve face à un Ebenezer qui, malgré son âge, a la sensibilité et l'ingénuité d'un enfant de 5ans. On a aussi les nombreuses références rigolotes, notamment sur ce qu'a mangé la bête. J'ai souri à l'idée qu'elle se soit régalée de l'ours Paddington.



Mais comme tout conte, il y a surtout une belle morale à retenir. Et les messages disséminés ça et là sont nombreux. On parle d'acceptation de la vieillesse et de la mort, de cupidité, de rejet parental, d'adoption mais surtout d'amitié. C'est sans doute ce petit côté found family qui m'a le plus séduite.



Enfin, l'affaire se termine sur un joli PT qui devrait facilement berner les enfants. Alors pari réussi avec cette lecture affreusement mignonne. Et j'ai hâte de voir ce que la bête nous réserve...

Ce livre parle d'un homme nommé Ebenezer Tweeser et qui a vécu 511 ans et qui menait une vie de rêve grâce à une bête qui en échange de lui donner des cadeaux (qu'elle faisait apparaître de son ventre) lui demander d'être nourri. La bête fait apparaître des cadeaux incroyables, elle peut faire presque tout faire apparaître ! Mais tout change le jour où la bête demande un plat original : un ENFANT ?!

Je conseille vraiment ce livre, je l'ai trouvé super !

C’est le 1er tome d’une série de roman jeunesse légèrement illustrée.

Nous sommes dans univers fantastique avec un monstre horrible qui mange des créatures vivantes ! Les personnages sont agréables à suivre. Ils sont drôles et loin d’être niais. Bethany est une jeune fille pleine de contraste : drôle et triste, emmerdeuse et attachante… et le petit vieux est méchant mais pas trop.

Ils se retrouvent face à des situations loufoques qui feront rire les enfants à coup sûr.

J’ai trouvé la thématique très intéressante car on parle de méchanceté sans rien imposer aux enfants, c'est très agréable.

Il y aura un tome 2 qui ne me paraissait pas hyper nécessaire. Le récit de ce tome 1 est complet mais l'ouverture finale nous annonce un second tome. J'espère que l'auteur saura se renouveler et surprendre le lecteur !

J’ai complètement adoré ce roman jeunesse qui m’a autant fait rire qu’il m’a fait réfléchir ! On a un personnage détestable, égoïste et nombriliste, qui ne connait ni amour ni amitié ni empathie, Ebezener obtient tout ce qu’il veut et peut désirer dans la vie, et cela c’est grâce à la bête qu’il héberge au 15ieme étage de son immeuble particulier. En échange des repas de plus en plus atypique et rare, la bête lui donne tout ce que son maitre peut demander, mais aussi l’élixir qui lui permet de rester jeune et en bonne santé. Quand un jour la bête lui demande un enfant bien joufflu, Ebezener tique un peu, mais on ne change pas si rapidement alors pour soulager sa conscience il se rends à l’orphelina et choisit l’enfant la plus détestable, méchante et mauvaise qu’il peut trouver : Béthany. Il ne lui reste plus qu’à l’engrosser un peu avant de la donner à la bête, et il faudrait faire vite car il vieillit à vu d’œil.

Seulement voila Béthany n’a pas vraiment envie d’être mangé par la bête, et c’est ainsi que l’aventure commence.

J’ai adoré les personnages mais surtout leur évolution, qui est absolument bien faite. J’ai vraiment beaucoup ri à la lecture et de fait cela reste très léger comme atmosphère ce que j’ai grandement apprécié. À la lecture du résumé mon fils avait un peu peur et puis au fil des pages il a tellement ri qu’il n’a plus eu peur du tout. Lui comme moi avons adoré les magnifiques illustrations en noir et blanc qui parsèment le livres. Nous avions tout deux bien envie de les colorier. D’ailleurs l’objet-livre en lui-même est vraiment beau, la couverture, les reliefs les illustrations vraiment une vraie beauté que j’ai adoré exposer dans ma bibliothèque.

L’auteur aborde en douceur et avec beaucoup d’humour des thèmes qui sont assez forts : Solitude, avarice, empathie (ou son absence) deuil, égoïsme mais aussi l’amitié et le pardon. J’ai hâte de pouvoir découvrir la suite des aventures de la bête et Bethany !

Merci à Babelio et aux éditions Bayard pour leur confiance.



C’est chouette de retrouver en littérature jeunesse une telle association d’antihéros. Ebenezer, dans sa quête de vie éternelle, est complètement égoïste mais aussi matérialiste : il n’hésite pas à sacrifier des tas d’animaux pour vivre plus longtemps et dans le luxe. De son côté, Bethany trouve son plaisir en embêtant les autres et en leur dérobant leurs affaires. Difficile au début du roman d’imaginer vivre une belle aventure avec ces deux terreurs.



Elles m’ont fait penser à Gru, le personnage principal des dessins animés « Moi, moche et méchant » : leurs ambitions ne sont pas vraiment nobles mais cela ne les empêche pas d’être très drôles. Par exemple, j’ai ris de l’ignorance d’Ebenezer qui est convaincu de pouvoir attraper un enfant au zoo. Le style est parfois absurde mais on se laisse aisément embarquer dedans (les nombreuses illustrations favorisent cette immersion).



