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Critiques de Joanna Hellgren (24)
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Les petites bêtes du terrain de foot

Surfons sur la vague du sport du moment, elle est déferlante avec le succès du Football féminin.



Notre histoire n'ira pas à la même vitesse, c'est une histoire d'escargot sur un terrain de foot, mais pas que.



Nous prendrons donc le temps.



Voici "les petites bêtes du terrain de foot" qui font leur entrée







Avant de tourner notre attention vers cette nouvelle équipe de choc, les auteures Tove Pierrou et Joannna Hellgren nous en donnent tout de même pour notre argent et nos tickets, introduisant l'histoire avec un match vrai de vrai avec des juniors.



Cela sent le match du samedi matin ou du dimanche, les parents sont là, les grands frères et soeurs sont prêts à soutenir dans les gradins.



Il n'y a que notre héros Omko qui y va à reculons, le visage froissé d'avoir repris les vieilles baskets de sa grande soeur, du temps où elle faisait du Basket.







Elles auront tous les défauts ses chaussures et il est à se demander si le vrai problème ne vient pas du Foot lui-même.



Les petites bêtes arriveront à point, occupant toute son attention sur le gazon plutôt que la balle (ah bah, quand ça veut pas, ça veut pas).



Et ainsi, Omko se lancera dans une mission sauvetage pour que l'infiniment petit ne finisse pas piétiner, de l'abeille à l'escargot (si si, il va le faire).



Cela nous fait sourire évidement car dans la mauvaise volonté il ressort un excellent fond et notre héros s'en sort bien sur le terrain selon ses priorités.



Certains lecteurs devraient se reconnaître dans ce trait de caractère, fuyant l'activité collective qui socialise pour se pencher sur un passe-temps dénué de chahut et plus onirique.



Omko fera son petit sport et sa mère semblera satisfaite de le récupérer épanoui à la fin de la journée.



Omko est fier de lui montrer ses mollets.







C'est tendre, d'une belle justesse, on s'y retrouve et la chute de l'histoire fera rire.



Un album traduit du suédois qui est une belle découverte sur le plan graphique également, on apprécie les jeux de vues et de plans pour obtenir la profondeur.



On ne s'attend finalement pas à traiter du sujet de la réserve avec ce titre-là.
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Frances - Intégrale

De très beaux portraits de personnages, des histoires de vie décrites dans leur complexité, par petites touches sensibles. J'ai notamment suivi avec beaucoup d'intérêt les parcours de Frances et de sa tante Ada, touchée par leur singularité. Joanna Hellgren parvient avec subtilité à nous faire ressentir tout le poids des préjugés, conventions et milieu social d'appartenance, qui écrase les êtres sensibles, en quête de liberté.

Dans un premier temps je n'ai pas tellement adhéré au dessin qui me semblait manquer de consistance, les visages me donnant l'impression de tous se ressembler (au risque de me perdre dans la narration). Puis, en feuilletant le livre de nouveau après la première lecture, je me suis rendue compte qu'il était plutôt expressif, sachant retranscrire les émotions, caractères et ambiances et que le style crayonné donnait une sensation de fragilité cohérente avec le récit.
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Mon frère nocturne

Sur le deuil, le manque de celui qu'on n'a jamais connu, troublant et irritant.
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Frances - Intégrale

Frances ou quelle place pour nous dans le monde.



A l’origine trois bandes dessinées aujourd’hui rassemblées dans un seul volume, Frances est l’histoire d’une petite fille qui tente de trouver sa place parmi les adultes : mère disparue, souvenir d’un père décédé, grand-père amnésique, voisine écrivaine sont son quotidien lorsqu’elle est recueillie par sa tante, la gentille Ada.



Malgré tout, Frances n’est pas le plus perdu de tous ces personnages ; ceux-ci, nombreux, se cherchent et parfois se perdent, parfois trouvent un chemin à emprunter. Ces histoires de vies s’entremêlent ; l’on voyage d’un lieu à un autre, d’une époque à un autre sans souci de chronologie. L’histoire de Frances est un prétexte pour découvrir celles de sa tante Ada, de son père August ou de sa mère Esther à travers une grande chronique familiale. Pas d’aventures extraordinaires, simplement des quotidiens pas toujours très gais de personnes un peu malmenées par la vie et dans lesquelles il est aisé de se retrouver.

Deuil, homosexualité, grossesse, précarité, intolérance. Doutes et changements. Comment trouver sa place lorsque le poids des responsabilités familiales pèse sur nos épaules ? Comment jongler avec ses propres aspirations quand elles divergent de ce que la société attend de nous ?



Le dessin est au crayon, tout en nuances de noir et de gris. Les traits fins de la jeune Suédoise (qui écrit directement en français) dessinent toute une palette d’émotions, de la rancœur à la joie, de l’amour à la tristesse avec beaucoup de douceur. Comme l’histoire, les illustrations transmettent beaucoup de sensibilité sans jamais tomber dans une sensiblerie qui pourrait être un peu niaise.



