Jean-Marie Périer

Série complète achetée. J'ai commencé par celui-ci alléchée par la liste des auteurs. Certaines nouvelles ne m'ont pas convaincue mais il y en a pour tous les goûts. Je reste mitigée par cette première lecture mais poursuivrai avec les autres années

C’est un délice de découvrir tous ces auteurs autour d’une même cause. 13 à table est une magnifique initiative qui je l’espère perdurera dans le temps.

Toutes les nouvelles sont agréables à lire, toutes ont un style différent et il n’y a en aucun cas d’effet de redondance.

13 auteurs pour 13 nouvelles centrées autour d’un thème commun : un repas. J’ai lié la bonne action à ma passion. Acheter un livre pour aider les restaurants du cœur.



Comme tout les livres de nouvelles, certaine peuvent nous plaire, d’autre pas ou moins. Ce qui est mon cas ici, mais dans l’ensemble, je dirais que ces nouvelles sont courtes et efficaces, drôles et originales. Je conseillerais de garder les meilleures pour la fin. Par conséquence je dégusterais en dernier «Un petit morceau de pain» d’Agnès Ledig pour l’histoire touchante, «Mange le dessert d’abord» de Gilles Legardinier, pour le fait qu’il nous fait comprendre qu’on ne peux pas toujours suivre ce que les autres decident, et enfin « La part de Reine » de Eric-Emmanuel Schmidt pour ça sublime histoire et leçon de vie. Mais rassurez-vous les autres aussi sont savoureuses à déguster. Ce livre m’a permise de découvrir de grand auteurs français. En simple, en plus d’avoir fait une bonne action, ce livre est très bon.
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Lire, comme chaque année pour participer au mouvement de solidarité envers les Restaurants du coeur. Un livre acheté, trois repas distribues.



Des auteurs archi connus pour une cause archi connue, des nouvelles de qualité, une bonne cause, bref un bon moment .

Premier recueil de nouvelles autour du thème des repas. Il y a des nouvelles qui m’ont beaucoup plu, d’autres, qui étaient moins intéressantes et qui sortait du thème de ce recueil. Certains réussissent haut la main l’exercice d’écrire un texte haletant et complet, alors que d’autres, cela traîne plus en longueur rendant le récit plus compliqué à lire..

Un recueil de souvenirs du photographe, à travers les personnalités du monde de la musique, du cinéma et de la littérature qu’il a connues.
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Mes nuits blanches - Jean-Marie Périer - Calmann-Lévy - Cliquez ICI :



Depuis ses débuts au sein de "Salut les copains", Jean-Marie Périer a une grande collection de photographies, et notamment de photographies de célébrités 📷

Dans "Mes nuits blanches", il réunit ainsi photographies et chroniques pour nous offrir un moment de nostalgie et de bonheur, nous plongeant dans ses souvenirs !

➡️ Swipez pour en découvrir quelques unes !

📚 A retrouver en librairie : https://brnw.ch/21wE9DV depuis le 2 novembre dernier !

L'univers de Jean-Marie Périer : Avec son enthousiasme et son goût de la vie habituels, Jean-Marie Périer livre le meilleur de ses chroniques accompagnées de photographies de ses années Salut les Copains à ses rencontres les plus récentes. Sous son oeil aguerri, il fait renaître un monde. Et nous voilà entraînés au fil de ses amitiés de toute une vie et de ses coups de coeur fugaces, où il mêle les univers de la musique, du cinéma et de la mode, toujours avec humour et tendresse.

Ce livre est un véritable trésor ! Depuis que je l'ai reçu en service presse, je ne fais que le compulser et je me régale. Quels bons souvenirs remontent à la surface ! Quelles magnifiques photographies ! J'adore ce beau livre et je remercie infiniment l'excellente maison d'éditions Calmann-Lévy de me l'avoir envoyé !



Il est chez votre libraire depuis le 2 novembre dernier. C'est un livre à vous offrir et à offrir... Peut-être sera-t'il dans la hotte de Papa Noël ? C'est un livre photos témoignages magnifique ! Je ne sais que rajouter... A avoir dans sa bibliothèque !




