Konami Kanata

J'ai adoré retrouvé Chi, cette petite chatte très attachante.

Dans ce deuxième opus, Chi explore l'appartement de ses maîtres. Il y a plein de petites bêtises à faire avec les crayons, les serviettes ou encore les légumes !!!



Ces petits mangas colorés sont agréables et amusants à lire.

C'est le cinquième tome de Chi, cette saga qui nous présente le quotidien d'une adorable petite chatte qui fait souvent des bêtises !



Après le déménagement, Chi doit s'adapter à son nouvel environnement mais aussi ses voisin•es et son quartier. Elle part donc se promener seule pour découvrir, si ce n'est le Monde, au moins ce qui l'entoure...



Si Chi a grandi depuis le premier tome, cela ne se voit pas encore vraiment puisque son zozotement est toujours le même. Mais après tout, elle reste encore un chaton et c'est aussi ce qui rend le personnage d'autant plus amusant. Elle conserve également sa naïveté et est parfois à côté de la plaque en raison de son manque d'expérience... Ce qui amène à des situations amusantes (comme avec sa mère) !



C'était un vrai plaisir de retrouver Chi et son nouvel environnement, mais aussi un personnage qu'on avait pas vu depuis longtemps. Grâce au déménagement, l'histoire progresse, même si chaque histoire se déroule sur une ou deux pages seulement... C'était drôle, frais et il y a quand même des petits changements par rapport aux premiers tomes !

J'ai aimé ce livre parce que c'est drôle.



La partie que j'ai préférée est le chapitre "Chi explore" parce que Chi marque son territoire dans le nouvel appartement et ça, c'est rigolo. J'ai aussi aimé quand Chi jouait à cache-cache mais pas quand elle était enfermée dans le tiroir parce que c'était triste.



J'aime tous les tomes de Chi que j'ai lu car j'aime les chats.

Toujours sympa de l'a voir grandir. On continue à suivre ses aventures toujours colorés. J'adore. En lecture française c'est ce qui donne envie de commencer les mangas car on peut s'adapter au format. Un format que je commence à aimer. En attendant la suite de ces aventures, je relis les premiers tomes.

Chi petit chaton perdu pour initier l'enfance au manga et par une autrice en prime j adhère! Il ne se lit pas dans le sens japonais et il est en couleur. Le dessin est simple et épuré, l' histoire est mignonne et expressive. Parfait pour entrer dans l' univers. Ma plus jeune fille aime la série et imiter sa sœur en lisant "sa propre bd".  donner l' envie de parcourir l'objet livre est pour moi l'essentiel! 

Après un manga destiné à un lectorat plutôt masculin entre 15 et 30 ans, j’ai lu trois tomes d’une série de manga (en 12 tomes) toute mignonne, toute kawaï, « Chi, une vie de chat » de Konami Kanata.



Chi, qui ne s’appelle pas encore Chi (signifie en japonais «pipi », ce nom peu classique est l’idée de l’ancien responsable éditorial de l’autrice), est un chaton qui vit avec sa maman et ses frères et sœurs. Un jour, lors d’une balade, Chi, alors qu’elle s’émerveille de tout, perd la trace de sa maman. Après avoir erré longtemps, épuisée, elle se couche sur le sentier d’un parc. Peu après, un petit garçon tombe sur le chemin et voit Chi. La famille, attendrie, recueille le chaton. Commence alors une fabuleuse aventure pour Chi comme pour la famille adoptive qui habite dans un immeuble où les animaux domestiques sont interdits.



Konami Kanata m’a fait entrer dans un monde de douceur et de tendres chamailleries grâce à ses dessins tout doux et la gamme pastel de ses couleurs. Au fil des épisodes, j’ai suivi l’évolution de Chi au sein de sa nouvelle famille, ses angoisses lorsqu’elle se souvient de la douce chaleur des poils de sa mère qu’elle appelle en miaulant doucement.



