Citations de Young Kim (36)
"Et le lion s'éprit de l'agneau....
Quel imbécile cet agneau!
Quel fou ce lion..... quel masochiste!"
"_Je suis plus fort que je ne le pensais. Ça fait plaisir de l'apprendre.
_J'aimerais pouvoir en dire autant de moi-même. Navrée.
_Tu n'es qu'une humaine, après tout.
_Merci du compliment !"
Edward: Et le lion s'éprit de l'agneau...
Bella: Quel imbécile, cet agneau!
Edward: Quel fou, ce lion! Quel masochiste!
Edward: Bella, quelque chose me perturbe... Une chose que tu as dite à Jessica... Tu crois sérieusement être plus attachée à moi que moi à toi?
Bella: Ah... oui, j'en suis persuadée.
Edward: Tu as tort.
Bella: Mais... j'ai l'impression que tu essaies de couper les ponts, parfois.
Edward: ça me donne raison! C'est moi qui tiens le plus à toi, parce que si partir était la solution, je serais prêt à souffrir pour t'éviter de souffrir... de mourir.
Bella: Quel âge as-tu?
Edward: 17 ans.
Bella: Et depuis combien de temps?
Edward: ... Un bon moment.
- Ca y est, je suis à peu près décente.
- Encore une fois, tu as tout faux. Tu es scandaleusement indécente. Aucune femme ne devrait être aussi tentante, c'est injuste.
"_Eh bien, on peut toujours essayer. Mais je te préviens d'ores et déjà que je ne suis pas l'ami qu'il te faut.
_Tu te répètes.
_Oui. Parce que tu ne m'écoutes pas. Je continue d'espérer que tu me croiras. Si tu es un tant soit peu intelligente, tu m'éviteras.
_Alors...Tant que je suis idiote, on essaie d'être amis.
_Ca me paraît bien."
Un, Edward était un vampire; deux, une part de lui- dont j’ignorais la puissance-désirait s'abreuver de mon sang; et trois, j’étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
- Elle désire apprendre si nous sortons secrètement ensemble. Et ce que tu ressens pour moi.
- Zut ! Comment pourrais-je qualifier notre relation ?
- Voyons... J'imagine que tu pourris répondre par l'affirmative à sa première question... Si ça ne te dérange pas naturellement. Ce sera plus facile que toute autre explication.
- Ca ne me dérange pas du tout.
- Quant à la deuxième... eh bien, disons que je tâcherai de l'écouter pour en connaître la teneur.
J’ai commencé à te haïr au moment ou tu m’as obligé à te désirer.
"J'étais à peu près certaine de trois choses.
Un, Edward était un vampire : deux, une part de lui - dont j'ignorais la puissance - désirait s'abreuver de mon sang ; et- trois, j'étais follement et irrévocablement amoureuse de lui."
- Qu'y a-t-il à manger ?
- Euh... je ne sais pas. De quoi as-tu envie ?
- T'inquiète ! Je suis capable de m'occuper de moi. Observe un peu comment je chasse.
- Ce n’est pas parce que je résiste au vin que je n’ai pas le droit d’en humer le bouquet.
Tu as une odeur très florale, un mélange de lavande et de... freesia. Très appétissant.
- C’est ça. On me le dit tous les jours !
- On appelle ça la victoire de la raison sur la chair.
Soudain, je reculai. Il se figea. Nous nous contemplâmes prudemment un moment, puis, il se détendit et l’étonnement se dessina sur ses traits.
- Aurais-je mal agi ?
- Non... au contraire. Tu me rends folle.
Il médita cet aveu. Il avait l’air ravi, lorsqu’il reprit la parole.
- Vraiment ?
Un sourire triomphant illumina son visage.
- Tu veux aussi que je t’applaudisse ? persiflai-je.
Il s’esclaffa.
Je savais que je marmonnais dans mon sommeil, bien sûr ; ma mère m'avait suffisamment embêtée avec ça. Mais je n'avais pas songé à m'inquiéter de cette particularité.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts agrippèrent ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalais à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent. Rouvrant mes yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
- Houps !
- Comme tu dis.
J’avais du mal à suivre les méandres de la conversation. Du joyeux sujet de mon imminent décès, nous en étions soudain venus à des déclarations.
- Bella ?
- Oui ?
- Tu n'as rien ?
- Non.
- Distrais-moi, s'il te plaît.
- Pardon ?
Tu verrais le docteur, plaisanta Charlie, apaisé. Heureusement qu'il est heureux en ménage. Les infirmières ont du mal à se concentrer sur leur boulot quand il est dans les parages.