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C’est un livre solidaire. J’aime le fait qu’il y en ai pour tout les goûts. Il y a des nouvelles que je n’ai pas appréciés, mais d’autres que j’ai adoré et qui m’ont marqués. C’était tout de même très agréable à lire et ça permet de faire de belle découverte tout en participant à une noble cause.

2015 C’est le titre du recueil qui fait office de thème pour cette première édition.

Le casting est énorme pour ce premier volume, je vous laisse juger par vous-même. Maxime Chattam, Franck Thilliez, Bernard Werber, Guillaume Musso, Pierre Lemaitre, Marc Levy, Françoise Bourdin, Alexandra Lapierre, Agnès Ledig, Gilles Legardinier, Jean-Marie Périer, Tatiana de Rosnay, et Éric-Emmanuel Schmitt.

Faire le teasing du livre avec deux nouvelles, le choix c’est avéré compliqué tant elles sont toutes bonnes. Mais il fallait trancher pour ne pas faire un retour trop long et imbuvable.

Bernard Werber, « Langouste blues » :

Quand le narrateur n’est ni plus ni moins qu’une langouste qui se prénomme Bob, sous la plume d’un romancier du talent de Bernard Werber, on se retrouve avec une histoire truculente. « Personnellement, je préfèrerais qu’on ne me mange pas », un plaidoyer pour la survie des langoustes, ou tout du moins pour la survie de Bob…

Maxime Chattam, « Maligne » :

Un homme énorme raconte à son psy qu’il est possédé par une entité, qui le force à manger en permanence. Il est à bout, mais il a trouvé la solution pour se débarrasser de cet ôte très envahissant. La méthode sera radicale, quant à son efficacité, le doute est permis.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..

Dans cet « album de famille », Jean -Marie Périer nous partage de jolies rencontres professionnelles, amicales et amoureuses.

Il est très agréable à lire avec ses magnifiques photos et textes très tendres, plein de poésie et d’humour.

J’ai énormément aimé ce ouvrage découvert par hasard et vous le recommande.

Chaque année, j’achète le 13 à table ! mais je n’ai commencé à les lire que cette année (et je suis en retard) J’aime cet enchaînement de nouvelles sur un seul thème mais vu par des auteurs de romans, de thrillers, … Après ma coupure de 2 ans de la lecture, j’ai remis le pied à l’étrier par ces nouvelles, comme une rééducation. J’avais besoin de reprendre mes marques et ça a été une vraie thérapie.

Depuis trois ou quatre ans, j'achète chaque année le recueil de nouvelles 13 à table ! Au profit des restos du cœur. Alors quand cette édition 2015 s'est trouvée sur mon chemin dans une boîte à lire, elle m'a appelée.



Cette édition de 2015 présente une distribution assez hallucinante !! Tout ce que la France compte de gros gros vendeurs s'y retrouve : Lévy, Musso, Thilliez, Chattam, Ledig, Legardinier...

Le thème de 2015 est : le repas.



Comme dans toutes les éditions, il y en a pour tous les goûts et des interprétations variées du thème. Cela permet de découvrir des plumes inconnues ou de tester des auteurs sur le format Nouvelles. C'est d'ailleurs un format exigeant, qui demande une capacité à capter l'attention et à susciter l'attachement pour ses personnages très vite.



Pour cet exercice, chapeau bas au big boss Éric-Emmanuel Schmitt : original, touchant, joliment écrit.

J'ai également beaucoup aimé les nouvelles de Pierre Lemaitre et Franck Thilliez. Ce dernier parvient à créer une tension en quelques pages.

Chattam joue la carte de l'originalité un brin fantastique. La nouvelle d'Agnès Ledig est aussi mignonne et bien construite.



Bravo à ces auteurs pour leur engagement.

Cette édition va désormais retrouver la boîte à lire où je l'ai trouvée, pour appeler un autre lecteur et le nourrir de quelques belles histoires.

