Jim Butcher

Varg retourna à son livre, un antique ouvrage datant apparemment de la préhistoire aléréenne. Tavar avait précisé qu'on ignorait quelles parties du livre étaient authentiques et quelles parties avaient été ajoutées au fil des siècles. Cependant, s'il était ne serait-ce qu'à moitié véridique, alors le maître de guerre aléréen qu'il décrivait était très compétent, bien qu'un peu arrogant. Il était évident que ses Mémoires avaient influencé les stratégies et les tactiques des légions aléréennes.
Néanmoins, songea Varg, il n'était pas certain que Tavar aurait eu la moindre leçon a recevoir de ce fameux « Jules ».

- Khral recrute des partisans. Il tient des réunions sur les vaisseaux de glace. Les nôtres ont peur et il exploite cette peur.
- C'est ce que font les Orateurs de Sang.
- Il pourrait s'avérer dangereux.
- Les fous le sont souvent.

The building was on fire, and it wasn't my fault.

“Listen to me,” I snarled. “We are not going to die.”
Butters stared up at me, pale, his eyes terrified.
“We’re not?”
“No. And do you know why?”
He shook his head.
“Because Thomas is too pretty to die. And because I’m too stubborn to die.”
I hauled on the shirt even harder.
“And most of all because tomorrow is Oktoberfest, Butters, and polka will never die.”
He blinked.
“Polka will never die!” I shouted at him. “Say it!”
He swallowed. “Polka will never die?”
“Again!”
“P- p-polka will never die,” he stammered.
I shook him a little. “Louder!”
“Polka will never die!” he shrieked.
“We’re going to make it!” I shouted.
“Polka will never die!” Butters screamed.
“I can’t believe I’m hearing this,” Thomas muttered.

"How did you find that out?”
“I called my sister.”
I frowned. “I thought Lara wasn’t speaking with you?”
Thomas’s voice went dry. “Just because she cut me off from the family’s money, kicked me out of any of our holdings, made it clear that I no longer have their protection, and she’s holding the woman I love as a virtual prisoner, don’t mean she doesn’t still like me personally.”
“So… she did you a little favor?” I said.
“Technically,” Thomas said, “she did you a little favor.”
“Why did she do that?” I asked.
“Well, I hinted about how, since her entire power base depended on a certain secret being kept, and since you were awfully irrational about protecting the good citizens of Chicago, that you might develop loose lips to sink her ship if she didn’t help you in your moment of need.”
“Um…” I said. “So you’re telling me that I just engaged in blackmail against the ruler of the White Court by proxy?”
“Yeah,” Thomas said. “You’ve got some great big brass balls on you to do something like that, Harry."

- Valiar Marcus m'a sauvé la vie. Et j'ai sauvé la sienne. Je ne l'imagine pas capable de se retourner contre la légion... Ou contre moi.
- C'est toujours ce que les gens croient au sujet des traîtres. C'est pour cela que nous les haïssons à ce point.

Les maîtresses, c'est une chose. Les bâtards, c'en est une autre.

- Je trouve remarquable la tendance des amateurs à confondre le courage et l'idiotie.

L'amour appelle l'amour.

L'amour n'est pas toujours réciproque. Et lorsqu'il ne l'est pas, celui qui aime ressent une forte douleur.

L'amour est la première émotion qui nous gouverne. L'amour des autres, ou bien l'amour de soi.

L'issue de la plupart des guerres, au bout du compte, était décidée par le nombre.

L'audace et la stupidité sont deux choses différentes. Mais parfois, elles sont difficiles à distinguer.

Incroyable, ce que les gens étaient capables de faire lorsqu'ils travaillaient main dans la main.

Cymnea était le Tribun Logistica de la Première Légion Aléréenne... mais avant que les circonstances et l'urgence de la situation l'obligent à devenir le Tribun Cymnea, elle se faisait appeler Mme Cymnea. Elle était alors la propriétaire du Pavillon, la plus prestigieuse maison close du camp accompagnant la légion.

- Donc il semble que pendant que j'essaie de convaincre les Aléréens d'accepter l'aide des Canims, et que je cherche le moyen de battre les vordes, et que je m'attire assez de soutient pour devenir vraiment le Premier Duc... Je vais aussi devoir intégrer une grande histoire romantique à mon emploi du temps.
- C'est pour ça que tu es Princeps, et que je ne suis qu'un humble Tribun.

- Même en ce moment, alors que nous pourrions tout perdre, ces imbéciles s'adonnent à leurs petits jeux. Ils ne cesseront même pas de comploter le jour où un chevalier-vorde se mettra à les tailler en pièces... Comme si les vordes n'étaient qu'un désagrément passager !
- Ils sont obligés de se comporter ainsi. Sinon, ils devraient avouer qu'ils ont eu tort de ne pas écouter nos avertissements... Il y a cinq ans de ça, bon sang !

La peur peut faire faire n'importe quoi aux gens.

Quelle que soit la puissance d'un individu, il n'est tout de même qu'une partie d'un tout plus grand que lui. Les gestes de respect servent à se réaffirmer mutuellement cette vérité : celui qui le donne et celui qui le reçoit font partie de quelque chose de plus grand, et chacun doit y jouer son rôle.

Voler est très simple. C'est survivre à l'atterrissage qui est compliqué.