Un roman graphique à la fois très beau et très subtil sur nos quêtes d’identité qui, même si elles ne sont pas le sujet de grandes épopées, sont menées chaque jour en permanence par chacun d’entre nous.
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Frances, tome 1

Après “Mon frère nocturne”, one-shot également édité aux éditions Cambourakis et nominé au Festival d’Angoulême 2009, “Frances” est le deuxième album de Joanna Hellgren.



Ce premier volet d’une trilogie dont l’action se situe dans une grande ville de Suède, probablement lors de la première moitié du XXème siècle, invite à suivre les pas d’une petite fille recueillie par sa tante à la mort de son père. En suivant cette fillette déracinée, le lecteur découvre progressivement les dessous de cette famille.



C’est donc un drame familial qui va réunir l’intrigante petite Frances et sa tante. Si le changement est surtout rude pour la petite, au fil des pages, elles vont chacune trouver leur place au sein de ce nouvel environnement. En abordant avec finesse l’enfance et la difficulté de prendre sa vie en main en assumant ses choix, l’auteur livre une chronique familiale d’une grande justesse.



Le graphisme peut initialement rebuter et sembler approximatif, mais ce style naïf et dépouillé contribue à baigner le récit dans une sorte de fragilité enfantine, qui permet de faire passer énormément d’émotions. Ce dessin, tout en crayonné, permet en effet de véhiculer les sentiments des personnages avec beaucoup de retenue et d’efficacité. En voguant sur un rythme lent et en s’exprimant en toute simplicité sur des sujets sensibles à l’aide d’une narration qui repose grandement sur des regards, des gestes, des incompréhensions et des non-dits, la jeune auteure suédoise livre un récit d’une grande sensibilité.



Une lecture très fortement conseillée !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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Le châle de grand-mère

Une première de couverture intrigante où les jeunes lecteurs pourraient se demander si les deux enfants en présence se trouvent sous une table présumée pour jouer ou pour écouter les conversations des adultes.



Nous ne croyons pas que la petite blonde est statique pour chercher l'inspiration et la deuxième hypothèse semble pus plausible.







Quels coquins, ces enfants!



Comme le savent les grands, lorsque l'on ne les entend pas dans une maison, c'est précisément là qu'il faut se demander ce qu'ils fabriquent en secret.



Pour leur décharge, les deux cousines ne trouvaient pas de place idéale pour réfléchir en paix, vous le lirez.



Les auteures développent une effervescence où toute la famille sera invitée pour fêter l'arrivée de la grand-mère et chacun vit sa petite vie concentrée dans un petit appartement.



Le concentré, c'est le goût, en plus fort.



Les deux cousines apprécieraient probablement de diluer tout ce petit tourbillon autour de la mamie calée dans son fauteuil.







L'histoire fonctionne avec nos sens, divers événements se passent, le temps passe tandis que les cousines changent de cachette pour se retrouver tranquillement.



Les petites ne tarderont pas à construire leur place idéale derrière le fauteuil de mémé, recouverte du châle pendant des épaules de mamie pour parfaire la tente. Sans nul doute que c'est quand même là que les adultes ne viendront ennuyer personne.







L'album n'est pas forcément ce qu'il parait et l'on comprend au final que l'histoire va permettre de soulager les coeurs avec le départ de la grand-mère, comme un dernier cliché où toute la famille était entièrement réunie avec la mamie.



On le comprendra, l'album permettre d'aborder plusieurs sujet autour de la mamie et son grand-âge, de leur quotidien de petites filles vives, de son quotidien de mamie et de tout ce qui va autour.



La sagesse de la mamie est tendre comme la mie de pain.



Une histoire suédoise qui aborde la nostalgie d'un proche qui nous manque.
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Frances - Intégrale

Beaux crayonnés d'atmosphères (même si formes étranges). J'ai du m'embrouiller un peu dans les flash backs et imaginaires; ça ne m'a pas trop aidé à comprendre l'histoire et du coup le message de l'auteur?..
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Frances - Intégrale

j'ai la chance de trouver les trois tomes de cette histoire ensemble à la bibliothèque. comment dire? les personnages sont très attachants, le dessin aussi malgré des difficultés régulièrement à distinguer certains personnages les uns des autres. un récit en BD (noir et blanc, ou plutôt gris estompé) assez silencieux, qui laisse songeuse et ramène ou amène tout simplement à des questions existentielles, si si... ^-^
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Les petites bêtes du terrain de foot

C'est jour de match pour Omko, mais le jeune garçon n'est pas particulièrement passionné par le ballon rond. Le football, c'est pas vraiment son truc. Il y va donc en traînant les pieds (enfin, façon de parler puisque sa maman l'emmène en vélo). En remontant l'une de ses chaussettes pour la énième fois, une petite bête dans l'herbe attire son attention. C'est le déclic pour Omko, qui se met à galoper dans tous les sens...