13 nouvelles de 13 auteurs français sur le thème de la nourriture.

Le bon côté est qu'on découvre 13 styles, le moins bon est que le sujet imposé est léger et conduit souvent à des histoires légères tout en finissant parfois par peser sur l'estomac. A lire de préférence avant les repas plutôt qu'après.



Dans l'ordre de mes préférences :



L'amusante nouvelle de Bernard Werber (proche du 'Lobster' de Guillaume Lecasble, 2003) m'a rappelé un passage du Dictionnaire des révélations de Jean-Claude Carrière qui révèle selon lui une face cachée du naufrage du Titanic : le navire à coulé un iceberg tuant les ours polaires qui y vivaient. Werber nous en révèle une autre face : ce naufrage a aussi sauvé des vies.



Quand Gilles Legardinier, de façon joviale et sympathique, parle de cette habitude qu'il avait de s'installer au restaurant en face d'inconnus – occasion d'échanges libres et réjouissants –, on pense à Antoine de Maximy dans J'irai dormir chez vous.



J'ai assez bien aimé le bref texte de Jean-Marie Périer. Un récit dans lequel on peut se reconnaître et qui fait réfléchir sur la vanité des mondanités, la fragilité de l'amitié, la brièveté de la vie.



Eric-Emmanuel Schmitt. Histoire émouvante qui plaira à tous ceux qui aiment les chiens.



Franck Thilliez. En Alaska, parmi les ours qui subissent la famine à cause du manque de saumons qui ont remonté la rivière au mauvais endroit, et de l'action de l'homme qui dérègle les cycles de la nature.



Tatiana de Rosnay. Un début très convenu et une fin tragi-comique.



La nouvelle de Pierre Lemaitre, jugée médiocre par plusieurs lecteurs, est une des rares qui m'ait fait rire. Elle montre comment on peut se compliquer la vie bêtement et que la meilleure chose à faire est parfois de ne rien faire.



Maxime Chattam. Un drame lugubre, psychiatrique et fantastique.



Francoise Bourdin. La légèreté d'une série télé familiale.



Agnès Ledig. Bien des soucis pour peu de choses. Est-il vraiment si compliqué de se nourrir dans la France du XXIe siècle ?



Alexandra Lapierre. Une farce peu crédible et ridicule.



Guillaume Musso. Enquête policière invraisemblable qui semble écrite pour des pré-ados.



Marc Levy. Récit mièvre et bien-pensant sur le conflit israélo-palestinien. ‘Une petite discussion et tout ça va passer'. C'est bien gentil de faire converser des ennemis, mais, de touts temps, quand un peuple s'installe à la place d'un autre la haine est fatale. le dialogue entre un colon et un colonisé peut au mieux faire comprendre le point de vue de l'autre mais n'est pas la solution au problème. On croit entendre, pour paraphraser Dupont-Moretti, « il n'y a pas de haine mais un sentiment de haine. »

Une lecture agréable avec des auteurs connus, un choix éclectique même si toutes les nouvelles ne se valent pas :pour ma part je place sur le podium celle de Musso, Schmidt et Ledig ex aequo en 2 et Werber en 3. On reconnaît bien la patte des certains, dans ces écrits courts agréables à lire tout en faisant une BA.

Nous sommes ici sur un recueil de 13 nouvelles, écrites par 13 grands auteurs français, autour d'un seul et même sujet :

- Le repas.

De très bons textes avec des styles différents.

Certains sont simples, d'autres banals, mais tous avec des émotions.

J'ai ri, j'ai frissonné, j'ai flippé, j'ai "What???", mais le principal, je me suis régalée.

Une très belle initiative à découvrir.

📜Mon ressenti 📜



Encore un recueil que j'ai trouvé dans une boite à livres et qui vient compléter ma collection de cette série.



Dans celui-ci on se retrouve à table, entre amis ou familles. On goûte, on savoure.

