Jeanne DuPrau

"La cité de l'ombre" est une ville souterraine très ancienne, sombre, froide, au bord de la famine et éclairée par un générateur d'électricité qui menace de tomber en panne. Elle est dirigée par un maire autoritaire et égoïste. Les habitants ont peur car ils n'ont jamais vu le monde extérieur, ils devaient y vivre provisoirement pour échapper aux catastrophes qui ont lieu à la surface de la Terre. Le coffret qui contient les consignes d'évacuation permettant de quitter la ville a été perdu. Lina et Doon, son ami, réussirent à déchiffrer le message. Ensemble ils se lancent dans une course-contre-la-montre pour trouver le chemin qui mène à la surface de la Terre et sauver la population de cette ville. Mais vont-ils réussir à quitter la ville alors qu'ils ne savent même pas qu'il existe un nouveau monde ?

J'ai aimé ce roman de science-fiction car c'est une histoire simple, avec beaucoup d'aventure. Le roman nous donne beaucoup d'informations et, ce, dès le début du livre. On ne sait pas tout de suite ce que recherchent les héros. Le mystère est bien gardé ; pour moi, le début est un peu long et avec très peu d'action. Le monde est en danger et deux adolescents se rendent compte de la situation dramatique. Le mystère de la boîte nous intrigue et nous essayons de comprendre la signification du message avec Lina. On participe à l'histoire parce qu'on cherche en même temps que Lina et Doon à déchiffrer le message des consignes d'évacuation. Ce roman nous montre qu'il est important de protéger l'environnement. On voit les conséquences lorsqu'on le détruit. Ce roman nous montre aussi qu'il ne faut pas faire les même erreurs que les générations passées pour donner aux générations futures l'espoir de vivre mieux sur notre planète. Enzo, 4°A 2015/16

J'ai beaucoup aimé ce second tome de la saga Ember. On reprend l'histoire quelques jours après l'avoir laissée dans le premier tome. Tout le monde a quitté la ville morte et accède à un nouveau monde.



Et qui dit nouveau monde, dit nouvelles personnes, et bien sûr, c'est là que les ennuis commencent.



J'ai bien aimé la façon insidieuse que peuvent avoir certaines personnes, en général peu nombreuses, de mettre un vers dans la pomme. Il est question d'endoctrinement, de repentir. Ce sont d'excellents sujets à traiter dans un jeunesse.



Je l'ai lu en anglais, et il est très accessible, donc l'apprentissage pourrait même se faire en une pierre deux coups.

Que j'aime les livres jeunesse fantastique !

Celui-ci n'a pas échappé à la règle.

Lina et Doon vivent sous terre, dans une cité entièrement aménagée, avec des habitations, des champs, des réserves.

Depuis combien de temps les habitants vivent-ils sous terre ? Et pourquoi ? Chacun y a son rôle : travailler aux champs, réparer les canalisations, l'électricité...

Sauf que la Cité est à bout de souffle, la lumière et ses ressources vont bientôt s'épuiser, définitivement.

Alors que les politiques n'ont pas l'air de prendre au sérieux ce problème, les deux héros découvrent un message, promesse d'un autre monde.

Prenant, bien écrit, riche en mystères et en rebondissements, voilà un livre que j'ai dévoré !

Anne DuPrau est une auteure d’origine américaine très prolifique, les quatre livres constituant la série de la Cité de l’ombre sont les seuls de l’auteure à être publiés en France pour le moment. Le premier roman de la quadrilogie a été adapté au cinéma en 2008 sous le même titre, vous pouvez accéder à sa bande-annonce ici.



Dans la cité souterraine d’Ember



A peine commencé, le lecteur se retrouve plongé dans la ville de Doon et Lisa, deux jeunes gens qui vont bientôt commencer à entrer dans la vie active grâce à la cérémonie des Attributions, le métier de chacun est attribué par tirage au sort d’un petit papier, selon les besoins de la ville, les attributions changent chaque année.



