Citations de James Allen (54)
"Un homme ne peut choisir directement ses circonstances, mais il peut choisir ses pensées et par conséquent, de façon indirecte mais certaine, donner la forme voulue aux circonstances."
"La souffrance est toujours l'effet d'une mauvaise façon de penser en quelque endroit ou direction. C'est une indication que l'individu n'est pas en harmonie avec lui-même, avec la loi de son être. L'unique et suprême utilisation de la souffrance est de purifier, de brûler tout ce qui est inutile et impur. La souffrance cesse pour celui qui est pur."
"Les hommes sont impatients d'améliorer leurs circonstances mais n'ont pourtant pas la volonté de s'améliorer eux-mêmes ; ils y restent par conséquent enchaînés."
"L'homme n'obtient pas ce qu'il souhaite et ce pour quoi il prie, mais ce qu'il a justement mérité. Ses souhaits et prières ne sont gratifiés et exaucés que dans la mesure où ceux-ci s'harmonisent avec ses pensées et actions."
"Les hommes n'attirent pas ce qu'ils veulent, mais ce qu'ils sont."
"La circonstance ne fait pas l'homme, elle le révèle à lui-même. On ne peut descendre dans le vice et les souffrances qui l'accompagnent sans démontrer des inclinations vicieuses, ni se hisser vers la vertu et sa pure félicité sans cultiver continuellement des aspirations vertueuses ; et l'homme par conséquent, tel le seigneur et maître de sa pensée, reste son propre créateur, l'auteur de son propre environnement."
"Le monde extérieur des circonstances est issu du monde intérieur de la pensée, et les conditions extérieures, plaisantes ou non, sont les facteurs du bien ultime de l'individu. Tel le moissonneur de sa propre récolte, l'homme apprend à la fois de la souffrance et du bonheur."
"L'âme attire ce qu'elle héberge secrètement, ce qui est amour mais aussi ce qui est peur. Elle atteint la hauteur de ses précieuses aspirations ; elle tombe au niveau de ses désirs les moins sages - et les circonstances sont les moyens par lesquels l'âme reçoit son dû."
"L'homme est tributaire des circonstances aussi longtemps qu'il croit l'être, mais quand il réalise qu'il est une puissance créative et qu'il peut commander la terre et les graines cachées desquelles naissent et se développent les circonstances, alors il devient un maître éclairé pour lui-même."
"En tant qu'être progressif et évolutif, l'homme est là où il se trouve pour apprendre qu'il peut grandir ; et tandis qu'il apprend la leçon spirituelle que chaque circonstance lui délivre, elles s'évanouissent pour laisser place à de nouvelles."
"Chaque homme est là où il se trouve par la loi de son être ; les pensées qu'il a associées à son caractère l'y ont amené, et dans l'arrangement de sa vie il n'y a aucun élément relatif à la chance, mais tout est le résultat d'une loi qui ne peut se tromper. C'est aussi vrai de ceux qui se sentent malheureux de leurs circonstances que de ceux qui en sont heureux."
"L'esprit d'un homme peut être comparé à un jardin, lequel peut être cultivé intelligemment ou laissé à l'abandon ; mais qu'il soit cultivé ou négligé, il se développera. Si aucune graine n'est semée, alors une abondance de mauvaises herbes s'y propagera et continuera à se développer."
"Quand il commence à réfléchir à sa condition et à chercher diligemment la loi présidant à sa destinée, il devient alors le maître éclairé, dirigeant son énergie avec clairvoyance et façonnant ses pensées à d'heureuses issues."
"l'homme est maître de sa pensée, le forgeron de son caractère, le créateur de sa condition, de son environnement et de sa destinée."
"Par un choix juste et une application judicieuse de la pensée, l'homme accède à la perfection divine; par l'abus et la mauvaise application de la pensée, il descend en-dessous de la bête. Entre ces deux extrêmes apparaissent tous les différents caractères, et l'homme en est le seul maître et créateur."
"L'homme se fait ou se défait par lui-même; dans l'armurerie de la pensée il forge les armes par lesquelles il se détruit; il fabrique aussi les outils par lesquels il construit pour lui-même des palais célestes de joie, de force et de paix."
"Un noble et admirable caractère n'est pas lié à la fortune ou à la chance, mais est le résultat naturel d'un effort continu dans la rectitude de la pensée, l'effet d'une longue association avec des pensées élevées. En vertu du même procédé, un caractère ignoble et bestial est le résultat d'un continuel entretien de pensées de même sorte."
Les compositeurs, les sculpteurs, les peintres, les poètes, les prophètes, les sages sont les constructeurs de l'au-delà, les architectes du paradis.
Les visionnaires sont les sauveurs du monde.
Celui qui a conquis la faiblesse, qui a renoncé a ses pensées n'est ni un oppresseur ni un esclave. C'est un homme libre.