Peu à peu, Chi se fait l’idée qu’elle ne reverra plus sa maman chat et adopte la famille humaine qui l’a recueillie. Chi découvre son nouveau territoire, fait de multiples expériences qui l’aident à grandir et à devenir autonome.



Chi apprend, parfois dans la douleur, à faire ses besoins dans sa caisse, à affirmer ses goûts en croquettes, à apprécier la chaleur d’un rayon de soleil à travers la fenêtre ou celle dispensée par le petit garçon lorsqu’il dort sur son futon, à jouer à cache-cache dans les chaussons de Papa.



Il y a la rencontre avec le vétérinaire, et les ruses pour mettre Chi dans un panier de transport ; il y a celle avec la première voiture où Chi manque de se perdre une nouvelle fois. Il y a aussi la fameuse rencontre avec le chat-ours, un gros chat noir peu bavard qui lui apprendra à chasser et à user de quelques ruses et tours félins.



Cependant, chaque jour, l’étau se resserre autour de Chi et sa famille d’adoption : la gardienne de l’immeuble veille à ce qu’aucun animal domestique ne vienne troubler la tranquillité des résidents ni circonvenir au règlement intérieur.



Le tome 3 s’achève sur une note d’espoir pour nos héros : le petit garçon, Yohei, au cours d’une promenade au parc, montre à ses parents un panneau annonçant que, non loin de chez eux, il y a des appartements libres dans une résidence acceptant les animaux de compagnie.



« Chi, une vie de chat » est un manga adorable (et une série animée), au cours de la lecture on rit, on est émue, on passe un beau moment en compagnie de ce chaton auquel on s’attache très vite. Je ne sais pas si c’est un choix de l’autrice, dans l’adaptation fançaise le manga est en couleurs et se lit dans le sens de lecture occidentale (de gauche à droite). Il y a des petits bonus en fin de tome : marque-page à construire, mini maquette etc… ce qui ajoute un côté ludique à la lecture.



Ne pas craquer pour l’adorable Chi, c’est avoir un vrai cœur de pierre.



Traduit du japonais par Fédoua Lamodière (éditions Glénat)
Lien : https://chatperlitpopette.wo..

Après un manga destiné à un lectorat plutôt masculin entre 15 et 30 ans, j’ai lu trois tomes d’une série de manga (en 12 tomes) toute mignonne, toute kawaï, « Chi, une vie de chat » de Konami Kanata.



Chi, qui ne s’appelle pas encore Chi (signifie en japonais «pipi », ce nom peu classique est l’idée de l’ancien responsable éditorial de l’autrice), est un chaton qui vit avec sa maman et ses frères et sœurs. Un jour, lors d’une balade, Chi, alors qu’elle s’émerveille de tout, perd la trace de sa maman. Après avoir erré longtemps, épuisée, elle se couche sur le sentier d’un parc. Peu après, un petit garçon tombe sur le chemin et voit Chi. La famille, attendrie, recueille le chaton. Commence alors une fabuleuse aventure pour Chi comme pour la famille adoptive qui habite dans un immeuble où les animaux domestiques sont interdits.



Konami Kanata m’a fait entrer dans un monde de douceur et de tendres chamailleries grâce à ses dessins tout doux et la gamme pastel de ses couleurs. Au fil des épisodes, j’ai suivi l’évolution de Chi au sein de sa nouvelle famille, ses angoisses lorsqu’elle se souvient de la douce chaleur des poils de sa mère qu’elle appelle en miaulant doucement.



Peu à peu, Chi se fait l’idée qu’elle ne reverra plus sa maman chat et adopte la famille humaine qui l’a recueillie. Chi découvre son nouveau territoire, fait de multiples expériences qui l’aident à grandir et à devenir autonome.