On regrette presque que Bethany et Ebenezer s’assagissent aussi vite. C’est touchant de les voir devenir amis mais on n’aurait pas été contre quelques vacheries de plus. Les jeunes lecteurs apprécieront la façon dont les deux héros s’apprivoisent pour combler leur solitude mais aussi lutter contre la volonté de leur ennemi commun : la monstrueuse bête. Voilà un méchant qui apporte une bonne dose de frisson ! Obsessionnelle et cruelle, elle ne laissera aucun répit à sa proie jusqu’à la fin du roman (et peut-être même plus loin puisque c’est une fin ouverte).



C’est une histoire pêchue et originale qui divertira les lecteurs entre 8 et 10 ans. Un très bon choix pour Halloween !
Lien : https://bullesetchapitres.wo..

Reçu dans le cadre d'une masse critique, j'avais hâte de découvrir ce roman jeunesse à l'effrayante couverture. Une lecture qui s'annonçait idéale à l'approche d'Halloween. Malheureusement, je n'ai pas du tout accroché à ce roman que j'ai trouvé très dérangeant.



L'histoire met en scène un personnage égocentrique, égoïste et immoral qui détient un monstre capable d'exaucer les souhaits. Le monstre en question, qui possède un appétit toujours plus vorace, est aussi malsain que manipulateur. Le personnage principal, anti-héros faisant penser à Dorian Gray, ne refuse quasiment rien à sa créature, lui donnant tout d'abord des objets à manger, puis des êtres vivants qu'il lui sacrifie sans éprouver la moindre culpabilité. J'ai trouvé cela vraiment dérangeant.



Les scènes avec le monstre ont beau ne pas être sanglantes ni trop détaillées, elles sont tout de même assez brutales dans le sens où l'auteur ne s'encombre pas de fioritures et dit de façon directe ce qui se passe. Cela m'a un peu dégoûtée par moments alors je ne me vois vraiment pas conseiller ce roman à des enfants. La morale de l'histoire est franchement douteuse...



Merci à Babelio et aux éditions Bayard de m'avoir permis de découvrir une nouveauté Jeunesse.

Nous venons de dévorer, non pas Béthany, mais ce livre ! à tout allure.

Il faut dire qu'on ne s'ennuie pas, que l'humour est savoureux, et que l'histoire est en effet digne qu'un Roald Dahl.



Même si j'aurais aimé un peu plus de saveur côté littéraire (d'où mon 4,5 et non 5 étoiles), notre plus grande déception est de devoir attendre la sortie du prochain tome pour continuer l'aventure.

Un grand merci aux éditions Bayard jeunesse et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique privilégiée.



Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de roman jeunesse. le résumé, qui promettait un côté gothique/fantastique et humour m'avait tentée.

Et il a bien tenu sa promesse !



Tome 1 traduit de l'anglais (GB) par Dominique Kugler

Illustré par Isabelle Follath.



Ebenezer est un homme de 511 ans qui doit sa longévité à une bête affreuse en échange de nourriture.

L'homme va faire la rencontre (intéressée à la base) de Bethany, une jeune orpheline au caractère bien trempé.

Contre toute attente, ces deux personnages pourtant complètement différents vont se lier d'amitié.

Comment va réagir la bête ?



Ce livre de plus de 250 pages se lit très vite, tant l'auteur sait mettre du suspense et donner l'envie de tourner les pages. A l'image de la bête, il nous donne de l'appétit.

Même si l'idée de base, une rencontre entre 2 personnages diamétralement opposés n'est pas une nouveauté en soi dans la littérature, ce roman mêle brillamment fantastique, suspense et humour, et transmet un message positif sur l'amitié et le fait qu'il faille profiter au maximum de chaque moment de sa vie pour ne rien regretter.

Ebenezer apporte son côté sage, rationnel et attentionné à Bethany et lui permet de devenir gentille.

Bethany apporte son grain de folie et humour à Ebenezer et lui permet de sortir de sa vie triste et stricte.

Une complémentarité qui fonctionne et représente l'amitié.

Travaillant en secteur adulte à la bibliothèque, j'ai rarement l'occasion de lire de la littérature jeunesse, je vais plus vers l'ado. Alors quand j'ai eu l'occasion de lire ce petit roman, je me suis dit pourquoi pas !



J'ai vraiment beaucoup apprécié ma lecture. C'était très drôle et très bien écrit. Les péripéties sont entrainantes, les personnages principaux très attachants. La relation qu'ils développent est belle.



L'aspect fantastique avec la bête est aussi très bien traitée. Avec beaucoup d'humour et la touche parfois un tout petit peu horrifique (juste ce qu'il faut pour faire frissonner).



L'ambiance du livre rappelle un peu celle des sketchs des Monty Python, l'humour est absurde et ça marche très bien !