Parallèlement à ces deux nouvelles vies qui commencent, celle de la ville elle, s’essouffle : les matières premières viennent à manquer et pire que tout ; la cité est en proie à des pannes d’électricité, son générateur peine de plus en plus à satisfaire les besoins des habitants.



C’est donc une ville mourante à laquelle on est confronté, mais personne n’a l’air de s’en inquiéter au point de faire bouger les choses… personne sauf Doon.



Une quête… mais vers quoi ?



La cité de l’ombre est un roman jeunesse assez simple dans sa construction, mais très riche dans ses idées. On ne sait pas directement quelle est la « quête » à accomplir par nos deux héros car eux-mêmes ignorent ce qu’ils cherchent, ni même si elle est matérielle ou spirituelle, le mystère est bien gardé et les lecteurs dès l’âge de 11 ans s’épanouirons dans cette lecture remplie d’aventures et de secrets bien gardés.....



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J'avais beaucoup aimé l'adaptation cinématographique de ce livre, quand elle est sortie en 2008. Je m'étais toujours dit que je lirais le livre. Je m'aperçois maintenant que c'est une série de 4 tomes en fait, pour mon plus grand plaisir !



Le premier tome est assez semblable au film : 2 enfants (même s'ils sont plus ados dans le film, que voulez vous, l'influence des autres films à la mode) dans une ville souterraine en décrépitude. Tous les ingrédients sont réunis pour que ça me plaise : post-apocalyptique soft, des ados, des amitiés, et la quête de l'avenir.



J'ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture. Je l'ai lu en anglais, et il est très abordable. J'ai hâte de connaitre la suite.

J'ai été attirée par la couverture du livre à la bibliothèque, puis la bibliothécaire m'a dit que le livre était très bien, donc je l'ai lu et.... il était très bien ! Les personnages ne sont pas niais et sont très attachants.



Et puis pour une fois, je dois dire que l'adaptation ciné était quasi parfaite !

Le diamant des ténèbres conclut une superbe trilogie. J'ai beaucoup aimé ce tome, à la fois par la dure réalité qui frappe nos héros et à la fois par leur ingéniosité pour essayer de l'améliorer.



L'histoire de nos petits héros se finit, mais il existe un préquel, que je vais m'empresser de lire. J'ai hâte de voir si je vais découvrir la raison des "Grands désastres" et ce qui plonge l'humanité dans un tel carnage.



Je continue ma lecture en anglais, qui est définitivement idéal pour les débutants.

Très bon livre ! Je vous le recommande fortement ! Il y a du suspens et de l'aventure dans un monde a la fois réel et irréel !

Très très original, ce livre a beau être mal écrit, est un moment de rêverie... ou plutôt de cauchemar!

Mais pas dans le style film d'horreur, plutôt dans un genre étouffant, on redoute la prochaine déveine qui va tomber sur les héros.

Malheureusement, ces héros sont plats, et le livre est soit mal traduit, soit mal écrit... dommage !

Très décevant, surtout par rapport à "La cité de l'ombre" (qui fait parti de la même trilogie), cucul, inintéressant au possible, il n'y a pas d'histoire...

Ce livre est un véritable navet (commercial, à mon avis).



! à éviter !

J'ai beaucoup de mal à déterminer l'intérêt de ce préquel. Je pense que le mieux est d'en rester à la trilogie de base. Pourtant, ce livre n'était quand même pas sans intérêt. Il m'a un peu fait penser à un Stephen King, à cause du fait qu'on nous y décrit le quotidien d'une petite ville (un peu comme dans Bazaar). C'était intriguant mais je suis forcée de constater qu'il n'y a pas vraiment de fin, pas vraiment de choses à en retirer. Et surtout : il n'apporte rien à la compréhension de la trilogie. Le lien est d'ailleurs très vague. Tout juste est-il clair dans les 10 dernières pages.



L'anglais reste accessible aux débutants.

Je ne connaissais pas du tout ce roman, alors qu’il fait apparemment partie des classiques de la fantasy/science fiction jeunesse. En plus, il y a aussi un film que l’on a visionné dans la foulée donc c’était vraiment sympa d’enchaîner les deux !



