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Critiques de John Cleese (8)
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Enfin, bref...

« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, quelque chose de complètement différent : je vais vous parler de l’autobiographie de John Cleese, gentiment piochée dans ma pilalire* par Elanoraev.



-J’espère qu’elle a bien choisi !



-Nous verrons. Or donc, Enfin bref… relate la vie et l’œuvre de John Cleese, l’un des membres des Monty Pythons, une formation d’hilarants et talentueux d’humoristo-artistes royaume-uniens.



-J’vois pas en quoi c’est intéressant…



-Si tu n’as pas aimé Sacré Graal ou La vie de Brian, non, ça ne l’est pas. Et la fan que je suis s’est délectée de ses anecdotes et du caractère aperçu en filigrane.



L’une des premières choses qui m’a séduite lors de cette lecture fut le caractère joyeux et enthousiaste du monsieur. John Cleese admire, tout, sans cesse : « délicieux », « merveilleux » reviennent souvent, avec peut-être parfois une pincée d’emphase pour ne pas se prendre au sérieux. Il porte un regard à la fois doux et amusé sur le monde qui l’entoure. J’ai conservé la tenace impression de lire une personne pleine de tendresse pour la vie, une vie qui pourtant s’est abstenue de le ménager.



-Ah bon ? Quand ça ? J’ai rien vu… ou presque…



-Tu n’as rien vu parce qu’il ne s’appesantit pas sur le sujet, mais il laisse entendre que le couple de ses parents a durablement affecté ses relations avec autrui. Il ne détaille pas de façon approfondie sa vie sentimentale et émotionnelle, il conserve tout le long du texte beaucoup de pudeur sur le sujet, cependant, il rencontre plusieurs pénibles difficultés.



-C’est dommage, j’aurais voulu en savoir plus, moi…



-Moi je trouve que c’est très bien comme ça. Il partage, mais pas tout, et son texte se montre drôle et chaleureux. J’ai vraiment éprouvé l’impression d’approcher la personne.



-Moui, bon, Déidamie, il écrit ce qu’il veut, aussi. S’il veut se faire passer pour le plus brave gars du monde, il suffit juste de tordre la réalité ! Si ça se trouve, il n’est pas du tout comme il prétend.



-Certes, et je ne prétends pas le connaître véritablement. Je me contente donc de dire que son texte est rempli de chaleur et de douceur. Ainsi que d’humour, bien sûr !



L’humour de John Cleese se cuisine avec de grosses quantités d’autodérision et d'exagération, fortement remuées à la pince-sans-rire. Peu de sarcasmes ou de moquerie. Le texte demeure complètement dénué d’agressivité. Même ses piques contre ses collègues sont empreintes d’affection. Et je reprends encore l’idée de la tendresse que j’évoquais plus haut : jamais il ne parle des gens qu’il aime de façon négative, même quand ils agissent violemment, et les déclarations de haine restent fort rares.



-Bla bla bla… j’m’ennuie ! C’est quand qu’ils font La vie de Brian ?



-Alors, si tu cherches un exposé détaillé sur le travail des Monthy Pythons, tu vas être déçue. Très peu de pages leur sont consacrées.



-Arh, non ! Mais pourquoi ? John, pourquoi ?!



-Je ne sais pas. Peut-être par pudeur, par délicatesse envers ses camarades. Peut-être parce que ça ne l’intéressait pas de détailler, qu’il préférait écrire tout ce qu’il a réalisé d’autre. Je n’en sais rien. Mais après tout, en lisant, cela ne m’a pas déçue. Il en dit bien assez pour que je me figure à quoi ressemblait l’ambiance.



-Bon, au moins, on a des détails croustillants sur sa vie privée !



-Non. Même pas. Là encore, John Cleese garde le lecteur à distance. Je n’en ai tiré aucune forme de désagrément ni de déception parce que j’ai éprouvé le sentiment que le texte en révélait assez sur la personne qu’il est : un gentil angoissé, désireux de faire de son mieux, quoi qu’il entreprenne.