L'histoire est assez originale et marrante. C'est bien plus intéressant qu'un vrai match de foot ! Les illustrations aussi sont originales : Joanna Hellgren fait des gros traits de peinture. C'est juste dommage que le texte de Tove Pierrou soit parfois moins lisible lorsqu'il est posé sur une illustration foncée. La seule chose qui me laisse perplexe, c'est ce bernard l'hermite en terrarium à la fin...



L'originalité de cet album devrait en réconcilier certains avec le foot (ou les insectes, au choix) !
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Le châle de grand-mère

Un album pour les petits mais aussi et surtout pour les grands !



Un très bel album qui aborde avec délicatesse la question de la mort d'une grand-mère. Le châle de cette grand-mère-là est une tente à penser, un tipi à jouer, une hutte à rêver. Très beau.
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Frances, tome 2

Un trait de crayon épuré qui convient très bien à la thématique de cette histoire touchante.
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Frances, tome 1

Au décès de son père, la petite Frances doit quitter la campagne pour aller vivre chez sa tante Ada. Cette dernière s’occupe déjà du grand-père sénile mais la maison est suffisamment grande pour accueillir convenablement la petite orpheline.



Mais Frances s’ennuie. Elle a quitté sa maison, ses amis et même si elle se sent en confiance avec cette tante qu’elle ne connaît pas, Frances se trouve bien seule. Elle occupe le temps, va frapper chez la voisine d’en face, va à l’école…



Pourtant, l’arrivée de Frances change les habitudes quotidiennes de la maison et chacun trouve ses nouveaux repères…



-



L’album met beaucoup de temps à ses mettre en place. S’il y a peu de personnages et que le lecteur se repère facilement dans cet univers, il y a une passivité et un fatalisme dans le scénario qui teinte le récit et qui ne permet pas de profiter d’une lecture entrainante. Les personnages sont réservés, froids, et seule la personnalité de Frances – curieuse, cherchant le contact et la chaleur de ses proches – va permettre à cette petite cellule familiale recomposée de profiter d’un souffle d’air frais. Globalement, rappelez-vous d’Heidi lorsqu’elle doit quitter la montagne de son grand-père pour descendre habiter à la ville chez cette tante autoritaire… ! Ici, le tableau est un peu moins noir mais une chape de silence pèse sur cet huis-clos où le poids des conventions alourdit l’atmosphère.



Au final, de quoi parle Frances ? D’une enfant qui cherche la vérité à propos de son père et d’une adulte qui court après la vie dont on l’a dépossédée. Frances parle aussi de sentiments et d’espoirs parfois illusoires. En toile de fond, on découvre un lourd secret de famille qui donne un peu de consistance à cette tranche de vie.



Côté graphique, je n’ai pris aucun plaisir à découvrir ces dessins réalisés au crayon de papier. Si la découpe des planches est assez opérante et donne une bonne dynamique au récit, les illustrations sont maladroites et grossières. Le trait difforme vient rogner le plaisir de lecture, il n’invite pas le lecteur à marquer des temps d’arrêt pour contempler les illustrations. Cela manque de justesse et de finesse. L’absence d’esthétisme graphique porte préjudice au récit.



Cet album est le premier tome d’un triptyque. Malgré les griefs que je formule à l’égard de cet album, sa lecture m’a toutefois donné envie de découvrir la suite. Je suis intriguée et satisfaite du dénouement de cet opus qui propose une scène inattendue, offrant ainsi au scénario un rythme que l’on attendait plus.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Frances, tome 3

Le premier volet de cette trilogie édité aux éditions Cambourakis invitait à suivre les pas d’une petite fille déracinée, recueillie par sa tante à la mort de son père, proposant au lecteur de découvrir progressivement les dessous de cette famille au fil des pages. Si le deuxième tome surprenait quelque peu en délaissant le quotidien de la petite Frances pour explorer le passé d’autres protagonistes, le lecteur est maintenant habitué à cette narration faite d’allers-retours dans le temps. C’est une excellente chose, car ce troisième volet se poursuit selon le même procédé, reconstruisant progressivement le puzzle familial qui a conduit Frances là où elle est, en passant constamment d’un personnage à l’autre.