J’ai beaucoup aimé ma lecture ! Dès le départ, j’ai été plongée dans l’ambiance de cette cité, Ember, entourée de ténèbres et j’ai adoré découvrir leur mode de vie. Le roman prend le temps de nous faire découvrir la cité et comment tout fonctionne. Au travers de Lina et Don, deux jeunes ado qui commencent à travailler, on découvre la ville, et aussi ses problèmes. Mais Don veut régler tous les soucis de la ville, et Lina aime surtout le suivre car elle aime l’aventure et tous les mystères qui entourent la cité d’Ember. Petit à petit, on découvre la cité, et les vrais problèmes structurels. Là, l’histoire se rapproche d’une dystopie. Tout paraît beau et tout, mais en réalité c’est bien plus complexe que ça évidemment. Disons que tout se passe bien tant que tu restes dans ton rôle sans poser de questions ou fouiner…



Lina et Don sont deux personnages qui m’ont assez plu. J’ai surtout apprécié Lina, elle s’autorise un peu plus à rêver, à être créative que les autres habitants de la cité et j’ai aimé ça chez elle. Elle est aussi très protectrice envers sa petite sœur et ça c’est hyper choupy. Je me suis un peu moins attachée à Don, il est hyper motivé à l’idée de régler les problèmes de la cité. On comprend qu’il veut devenir un genre de héros aux yeux des habitants de la cité, mais ses motivations sont tout de même assez diffuses et ça m’a empêché de beaucoup m’attacher à ce personnage.



J’ai lu ce premier tome très rapidement, j’ai été totalement happée par la cité d’Ember et par tous ses mystères. Après ma lecture, j’ai enchaîné avec le film et c’était aussi vraiment sympa. Le film a une esthétique un peu plus electro-punk, avec plus de petits robots et de trucs comme ça, et il prend certaines libertés avec le livre pour ajouter des détails aux backgrounds des personnages. Mais sinon, ça se termine plutôt pareil.



En bref, une très belle découverte ! J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte de lire le tome 2 pour découvrir la suite des aventures de Lina et Don.
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Doon et Lina vivent dans la ville d'Ember, ville entouré de ténèbres. Les ressources commencent sérieusement à manquer. Ember est en train de s'écrouler. Mais un jour, Lina trouve de mystérieuses instructions pour partir de la ville.. Lina et Doon feront tout pour sortir de la ville, dirigée par des dirigeants insouciants. Réussiront-ils?



J'ai regardé le film avant de regarder le livre, et je dois dire que je l'ai adoré (le film). J'espérais simplement que ce livre répondrait aux questions que le film m'avait laissées, mais il n'en fut rien.



D'abord, il y a beaucoup d'éléments que l'auteurs a omis de nous expliquer, ce qui m'a considérablement déçu. Par exemple, si Doon avait une mère ou non.



De plus, je n'aime pas le style d'écriture de l'auteure. Je n'ai pas rentré dans l'histoire. Mais pour moi, un livre doit faire entrer le lecteur dans la peau du ou des personnages principaux, et ce n'était pas le cas pour moi.



Cependant, j'aime bien l'idée de départ. Je la trouve très originale.

vraiment l' histoire est vraiment génial

Suite de la cité de l’ombre parue aux éditions Folio Junior, ce second volume de la quadrilogie post-apocalyptique de Jeanne DuPrau nous fait retrouver avec plaisir Doon et Lisa, et d’autres habitants de la ville d’Ember; mais aussi et surtout, une foule de nouveaux personnages.



Un monde de lumière



Les Emberiens viennent de découvrir qu’ils n’étaient pas seuls au monde, que leur ancienne cité était cachée des kilomètres sous terre. Pourquoi était-elle dissimulée ? Quel était le but des Bâtisseurs quand ils ont construits Ember ? Beaucoup de questions qui resterons pour le moment sans réponses, car les habitants d’Ember on tout quitté pour aller à la surface, mais ils ne sont guère préparés à ce monde nouveau et hostile par bien des aspects.



