AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Kathryn Taylor (33)


En voyant soudain Brenda ouvrir les yeux, Zoe se tut et retint instinctivement son souffle.
- Maman ?
Celle-ci la fixa un long moment, le regard vide, puis fronça les sourcils.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-elle en dégageant brusquement sa main.
Zoe aurait pu lui expliquer qu'elle était sa fille , mais elle savait que c'était peine perdue.
Commenter  J’apprécie          100
P91
Ils s'appellent comment, ces gens ?
Camden. pourquoi ? Ça vous dit quelque chose ? (...)
Non, sécria-T. Il, tout en luttant contre la colère désespérée qui menaçait de l'emporter. Je pensais que... Mais non, rien !
Commenter  J’apprécie          30
P70
IVY je te présente BEN, dont je t'ai parlé . l'Hôpital l'a laissé sortir aujourd'hui et il va habiter provisoirement chez moi. Ben je te présente mon amie Ivy Carter Andrews.
Commenter  J’apprécie          30
Je planais littéralement. Il était urgent de mettre un terme à cet état, mais j’en étais incapable. Pour commencer, il fallait que mon cœur, qui battait à un rythme alarmant, retrouve son calme. Parce que, quelques secondes plus tôt, j’avais manqué me rompre le cou en tombant dans l’escalier.

Il aurait également été bon d’inspirer et d’expirer profondément. Mais ce n’était pas possible. Je ne savais même plus comment remplir mes poumons d’oxygène. En fait, je ne pouvais plus faire qu’une chose : fixer l’homme qui me considérait, sourcils froncés.

Le soleil couchant, entrant par la fenêtre, donnait à sa chevelure blond foncé des reflets dorés, en parfait accord avec ses yeux d’une teinte peu commune, ambrée et chaude. Quant à son visage… il était comme sculpté : pommettes hautes, nez droit, lèvres parfaitement ourlées. À l’image de ces statues d’homme en marbre si nombreuses ici, à Rome. Bon, d’accord, ses cheveux, qui lui retombaient sur le front, étaient peut-être un peu trop longs. Mais quand même… Dans la réalité, personne n’avait l’air aussi diablement séduisant. L’espace d’un instant, j’eus même peur d’être dans le coma après avoir bel et bien chuté.
Commenter  J’apprécie          30
J’étais terriblement excitée et mes mains tremblaient. Pour que personne ne le remarque, ça faisait un moment que je les tenais croisées sur mes genoux ou que je jouais distraitement avec la fermeture de ma ceinture de sécurité. Je n’arrêtais pas de la détacher et de la rattacher. Mais on allait bientôt arriver. Je n’avais plus longtemps à attendre. Enfin…

— Miss, veuillez garder votre ceinture fermée. Nous amorçons l’atterrissage.

L’hôtesse surgie de nulle part – une grande blonde, bronzée et incroyablement mince – m’indiqua le voyant lumineux allumé sur la console au-dessus de moi. Je hochai précipitamment la tête et me hâtai d’enclencher les deux pièces en métal. Elle ignora mes excuses mais adressa un bref sourire à mon voisin. Assis près du hublot, il avait levé les yeux de son journal et lui souriait, rayonnant – comme chaque fois qu’elle passait. Puis elle s’éloigna pour poursuivre son inspection.

L’homme la suivit du regard. Remarquant que je l’observais, il fronça les sourcils d’un air de reproche et me fixa avec agressivité, comme si c’était un délit de contrarier l’hôtesse. Ensuite, il se pencha de nouveau sur son journal. C’était sans doute la première fois qu’il m’accordait de l’attention depuis que nous avions décollé de Chicago.