Chi apprend, parfois dans la douleur, à faire ses besoins dans sa caisse, à affirmer ses goûts en croquettes, à apprécier la chaleur d’un rayon de soleil à travers la fenêtre ou celle dispensée par le petit garçon lorsqu’il dort sur son futon, à jouer à cache-cache dans les chaussons de Papa.



Il y a la rencontre avec le vétérinaire, et les ruses pour mettre Chi dans un panier de transport ; il y a celle avec la première voiture où Chi manque de se perdre une nouvelle fois. Il y a aussi la fameuse rencontre avec le chat-ours, un gros chat noir peu bavard qui lui apprendra à chasser et à user de quelques ruses et tours félins.



Cependant, chaque jour, l’étau se resserre autour de Chi et sa famille d’adoption : la gardienne de l’immeuble veille à ce qu’aucun animal domestique ne vienne troubler la tranquillité des résidents ni circonvenir au règlement intérieur.



Le tome 3 s’achève sur une note d’espoir pour nos héros : le petit garçon, Yohei, au cours d’une promenade au parc, montre à ses parents un panneau annonçant que, non loin de chez eux, il y a des appartements libres dans une résidence acceptant les animaux de compagnie.



« Chi, une vie de chat » est un manga adorable (et une série animée), au cours de la lecture on rit, on est émue, on passe un beau moment en compagnie de ce chaton auquel on s’attache très vite. Je ne sais pas si c’est un choix de l’autrice, dans l’adaptation fançaise le manga est en couleurs et se lit dans le sens de lecture occidentale (de gauche à droite). Il y a des petits bonus en fin de tome : marque-page à construire, mini maquette etc… ce qui ajoute un côté ludique à la lecture.



Ne pas craquer pour l’adorable Chi, c’est avoir un vrai cœur de pierre.



Traduit du japonais par Fédoua Lamodière (éditions Glénat)
Lien : https://chatperlitpopette.wo..

Après un manga destiné à un lectorat plutôt masculin entre 15 et 30 ans, j’ai lu trois tomes d’une série de manga (en 12 tomes) toute mignonne, toute kawaï, « Chi, une vie de chat » de Konami Kanata.



Chi, qui ne s’appelle pas encore Chi (signifie en japonais «pipi », ce nom peu classique est l’idée de l’ancien responsable éditorial de l’autrice), est un chaton qui vit avec sa maman et ses frères et sœurs. Un jour, lors d’une balade, Chi, alors qu’elle s’émerveille de tout, perd la trace de sa maman. Après avoir erré longtemps, épuisée, elle se couche sur le sentier d’un parc. Peu après, un petit garçon tombe sur le chemin et voit Chi. La famille, attendrie, recueille le chaton. Commence alors une fabuleuse aventure pour Chi comme pour la famille adoptive qui habite dans un immeuble où les animaux domestiques sont interdits.



Konami Kanata m’a fait entrer dans un monde de douceur et de tendres chamailleries grâce à ses dessins tout doux et la gamme pastel de ses couleurs. Au fil des épisodes, j’ai suivi l’évolution de Chi au sein de sa nouvelle famille, ses angoisses lorsqu’elle se souvient de la douce chaleur des poils de sa mère qu’elle appelle en miaulant doucement.



Peu à peu, Chi se fait l’idée qu’elle ne reverra plus sa maman chat et adopte la famille humaine qui l’a recueillie. Chi découvre son nouveau territoire, fait de multiples expériences qui l’aident à grandir et à devenir autonome.



Chi apprend, parfois dans la douleur, à faire ses besoins dans sa caisse, à affirmer ses goûts en croquettes, à apprécier la chaleur d’un rayon de soleil à travers la fenêtre ou celle dispensée par le petit garçon lorsqu’il dort sur son futon, à jouer à cache-cache dans les chaussons de Papa.



Il y a la rencontre avec le vétérinaire, et les ruses pour mettre Chi dans un panier de transport ; il y a celle avec la première voiture où Chi manque de se perdre une nouvelle fois. Il y a aussi la fameuse rencontre avec le chat-ours, un gros chat noir peu bavard qui lui apprendra à chasser et à user de quelques ruses et tours félins.