Si à la fin du premier épisode chacun semblait avoir enfin trouvé sa place et son équilibre au sein de ce nouvel environnement familial, les deux épisodes suivants remontent lentement le fil du temps et se concentrent sur d’autres personnages, permettant ainsi au lecteur de comprendre comment la petite Frances s’est retrouvée orpheline chez sa tante. Si le tome précédent avait déjà fait le point sur la mère de Frances, invitant à suivre sa jeunesse, de sa rencontre avec August jusqu’au moment où son chemin quitta celui de sa fille, ce dernier volet permet surtout de mieux comprendre le père de Frances, ainsi que sa sœur Ada. En explorant le passé des personnages et en développant leur psychologie au fil des tomes, Joanna Hellgren livre toutes les clés nécessaires à la compréhension et à la reconstitution de cette chronique familiale, tout en octroyant au lecteur sa part d’interprétation. Brillant !



Au niveau du graphisme, le lecteur appréciera surtout le plaisir de retrouver l’ambiance, la sensibilité et l’esthétisme du tome précédent. Ce dessin, tout en crayonné, permet à nouveau de véhiculer les sentiments des personnages avec beaucoup de retenue et d’efficacité. En voguant sur un rythme lent et en s’exprimant en toute simplicité sur des sujets sensibles à l’aide d’une narration qui repose grandement sur des regards, des gestes, des incompréhensions et des non-dits, la jeune auteure suédoise livre un récit d’une grande sensibilité, restituant avec brio la fragilité et les émotions de ses personnages. Si l’empathie envers les personnages est grande, l’auteure parvient également à plonger ce triptyque dans une ambiance particulière, voire envoûtante, située en dehors du temps, quelque part en Suède, probablement lors de la première moitié du XXème siècle. Magnifique !



Incontournable !
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Frances, tome 3

Pour clôturer cette série, l’auteure offre la résolution des enquêtes à la petite Frances. Construit comme le deuxième tome, on fait des sauts dans la vie des parents de la jeune héroïne et on retourne dans son présent avec Ada que l’on découvre également à d’autres moment de sa vie. On ferme le livre sans se poser plus de questions, tout à été dit. Bilan plutôt positif pour cette trilogie qui se lit très bien.
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Frances, tome 2

On en apprend un peu plus sur le passé de la petite Frances, sur la vie de ses parents. Ce deuxième tome nous perd parfois dans un scénario qui s’étale sur plusieurs années, mieux, autour de plusieurs personnages. Il n’y a pas de démarcation graphique pour se situer facilement, mais on finit toujours par comprendre ou l’on en est. À suivre !
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Frances, tome 1

Les dessins sont des croquis. Au début j’ai trouvé difficile de rentrer dans l’histoire. Les dessins m’en empêchaient par leur manque de lisibilité parfois. Pourtant je les trouvait bien plus touchant tel quel que s’ils avaient été retravaillé pour être plus net sans trop savoir pourquoi. Et puis au final, on comprend que ces croquis sont ceux qui montrent le mieux les personnages principaux tels qu’ils sont. Ada n’est pas belle, pas comme sa sœur. Elle parle peu, elle est secrète. Comme un croquis c’est une femme que l’on n’aime pas tout de suite, on apprend à la découvrir peu à peu, pour l’aimer davantage. Frances doit réinventer sa vie après la mort de son père, elle esquisse alors son nouvel environnement.
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Mon frère nocturne

Très sombre
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Échos

Trois thèmes, trois duos qui se répondent, six petites histoires poétiques et agréables à lire, leur point commun : le crayon. Chacune se démarque par son style, chacune a sa manière d'utiliser le crayon de papier ou le crayon de couleur.

Ce recueil est surtout un bon prétexte pour découvrir et redécouvrir des dessinatrices de talents. On connaît déjà Joanna HELLGREN pour son sublime « Frances » et Noémie MARSILY pour « Fétiche ». c'est aussi l'occasion de découvrir de nouveaux auteurs comme le dessin très humble et poétique de Julie Delporte qui m'a beaucoup touché.
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Le châle de grand-mère

Le Châle de grand-mère séduit par la justesse de ton et d'approche des sentiments. Il évoque les amitiés enfantines, la cellule familiale, le regard bienveillant des personnes âgées et aussi la mort.
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Frances, tome 1

[...]



Avant d’être accueillie par K.BD, Frances était élevée par son père. Suite au décès de ce dernier elle doit subitement quitter sa campagne natale pour aller vivre avec sa tante Ada. Dans cet appartement situé au cœur de la lointaine ville, coincée entre un grand-père sénile et plutôt antipathique, une voisine intrigante aux cheveux noirs courts et plaqués et les visites d’une autre tante dont les jumelles s’avèrent être de véritables pestes, la jeune orpheline s’ennuie. En perte de repères, Frances découvre un univers familial peu accueillant et étouffant, souffre de la distance avec sa poignée d’amis qui tardent tant à répondre à ses lettres et tente de fuir ses cauchemars récurrents où son père revient encore et encore. Pourtant, l’arrivée de Frances change les habitudes quotidiennes de la maison et installe petit à petit un nouvel équilibre.



(...)



Lire l'article complet sur le blog collectif kbd :
Lien : http://blogkbd.wordpress.com..
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