De toute façon, je ne cherchais pas à lui plaire. C’était juste un peu frustrant, parce que même si je l’avais trouvé séduisant, je n’aurais eu aucune chance comparée à la grande blonde : j’étais tout son contraire – petite et pâle. D’accord, j’étais blonde moi aussi, mais un blond tirant sur le roux. Très nettement. C’était le seul détail marquant chez moi, mais comme cette rousseur me valait de rougir au soleil comme une tomate sans jamais bronzer, c’était une particularité dont je me serais bien passée.
Commenter  J’apprécie          30
Je ne suis pas un chien à qui vous pouvez ordonner de se coucher quelque part et d’attendre sagement votre retour. Ça ne fonctionne pas comme ça.
Commenter  J’apprécie          30
P50
Les Camden ne sont pas tes ennemis, Ben, ils sont ta famille. Si j'étais toi, je saisirais la chance de mieux les connaître au lieu de m'accrocher à je ne sais quelle idée fixe !
Commenter  J’apprécie          20
p177
Je suis Benedict Sterling, dit-il dans un souffle.
Je suis venu de New York par ce que j’ai un compte a régler avec la famille Camden.
Commenter  J’apprécie          20
p111
Kate commençait à s’inquiéter. Elle était habituée aux réprimandes et aux propos acerbes de la vieille dame, mais elle n'avait jamais connu la grand-mère d'Ivy aussi troublée qu'en cet instant.
Commenter  J’apprécie          20
La poésie exige que l'on s'y immerge, pour la comprendre et s'en inspirer. J'ai donc conseillé à Chris de souligner des vers qu'il aimait, qui suscitaient une émotion en lui, et de coucher ses pensées par écrit, l'idée étant qu'il laisse libre court à sa créativité. (p 144, 145)
Commenter  J’apprécie          10
Il faut saisir le bonheur quand il est à portée de main.
Commenter  J’apprécie          10
Brenda se recouche, les yeux rivés au plafond, à nouveau prisonnière d’un monde dont rien ni personne ne pouvait plus la délivrer.
Commenter  J’apprécie          10
Repose-toi bien, avait dit Rose. Zoe poussa un profond soupir. "Au contraire, le moment est venu pour moi d'affronter les fantômes du passé", se dit-elle en regagnant la maison d'un pas décidé.
Commenter  J’apprécie          10
P298
Celui là, c'était BEN. Durant toutes ces années, sa famille avait misé sur le mauvais numéro.
Commenter  J’apprécie          10
p169
- Ressaisis toi Olivia siffla-t-il. Si ce n'st pas pour moi, fais le envers notre fils.
- Ton fils ? s'écria-t-elle avec un regard méprisant. Tu voudrais bien qu'il le soit. Mais même ça, tu n'en as pas été capable! lui cracha-t-elle littéralement au visage.
Commenter  J’apprécie          10
Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive. Il suffit qu’un mannequin s’accroche à mon bras pendant un quelconque événement, et les gros titres annoncent mes fiançailles imminentes. C’est pour cela que j’évite autant que possible ce genre de chose.
Commenter  J’apprécie          10
Ces journaleux sont des charognards, Grace. Ils tournent autour de toi. C’est agaçant, mais on peut encore les supporter tant qu’ils ne sont pas trop nombreux. Par contre, dès qu’ils reniflent le sang, ils se ruent sur toi en meute et ils ne te lâchent plus.
Commenter  J’apprécie          10
Si quelque chose m’attirait dans l’art, ce n’était pas les textes, mais les tableaux, les sculptures, ce que je pouvais toucher, ce qui était concret.
Commenter  J’apprécie          10
L’homme que j’avais pris pour mon propriétaire était manifestement un escroc qui n’en voulait qu’à mes trois cents livres de caution. L’appartement n’existait pas… mais comment aurais-je pu le savoir ? Sur Internet, il paraissait tellement réel, abordable et proche du centre.
Commenter  J’apprécie          10
Écoute, on n’est pas aveugles. Le boss est vachement beau, et tu n’es pas la première à le regarder avec des yeux brillants. La plupart le dévorent du regard de loin, mais c’est absurde, crois-moi. Quant à celles qui ont collaboré avec lui de plus près et qui étaient particulièrement mordues, elles ont toujours fini par partir. La dernière en date, c’était le mois dernier, une fille du service de presse qui avait beaucoup bossé avec lui sur un projet. Elles quittent toutes la boîte volontairement, toujours avec une bonne raison, parce qu’elles ont trouvé un autre boulot ou qu’elles cherchent de nouveaux défis.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Kathryn Taylor (284)Voir plus

Quiz Voir plus

Jouons avec Clark Gable

D'après le roman Night Bus de Samuel Hopkins Adams, Gable triomphe dans l'un des premières comédies loufoques (screwball comedy) du cinéma. Ce film américain réalisé par Frank Capra en 1934 avec Claudette Colbert s'intitule:

Paris Roubaix
New-York Miami
Los Angeles San Francisco

8 questions
12 lecteurs ont répondu
Thèmes : acteur , hollywood , cinema , adapté au cinéma , adaptation , littérature , culture généraleCréer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..