Bienvenue dans la ville de Sparks



Le peuple d’en Haut est un livre en deux parties : il parle tout d’abord de la découverte de « la surface » par les habitants d’Ember. Eux qui n’ont connu que leur ville souterraine découvrent le vent, les arbres, les animaux, la pluie, et surtout : une autre ville avec d’autres personnes ; Sparks.



La seconde partie est en quelque sorte le revers de la médaille : comment une petite ville comme Sparks pourrai-t-elle nourrir plus du double de bouches du jour au lendemain ?



Car les Emberiens ne savent rien faire de leur mains : dans leur ville sous terre ils avaient tout ou presque : entrepôts de nourriture, réserves de produits de nécessité… ils ne savent donc pas jardiner, ni même poser une clôture, autant de choses que les habitants de Sparks vont devoir leur enseigner s’ils veulent voir les Emberiens s’autonomiser et partir le plus rapidement possible. En attendant, les Sparkiens partagent leurs denrées avec eux...



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La cité de l'ombre n'est pas le meilleur livre au monde mais il est addictif et surprenant. C'est l'un de ces livres qu'on lit pour passer de bons moments . C'est celui qui nous remonte le moral il est parfait pour les enfants. Si j'avais lu ce livre plus tôt je l'aurais trop aimé, de une l'énigme mais les personnages principaux ne sont pas très attachés l'un à l'autre et Lili est un peu agaçante à mon goût je recommande vivement aux 8à10ans

Une suite intéressante de "La cité de l'ombre". Très intéressante en fait !

Agréablement surpris. Très bien et original. Dans la foulée j'ai vu le film, dont je n'avais jamais entendu parler, et là aussi je l'ai trouvé pas mal du tout... à part le «coucou» de la fille tout à la fin du film lorsqu'elle se penche au dessus du trou et qu'elle voit la cité d'Ember tout en bas ... (sic)

Nickie, onze ans, habite « au dixième étage d’une tour sans âme », à Philadelphie, une ville beaucoup trop grande à son goût, et qu’elle déteste. Aussi, lorsque sa mère, Rachel, et sa tante, Crystal, héritent de la maison de leur grand-père, à Yonwood, une petite ville de Caroline du Nord, Nickie se met à rêver : Yonwood est sans doute un havre de paix, et c’est là qu’elle veut vivre. Hélas, Rachel et Crystal ont décidé de vendre la maison du grand-père… C’est dans ce but que Crystal se rend à Yonwood. Nickie l’accompagne, bien décidée à profiter du voyage pour convaincre sa tante de garder la maison. Mais Nickie va découvrir que Yonwood n’est pas le paisible village qu’elle avait imaginé : il s’y produit des phénomènes étranges et troublants, et les habitants semblent suspendus aux lèvres de l'"Oracle", une femme malade dont les visions sont interprétées par une certaine Brenda Beeson, laquelle s'est donné pour mission de combattre le mal...



L'avis de Marion, 15 ans : Une histoire un peu spéciale, mais intéressante dans le fond.



L'avis de la rédaction : Bien que son thème soit séduisant, cette histoire laisse un arrière-goût d'inachevé, comme si l'auteur n'était pas allé au bout des possibilités offertes par le récit et par l'ambiance énigmatique et inquiétante qui se dégage des premiers chapitres.

Quel plaisir de retrouver les héros Lina et Doon dans cette dernière aventure de la série "La cité de l'ombre".



J'avoue avoir lu ce dernier tome quelques années après ma première lecture de "La cité de l'ombre", pourtant l'auteur nous replonge très aisément dans son histoire et son univers : les premiers chapitres sont à la fois récapitulatifs des tomes précédents et annonciateurs d'une nouvelle aventure.



Comme à chaque fois, le récit fait écho à notre société et ses dérives. Mais à travers ces personnages et ce monde dystopique, l'auteur nous montre un avenir qu'il faut rechercher pour ne pas se retrouver sans ressources (comme à Sparks).

La révélation finale me laisse encore pantoise, mais c'est une très bonne série qu'il ne faut pas hésiter à lire !