Une bonne lecture pour les plus jeunes et un petit vent frais pour les adultes !

Ce livre est très amusant avec un coté Chair de poule. Il est très pertinent et fait réfléchir à un souhait: Celui de ne jamais vieillir. Au début on se dit que c'est un bon souhait mais petit à petit, on le remet en question...

J'ai aimé ce livre car il y a beaucoup de suspense et de rebondissements concernant les 2 personnages principaux. Je ne m'attendais pas à cette fin!!! J'ai été surprise mais dans le bon sens. Par contre j'ai eu un peu de mal à le terminer car il y a beaucoup de pages et je ne suis pas une lectrice avertie.

« La bête et Bethany » fait partie d une série, dont le tome 1 est  le premier roman écrit par Jack Meggitt-Phillips et Isabelle Follat pour les illustrations. Les autres succès de l’auteur sont «  La dernière bataille », « Aux mains des sorciers », « L'œil du dragon ».

La bête et Bethany, c’est l’histoire d’un homme nommé Ebenezer qui mène sa vie depuis 511 ans dans une villa grâce à un monstre bigleux qui vit au grenier. Le monstre lui fournit une potion appelée élixir anti-âge, mais, pour l’obtenir, le monstre demande toujours quelque chose en échange. Un jour, le monstre déclare à Ebenezer en échange de la potion : « un enfant, je veux un enfant ». Ebenezer, surpris ne veut tout d’abord pas lui apporter un enfant, mais il craque finalement, car il a besoin de sa potion pour ne pas vieillir et mourir.

Je pense qu'Ebenezer ne se rend pas compte de ce qu’il fait en apportant un enfant à la bête. Lorsque Ebenezer trouve l’enfant qu’il veut, il était vraiment soulagé. Mais il va s’attacher à l’enfant qui vivait à l’orphelinat, une enfant qui faisait beaucoup de blagues et de bêtises.

Ce livre m’a beaucoup plu parce qu’il y a du suspense jusqu’à la fin. Mais on trouve aussi des passages tristes comme des passages drôles. Et surtout, ce livre fait réfléchir, il sert  à comprendre qu'un jour on naît, et un jour on meurt. 

Je recommande ce livre à ceux qui aiment avoir du suspense jusqu’au bout de l’histoire et à ceux qui recherchent un livre simple et facile à comprendre.

Au début j’ai cru que cela allait être difficile à lire car il n’y a pas beaucoup d’images et qu’il y a 250 pages  mais « La bête et Bethany » est un livre simple à lire et on rentre facilement dans l’histoire.

Jules

J’ai moyennement aimé le livre. On suit l’histoire de Bethany, d’une bête et d’un monsieur qui se nomme Ebenezer. Il mène la belle vie depuis 511ans dans son immense maison avec une bête monstrueuse qui mange des enfants au repas. Bethany, une fille un peu rebelle, se fait adopter par Ebenezer pour que la bête la mange mais contre toute attente ils finissent par s’apprécier... et même devenir gentils !

Sacha B.

𝕌n menu fort réjouissant ★



une grande et belle maison

beaucoup d’argent

des tas d’objets de valeur et...

une jeunesse éternelle



depuis plus de 500 ans, Ebenezer mène la grande vie

et cela pourrait durer ainsi pour l’éternité s’il continue d’en payer le prix

et quel prix...

en échange de ce bonheur matériel éternel

Ebenezer doit s'acquitter d'une tâche

trouver des mets toujours plus rares

toujours plus fins

car son hôte est insatiable

et pour son prochain repas, elle a choisi un plat délicat

pour son prochain festin, elle souhaite…

que dis-je, elle exige...

de dévorer un enfant!



même si Ebenezer a autant d'empathie pour l'humanité

que pour une boîte de raviolis

il trouve la pilule un peu dure à avaler



il essaye de refuser mais la bête le tient

si elle ne sent pas très vite craquer sous ses dents

les os tendres d'un petit humain grassouillet

c'est un aller simple pour la mort qui l'attend



dos au mur

Ebenezer échafaude un plan

et c’est à l'orphelinat local

qu'il trouve enfin son bonheur



ஜ La bête et Bethany ஜ 🖋️@jmeggittphillips 🎨@isabellefollath 🏠@bayardeditionsj



Sur fond d’une nauséabonde odeur de chou, l'auteur nous a concocté une histoire pleine de péripéties et de rebondissements où se côtoient joyeusement des personnages assez atypiques. Il y en a des loufoques, des irrésistiblement attachants, des pas très ragoûtants. Tous apportent énormément et rendent ce récit merveilleusement captivant.



Des répliques étourdissantes, de l’humour dans toutes ses couleurs, de l’auto-dérision, des frissons, cette histoire c’est tout cela mais aussi de l’amitié, du courage, des apprentissages, du chocolat, des bandes dessinées et des oiseaux rares venus de contrées éloignées.



Il nous a été impossible de ne pas tomber en amour en découvrant cet univers si singulier, c'est pourquoi je ne peux que vous recommander de le déguster à votre tour et ce, sans limite d'âge!


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