Une nouvelle m'a beaucoup touchée "La part de Reine" et une autre m'a mise mal à l'aise "Langouste blues", déjà que je n'aime pas manger ce crustacé mais maintenant rien que de le voir .....brrrrr 😊



Toujours un plaisir à lire et en plus pour la bonne cause 😍

Lors de ma première lecture, l'année de sa sortie, je n'ai pas été plus intéressée. Oui c'était bien. Sans plus.



Je lui ai laissé prendre la poussière année après année, dimanche je me suis mise au défi de lire les quatre livre avant d'acheter le nouveau, lire les quatre... Nous sommes la nuit de mardi à mercredi et j'ai fini.



Aujourd'hui, je redécouvre ce livre. Et je ris de certaines histoires, j'éprouve mille chose à avoir relu ces quatre ouvrages, de la peine, de la joie, de l'envie parfois un peu,... Dans ce roman, je suis restée interpellée, si j'ose dire, par le texte d'Eric-Emmanuel Schmitt, par ce qu'il a écrit, lorsque Clovis explique la confiance que son chien a envers lui. Peut être parce qu'aujourd'hui j'ai un chien et que c'est exactement ce que je ressens quand bêtement mon chien attend que je lui tende un morceau du biscuit que je mange, cette confiance inébranlable que je ne l'abandonnerais pas.

Le recueil 13 à table ! De 2014 est un cru qui se déguste gentiment. Les premières nouvelles sont assez fades. Il faut arriver à la 6ème, celle de Pierre Lemaître pour savourer une belle écriture cadencée, qui s'accompagne d'un humour fin et d'une grande sensibilité pour traiter le thème du grand âge. Le texte de Musso fait vraiment décoller le niveau des nouvelles. Il apporte avec lui le rythme soutenu du genre policier avec une intrigue à suspense. Il réserve, en outre, une chute de bonne hauteur. Jean-Marie Périer offre un remake très poétique et nostalgique de Jules et Jim. Eric-Emmanuel Schmitt choisit un genre qui se rapproche de la fable philosophique. Franck Thilliez aborde le repas côté Grizzlis, dans une nature sauvage et sans pitié. Les textes sont variés. 5 /13 ont vraiment suscité mon intérêt.

Au delà de la cause elle-même, je trouve super de pouvoir lire des nouvelles de 13 auteurs différents, certains que je connais ou pas, certains que j’apprécie ou que je lis moins et que je peux ainsi redécouvrir.

Le format nouvelle permet aussi de les lire entre deux autres lectures, ou pendant une pause.



Dans celui-ci mes préférées sont celles de Franck Thilliez (forcément !), de Bernard Werber et de Tatiana de Rosnay. Celle d’Eric-Emmanuel Schmitt est particulièrement touchante… Et j’ai été agréablement surprise par celle de Musso !

Un recueil de nouvelles, collectif d'auteurs, trop court comme toujours mais qui m'aura permis de faire connaissance avec la plume de certains auteurs, tels que Françoise Bourdin, Agnès Ledig, Pierre Lemaître et Franck Thilliez. J'y ai totalement reconnu le style plutôt glauque de Maxime Chattam, et le style énigmatique de Guillaume Musso.



J'ai trouvé les nouvelles de Françoise Bourdin, Pierre Lemaître et Jean-Marie Périer assez insignifiantes, sans intérêt.



Celles de Marc Levy et Guillaume Musso hors sujet (aucun rapport avec le thème commun).



Celle d'Alexandra Lapierre plutôt mignonnette.



Celles de Gilles Legardinier et Bernard Werber assez cocasses.



Celles de Maxime Chattam et Franck Thilliez font froid dans le dos mais j'aime bien.



Celle d'Éric-Emmanuel Schmitt plutôt émouvante.



Celle de Tatiana de Rosnay m'a fait pensé à Tatie Danielle...



Et enfin un petit coup de cœur pour celle d'Agnès Ledig, une autrice qui m'intrigue depuis un moment déjà et qui du coup, me donne encore plus l'envie de la découvrir.



[Lu en mai 2020]