-Y a eu un moment où j’étais un peu paumée dans le temps…



-Oui, c’est vrai, parfois j’avais du mal à me représenter en quelle année on était. En revanche, j’ai adoré ses réflexions sur l’humour, ce qu’il est et comment pratiquer cet art subtil.



En dernier lieu, je tiens à saluer le travail de l’édition et de la traduction. Je ne me souviens que d’une seule coquille et les explications de texte m’ont été bien utiles.



Enfin bref, merci à Elanoraev de m’avoir pioché ce livre. J’ai passé un bon voyage dans la tête de Jean Fromale**.



Mr Cleese, I’m sorry. I’ll read that again. »



*Oui, j’ai décidé que ça deviendrait un vrai nom commun, plus joli que PAL.



**Traduction perso du vrai-faux nom de M. Cleese.
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Enfin, bref...

C'est avec émotion que je fais l'acquisition de cet ouvrage.

John Cleese, était l'homme le plus drôle du monde tout simplement.

Le grand escogriffe du ministère de la démarche dingue dingue dans le "Monty Python flying circus", c'était lui.

Le sorcier écossais qui mettait en garde les chevaliers de la table ronde contre le lapin tueur dans "Sacré Graal", c'était "Long John".

Basil Fawlty, l'hôtelier survolté de la mini-série "Fawlty Towers" (platement traduit en français par "l'hôtel en folie"), toujours lui.

L'avocat dépassé par les événements d"Un poisson nommé Wanda", encore John Cleese.

L'ex-flic gérant d'un zoo pour une multinationale dans "Créatures féroces"...et oui, encore ce cher John Cleese.

Plus récemment, Mister Cleese (même pas anobli, quelle disgrâce pour la couronne), s'était fait plus discret, ne faisant que des apparitions dans différents films, et prêtant sa voix au roi grenouille dans la VO de Shrek.

John Marwood Cleese, vous resterez pour toujours un modèle pour la comédie britannique, et un passionnant sujet d'études pour les cas d'hystérie masculine.

Merci pour tout Long John..!

Euh, renseignements pris, il semblerait que John Cleese soit toujours de ce monde à l'heure où j'écris ces lignes.

Voilà qui est un peu embarrassant...

Mettons que je n'ai rien dit, oubliez tout ce qui précède, c'est juste un gros prétentieux d'angliche de toutes façons.
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Superman: True Brit

Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre, qui s'avère un peu plus savoureuse si le lecteur est familier de Superman. Il comprend 93 pages de bandes dessinées. Il est paru d'un seul tenant, sans prépublication, initialement publié en 2004, écrit par Kim (Howard) Johnson avec la participation de John Cleese, dessiné par John Byrne, encré par Mark Farmer, avec une mise en couleurs réalisée par Alex Bleyaert. Cette histoire présente une origine différente de Superman, une variation alternative, un Elseworld. Ce récit a été réédité dans Elseworlds: Superman Vol. 2.



Alors que la planète Krypton est condamnée, Jor-El envoie son fils vers la planète Terre à bord d'un minuscule vaisseau spatiale, en sachant que là-bas il aura des capacités extraordinaires. Après un long voyage spatial de plusieurs années-lumière, le vaisseau atterrit à Weston-super-Mare, au Royaume Uni, comme l'avait prévu Jor-El. L'atterrissage est vu par le couple Martha et Jonathan Clark qui était sur la route en voiture. Ils recueillent le bébé, déjà assez fort pour tordre le pouce de Jonathan, et ce dernier met sur la tête un casque contenant les explications de Jor-El. Martha emmène Colin dans ses bras, et Jonathan installe le petit vaisseau sur le toit de sa mini Cooper pour rentre à la ferme. Le bébé grandit bien, et les époux Clark notent des manifestations de ses pouvoirs, tel que le vol autonome. Après un autre essai désastreux de sa vision calorifique pour réchauffer le thé, Jonathan interdit à son fils de ne plus jamais se servir de ses pouvoirs. En allant cherche dans le vaisseau dans la grange, il parvient à lui fabriquer des lunettes de vue qui bloque sa vision calorifique.