Cependant, chaque jour, l’étau se resserre autour de Chi et sa famille d’adoption : la gardienne de l’immeuble veille à ce qu’aucun animal domestique ne vienne troubler la tranquillité des résidents ni circonvenir au règlement intérieur.



Le tome 3 s’achève sur une note d’espoir pour nos héros : le petit garçon, Yohei, au cours d’une promenade au parc, montre à ses parents un panneau annonçant que, non loin de chez eux, il y a des appartements libres dans une résidence acceptant les animaux de compagnie.



« Chi, une vie de chat » est un manga adorable (et une série animée), au cours de la lecture on rit, on est émue, on passe un beau moment en compagnie de ce chaton auquel on s’attache très vite. Je ne sais pas si c’est un choix de l’autrice, dans l’adaptation fançaise le manga est en couleurs et se lit dans le sens de lecture occidentale (de gauche à droite). Il y a des petits bonus en fin de tome : marque-page à construire, mini maquette etc… ce qui ajoute un côté ludique à la lecture.



Ne pas craquer pour l’adorable Chi, c’est avoir un vrai cœur de pierre.



Traduit du japonais par Fédoua Lamodière (éditions Glénat)
Lien : https://chatperlitpopette.wo..

Chi est un chaton qui se perd dans la rue et qui ne sait pas retourner chez lui rejoindre sa mère et ses frères et sœurs. Yohei Yamada le répère dans un jardin public. Sa mère et lui le ramènent à la maison pour le soigner pendant qu'ils essaient de lui trouver une famille. Chi doit apprendre à vivre dans l'appartement et à se prendre d'affection pour les Yamada en même temps qu'ils l'intègrent progressivement à leur famille.

Manga très drôle avec des petits sketchs qui rendent la lecture très facile et qui donne envie de continuer à lire.

Si on aime les chats, difficile de ne pas trouver mignon ce premier tome de "Choubi-Choubi"! Nous suivons le quotidien d'un petit chaton vivant avec une vieille dame. Jeux et câlins sont bien sûr au programme. A plusieurs reprises, j'ai retrouvé dans le personnage Choubi-Choubi des attitudes, manies ou jeux de ma propre chatte : se rouler en boule sous des couvertures, être fasciné par les gouttes d'eau tombant du robinet... Une série accessible dès 5-6 ans en raison du texte très restreint et des dessins expressifs au découpage facilement lisible. Reste à voir comment l'autrice va arriver à se renouveler sur plusieurs tomes.

Premier manga que j'ai découvert lors d'un café littéraire que j'anime. C'est l'histoire dune petite chatte prénommée Chi et de sa vie de chat. Toute la série est sympa à lire. Pour les enfants comme pour les adultes. Amoureux des chats, n'hésitez pas !

J'ai découvert la collection Escape ! de Glénat il y a quelques années, et moi qui aime les escape book, je peux dire que cette collection n'est pas décevante.



Dans cette chronique, je vais parler d'une des aventures de Chi disponibles : Perdue dans la ville.



Difficulté : *

Accessibilité : *

Fidélité à l'univers : ***



Pour commencer, on reprend le design spécifique : couverture noire, des rabats avec dans le premier la carte du quartier et le second le tableau des objets à assembler.



NOTE : Pour ceux qui ne connaissent pas l'intérêt de cette collection, je vais essayer de résumer ce tableau au maximum : en gros, les objets qu'on peut récupérer au cours de l'aventure sont représenté dans un tableau-inventaire où les lignes et colonnes, une fois rejointes, donnent un numéro de page où aller si l'on choisit d'utiliser un objet avec un autre. Voilà, j'espère que j'ai bien expliqué...



