Baudelaire : Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise nos épaules, il faut nous enivrer sans cesse. Mais de quoi ? De vin, de poésie, de vertu à votre guise. Mais enivrez-vous.
Mais pour chacun de nous le temps est divers. Le temps de l’ennui est interminable. Le temps de l’impatience est tendu, presque brutal. Le temps des événements heureux nous semble très court.
La connaissance doit tout à l'expérience.
L'expérience repose sur les sens.
Mais les sens ne perçoivent que quelque chose.
Il y a des réalités insensibles.
Partout en retard, il est aussi en retard rue de l'Odéon. Arrivant quand la séance se termine et parfois quand se termine la séance de la semaine suivante.
A propos de Léon Paul Fargues
Le front têtu contre toute sottise et contre tout snobisme, elle croisait fichu de bonne femme sur sa robuste foi littéraire.
A propos d'Adrienne Monnier