Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 26/05/1907
Mort(e) à : Paris , le 17/04/2006
Né(e) à : Paris , le 26/05/1907
Mort(e) à : Paris , le 17/04/2006
Biographie :
Jean Bernard était un médecin français, spécialiste d'hématologie et de cancérologie.
Il suit des cours à la Faculté des sciences de Paris, à la Faculté de médecine et enfin à l’Institut Pasteur. En 1929, il devient interne des Hôpitaux.
En 1931, il fonde, avec Paul Chevallier, la première société savante d’hématologie.
Dès 1940, Jean Bernard entre dans la Résistance, ce qui lui vaudra d’être l’un des cinq cents titulaires de la carte de Résistant de 1940.
Après la guerre, Jean Bernard reprend ses études de médecine. Il suit les cours d’immunologie et de bactériologie.
En 1946, il devient médecin des hôpitaux, puis, en 1949, il réussit l'agrégation et enseigne à la faculté de médecine de Paris.
En 1947, il fondera, avec son ami Jean Hamburger, l'association pour la recherche médicale; qui deviendra par la suite, en 1962, la Fondation pour la recherche médicale.
En 1956, il est professeur de cancérologie.
De 1967 à 1970, il sera membre du conseil d'administration de l'Institut Pasteur.
De 1967 à 1980, il présidera l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
De 1974 à 1975, Il sera président de l'Académie nationale de médecine.
De 1981 à 1982, Jean Bernard est président de l'Académie des sciences.
En 1983, il devient le premier président du Comité consultatif national d’éthique des sciences de la vie et de la santé.
Il était membre de l'Académie royale de médecine, en Belgique.
Jean Bernard fut également un écrivain et un poète.
Il fut, notamment, l’ami de Paul Valéry, Léon Paul Fargue, Valery Larbaud, la famille Daudet et de Jules Romains.
Il sera élu à l’Académie française, le 15 mai 1975.
Il a été Docteur Honoris Causa de nombreuses universités étrangères telles que celle d'Innsbruck, Liège, Louvain, Mendoza, Montevideo, Salonique, Santiago et bien d'autres.
+ Voir plusJean Bernard était un médecin français, spécialiste d'hématologie et de cancérologie.
Il suit des cours à la Faculté des sciences de Paris, à la Faculté de médecine et enfin à l’Institut Pasteur. En 1929, il devient interne des Hôpitaux.
En 1931, il fonde, avec Paul Chevallier, la première société savante d’hématologie.
Dès 1940, Jean Bernard entre dans la Résistance, ce qui lui vaudra d’être l’un des cinq cents titulaires de la carte de Résistant de 1940.
Après la guerre, Jean Bernard reprend ses études de médecine. Il suit les cours d’immunologie et de bactériologie.
En 1946, il devient médecin des hôpitaux, puis, en 1949, il réussit l'agrégation et enseigne à la faculté de médecine de Paris.
En 1947, il fondera, avec son ami Jean Hamburger, l'association pour la recherche médicale; qui deviendra par la suite, en 1962, la Fondation pour la recherche médicale.
En 1956, il est professeur de cancérologie.
De 1967 à 1970, il sera membre du conseil d'administration de l'Institut Pasteur.
De 1967 à 1980, il présidera l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
De 1974 à 1975, Il sera président de l'Académie nationale de médecine.
De 1981 à 1982, Jean Bernard est président de l'Académie des sciences.
En 1983, il devient le premier président du Comité consultatif national d’éthique des sciences de la vie et de la santé.
Il était membre de l'Académie royale de médecine, en Belgique.
Jean Bernard fut également un écrivain et un poète.
Il fut, notamment, l’ami de Paul Valéry, Léon Paul Fargue, Valery Larbaud, la famille Daudet et de Jules Romains.
Il sera élu à l’Académie française, le 15 mai 1975.
Il a été Docteur Honoris Causa de nombreuses universités étrangères telles que celle d'Innsbruck, Liège, Louvain, Mendoza, Montevideo, Salonique, Santiago et bien d'autres.
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Baudelaire : Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise nos épaules, il faut nous enivrer sans cesse. Mais de quoi ? De vin, de poésie, de vertu à votre guise. Mais enivrez-vous.
Aragon : Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard.
Mais pour chacun de nous le temps est divers. Le temps de l’ennui est interminable. Le temps de l’impatience est tendu, presque brutal. Le temps des événements heureux nous semble très court.
La connaissance doit tout à l'expérience.
L'expérience repose sur les sens.
Mais les sens ne perçoivent que quelque chose.
Il y a des réalités insensibles.
L'expérience repose sur les sens.
Mais les sens ne perçoivent que quelque chose.
Il y a des réalités insensibles.
Partout en retard, il est aussi en retard rue de l'Odéon. Arrivant quand la séance se termine et parfois quand se termine la séance de la semaine suivante.
A propos de Léon Paul Fargues
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Le front têtu contre toute sottise et contre tout snobisme, elle croisait fichu de bonne femme sur sa robuste foi littéraire.
A propos d'Adrienne Monnier
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Par la victoire sur les maladies infectieuses commence la révolution thérapeutique qui allait changeait le destin des hommes.
A ce temps de Fresnes dont l'unité n'est pas la minute ou l'heure, mais le trimestre et l'année.
La mémoire maintient notre unité.
Elle inspire notre action, nos jugements.
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Je vis, grâce à Proust, quelques heures chaque semaine dans un autre monde.
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