Tant de facettes de l'univers ferroviaire sur lesquelles nous pourrions nous arrêter: l'angoisse du voyage, l'absence, le désir de fuite, le sentiment d'abandon et encore tant d'autres considérations philosophiques, mais je comprendre, monsieur Miet, que ces détails émouvants de la vie de gare ne vous intéresse pas particulièrement.
Nous les journalistes, les fossoyeurs et les vers, sommes les seuls à tirer profit des morts.