Colin Clark ayant compris ce qu'il y a dans la grange, Jonathan lui met le casque sur la tête, et Colin apprend l'existence de Krypton, son histoire, voit ses parents en image et comprend d'où il vient. Alors qu'il va au collège puis au lycée, il respecte la consigne de son père : ne pas utiliser ses pouvoirs, même s'il pourrait ainsi gagner au sport, voir à travers les vêtements des filles, éviter de se faire piquer par une araignée en laboratoire de science. Un peu plus tard, il ne peut pas résister à l'envie de voler, et cause ainsi la mort du cheval de son père. Puis il déracine les souches du terrain, mais les envoie directement sur la maison des Clark. C'est encore plus traumatisant pour les vaches quand il se met à les traire. Finalement, il est temps pour lui de partir à l'université pour faire des études de journalisme. Il y rencontre Louisa Layne-Ferret, une autre étudiante en journalisme.



La couverture annonce fièrement que l'histoire a été coécrite par John Cleese, l'un des Monthy Python, une caution télévisuelle et cinématographique dont sont toujours friands les éditeurs de comics. La page des crédits rétablit que l'histoire a été écrite par Johnson, avec un peu d'aide de Cleese, certainement quelques gags ou quelques idées de railleries à l'encontre de la culture et de la société britannique. Dans les faits, le scénariste raconte une vraie histoire, une alternative à l'origine bien connue de Superman. Le lecteur retrouve donc l'adoption de fait par des parents bien tranquilles, l'apparition des superpouvoirs et les problèmes qui les accompagnent, le costume de superhéros, la rencontre avec les seconds rôles habituels Lois, Olsen et Whyte. L'auteur incorpore d'autres éléments de la mythologie de Superman, dont certains constituent une belle surprise, et d'autres des variations comiques comme celles sur la Forteresse de Solitude ou sur Brainiac. Il introduit des variations significatives, en cohérence avec le milieu dans lequel Clark a atterri. Il ne s'appelle plus Clark Kent, mais Colin Clark. Son costume de superhéros porte le blason du drapeau du Royaume Uni. Johnson se montre facétieux avec la raison pour laquelle il ne doit pas utiliser ses pouvoirs (ses parents sont trop pantouflards et ont peur du qu'en-dira-t-on). Il se montre imaginatif avec la raison pour laquelle Colin porte des lunettes. Il introduit une version inattendue de Lois Lane et une autre surprenante de Perry White.



Pour mettre en images cette version so british de Superman, les responsables éditoriaux ont fait appel à un artiste né en Angleterre et ayant relancé Superman de zéro en 1986. John Byrne a soigné ses planches que ce soit pour la régularité de la présence des décors dans les arrière-plans ou pour l'apparence des personnages. Le scénario ne joue pas la carte du tourisme, mais l'artiste donne de la consistance aux décors qu'il s'agisse de la cuisine de Clark (avec casseroles et appareils électroménagers), de leur salon avec le fauteuil de Jonathan, les prises électriques, les rideaux, la commode et son pot de fleurs, leur salle à manger avec sa table et ses chaises, les produits de jardinage dans l'appentis, le pub où se retrouvent les étudiants avec son jeu de fléchettes, la salle de rédaction du Daily Smear, un restaurant haut de gamme où déjeunent Colin et Louisa, Buckingham Palace, et même la Tour Eiffel.



Bien sûr, John Byrne donne une carrure impressionnante à Colin Clark, et Louisa Layne-Ferret ressemble comme 2 gouttes d'eau à Lois Lane. Il dessine les parents Clark de manière plus comique, rondouillards, avec une bouille irrésistible, ayant dépassé les 60 ans. En fonction de la nature de la scène, il réalise des expressions de visage réalistes ou un peu appuyées, ou bien il force le trait pour un effet comique, à commencer par Colin Clark qui est souvent empoté et maladroit, ou Peregrine Whyte-Badger qui se conduit souvent de manière colérique, comme un petit tyran avec sa rédaction. Mark Badger (l'encreur attitré d'un autre dessinateur britannique Alan Davis) réalise un travail minutieux, très respectueux des traits de Byrne, que ce soit pour les traits de contour un peu gras et arrondis, pour les traits de texture un peu plus secs et cassants, ou pour les détails architecturaux des façades. Alex Bleyaert réalise la mise en couleurs à l'infographie. Il trouve le bon équilibre entre nourrir les dessins avec des dégradés et des effets spéciaux de texture, et conserver une bonne lisibilité aux dessins, sans écraser les traits encrés.



Le nom de John Cleese ayant été mis en avant par les éditeurs, l'horizon d'attente du lecteur comprend la promesse d'une bonne tranche de rigolade. Le défi pour les auteurs est complexe car le genre superhéros exige une forte de dose de suspension d'incrédulité consentie, sans laquelle ce genre est déjà une vaste blague. Il peut s'avérer complexe de développer une fibre humoristique dans un genre dont les conventions prêtes déjà à sourire. Kim Johnson met à l'œuvre plusieurs registres humoristiques. Il s'amuse bien avec le comportement à la fois conservateur et timoré des parents Clark, les conduisant à inciter Colin à cacher ses capacités extraordinaires par peur de ce qu'en diront les voisins, avec le comportement de Colin dont la naïveté est un peu appuyée, ou encore avec la politique éditoriale de Peregrine Whyte-Badger, très presse à scandale, au diable la vérité. La direction d'acteurs de John Byrne permet de voir clairement les intentions comiques de Johnson, de façon parfois trop appuyée. Johnson intègre donc plusieurs éléments socioculturels britanniques qu'il parodie, exagère ou dont il se moque : les dentistes brutaux, les batailles à coup de poisson, la coiffure en toupet (celle de Colin), les valeurs de la presse à scandale, les trains qui arrivent en retard, l'élitisme des programmes de la BBC, les Rutles… Il insère également quelques clins d'œil malicieux, que ce soit à la propension de Superman de sauver les chats coincés dans un arbre, ou les douze travaux d'Hercule.



La critique la plus acerbe qu'effectue l'auteur est la charge contre la presse à scandale. À l'université, Colin Clark apprend les techniques pour devenir un vrai journaliste, c’est-à-dire un professionnel qui arrive à gagner sa vie, un journaliste pour la presse à scandale. Il lui faut comprendre que les faits n'ont aucune importance et qu'il faut savoir présenter ou imaginer les faits de manière la plus sensationnaliste possible, voire franchement inventer si ça peut faire vendre du papier, sans oublier la demoiselle en page 3. C'est ainsi qu'il se retrouve lui-même en première page du Daily Smear, pris en photo par Olsen, tenant dans ses bras l'actrice Kate Thompson (une contraction de Kate Blanchett et Ema Thompson) dont la serviette vient de tomber, dans sa salle de bain. L'écart entre les idéaux de Colin Clark et la réalité de ce type de journalisme génère de des situations comiques.



Passé le constat de la participation très relative de John Cleese dans ce projet, le lecteur découvre une nouvelle origine de Superman, reprenant les éléments structurants de sa mythologie, dans une version déplacée en Angleterre, et mâtinée d'humour. Au premier degré, cette histoire est racontée par des créateurs très professionnels, que ce soit pour l'intrigue, pour les éléments superhéros ou pour les dessins. Au deuxième degré, le lecteur note la charge contre les tabloïds, et se rend compte que la fibre comique fonctionne de manière épisodique, selon son état d'esprit, et selon les formes d'humour mises en jeu.
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Comment être un nevrose heureux

A l'inverse de l'immense majorité des livres de psychologie qui étudient un "problème" ou une question, Comment être un névrosé heureux étudie les facteurs qui signent une bonne santé psychologique.

S'appuyant sur une étude de longue durée d'une cohorte recrutée dans une université américaine, l'auteur analyse ce qui différencie les gens "en bonne santé" des autres.

Les résultats sont passionnants. Pour n'en citer qu'un : ils ont plus recours aux psy, parce qu'ils savent reconnaitre une situation qui les dépasse et nécessite qu'ils se fassent aider.

Rafraichissant
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La famille, comment s'en dépêtrer

Famille, je vous hais... pourrait dire John Cleese. A travers le livre, avec le professeur Robin Skynner (son thérapeute, si je me souviens bien), John Cleese passe en revue tout ce qui fait que nous sommes conditionnés par notre famille, notre passé. Et ils envisagent tout ce que l'on peut faire pour (essayer de) s'en débarrasser.

John Cleese a très mal vécu son appartenance à une middle-class bourgeoise anglaise. Celle que l'on voit dans Fawlty Towers. Il reconnaît que cette série l'a littéralement achevé psychiquement. Il y critiquait directement ce qu'il était au fond de lui. La situation est des plus difficiles à vivre, non?

Au final, on a des dialogues très vifs, humoristiques et des situations dans lesquelles nous pouvons nous reconnaître, tout en n'étant pas John Cleese. Le recours aux dialogues, avec des dessins hilarants, ne donne pas du tout l'impression d'un livre docte, et c'est pour cela que nous y sommes réceptifs.

La vulgarisation scientifique est un art délicat. Et l'essai est parfaitement réussi. On ressort de ce livre gonflé à bloc, avec une pêche d'enfer. Avec l'idée que la vie est magnifique, tant qu'il existe des gens comme John Cleese et Robin Skynner.
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Comment être un nevrose heureux

John Cleese, c'est ce type hilarant, absolument génial, 100% british, moustache et fixe-chaussettes... On ne peut pas repenser à ses films sans être secoués de spasmes. Un Poisson nommé Wanda, le Monty Python's Holy Grail, etc.



And now for something completely different, pour les fans...



Au cours du tournage de Fawlty Towers, cette série où il incarne la boss d'un hôtel/pension de familles, il reconnaît avoir très mal vécu la situation. Il était occupé à se moquer des fondements même de son éducation. Le personnage féminin de la série était autoritaire, sans concession, dépourvu d'humour. Traits que Cleese attribuait à sa mère. Et ce fut le clash, la dépression, le puits sans fond.



Et la psychanalyse.



Comment être un névrosé heureux, c'est un dialogue entre John Cleese et Robin Skynner, son psy. C'est drôle, enjoué, mais cela va au coeur des choses. Névrosé, certes, mais avoir envie de s'en sortir. C'est un point intéressant du livre, on ne liste pas les problèmes, mais on envisage les solutions. Comment faire? Y a-t-il des traits communs aux personnes qui vont bien, qui sont heureuses?



Car des familles saines... car cela existe. Des familles et des individus qui fonctionnent bien. Qui ont cette vista dans l'existence, qui savent voir le positif, savent penser à des choses plus grandes qu'elles-mêmes. L'humanitaire, la Foi... eh oui, le bonheur est à ce prix. Car la vie, c'est une auberge espagnole. On y mange ce que l'on y apporte.



A lire et à relire régulièrement.
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La famille, comment en réchapper?

Chaque fois que je repense à ce livre, ça me déprime complètement. Comment en réchapper? On ne peut pas faire grand chose, mais ce n'est pas grave, les schémas ne sont pas nécessairement mauvais... Heu moi, je préfère mourir que de répéter mon schéma familial et ce n'est pas une façon de parler.



La femme qui me l'avait conseillé m'avait dit que ce dialogue était drôle. Je n'ai rien trouvé d'amusant, mais je me souviens que c'est un point de vue très réac.



Ca a le mérite de vulgariser, de décrire des théories psychanalytiques et d'en offrir un panorama. Moi je les trouve souvent très tirées par les cheveux mais bon...

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Enfin, bref...

En plus d'être une lecture obligatoire pour quiconque tripe sur l'humour anglais, Enfin, bref... est un livre hilarant.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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