Donc nous voilà partis dans une aventure divisée en deux parties : il faudra premièrement convaincre Chi d'arrêter de bouder après sa visite chez le vétérinaire (...) en la divertissant. Puis on nous apprendra la disparition de Madame Tricolore, son amie chatte. Il faudra la retrouver.



Globalement, j'ai plutôt bien aimé cette aventure. Bien sûr, la difficulté est moins élevée, donc on n'a pas d'aide spéciale hormis les indices en fin de livre ; il n'y a d'ailleurs pas d'énigmes.



L'histoire se suit bien, le tout est agrémenté de vignettes extraites du manga.



À la fin se trouve comme d'habitude la page des bonus, on adore recommencer l'aventure lorsqu'on n'a pas toutes les récompenses...



En conclusion : un livre simple - plus qu'à l'ordinaire - idéal pour commencer la collection que je trouve géniale. Pour ceux qui préfèrent un peu plus de difficulté, je les encourage à regarder mes autres chroniques.

Chadorablement drôle, le duo du petit chaton Taï et de la vieille chatte Mamie Sue nous déroule ses tendres chaventures.

Les dessins sont expressifs, les Miaou s’humanisent pour laisser place à de doux dialogues. Par l’autrice de la célèbre Chi, une vie de chat.

C'est un manga à l'européen, il se lit à l'endroit et les dessins sont en couleur. Les dessins sont trop mignons. L'histoire aussi est trop mignonne, Chi pense qu'il est humain lol, c'est le chat d'à côté qui lui dit qu'il est un chat. J'ai passé un très bon moment de lecture. Tellement c'est gentillet.

Les très jeunes enfants peuvent le lire facilement vu que le sens de lecture est à l'endroit. C'est d'ailleurs pour ça que c'est édité de cette manière.

C'est pour tous les fans de chat surtout pour les chatons. Lol

Dans ce premier tome, nous découvrons Chi, un adorable chaton, dont la curiosité l'a conduite bien loin de sa maison.

Le style est adorable, rond et doux, l'histoire ne vole pas très haut mais est extrêmement mignonne et drôle.

Si je trouve les prochains tome au hasard d'un bouquiniste je serais ravie de continuer cette histoire. Cet adorable petit manga, qui s'adresse aux jeunes lecteurs, ravira également n'importe quel amoureux des chats.

Dans un style Kawaii très mignon, l’auteur nous fait découvrir le quotidien de Chi, petite chatonne mignonne et intrépide. Dans ce tome 17, Chi porte une collerette, doit se faire à la vie à l’intérieur après son incursion à l’extérieur et sa rencontre avec Minou près de la fontaine du parc.



Une bande dessinée très courte qui fait sourire sur les habitudes des chats et de leurs maîtres, le tout avec des dessins sobres aux couleurs pastels et des dialogues minimalistes.

Quand je lis les aventures de Chi, c'est toujours un moment agréable et simple, j'étais donc contente de commencer ce quatrième tome, pressée de savoir ce qui arrivait à cette petite chatte (oui, Chi est une femelle !).



Après le déménagement de sa famille, Chi doit s'adapter à son nouvel environnement. Elle ne comprend pas ce qui se passe ni où elle est. À la fois peureuse et curieuse, Chi va se promener dans cette maison, non sans avoir peur...



Cette nouvelle aventure était assez amusante puisque Chi a peur de son nouvel environnement mais est également curieuse de découvrir les lieux. C'était une lecture plaisante mais le gros chat noir n'était pas présent dans ce tome, ce qui est dommage !

Comme tout le reste de la série "Chi", ce tome 8 est sympathique et marrant, rempli de douceur et d'anecdotes en compagnie de Chi et de ses amis.

Une petite série parfaite pour lire un petit livre entre deux mois gros romans ! J'ai bien aimé ma lecture et je découvrirai la suite avec plaisir ☺

il y a quelques années déjà, j'ai lu les deux premiers tomes de la saga chi, une vie de chat, avant de la laisser complètement de côté. j'ai voulu la reprendre parce que j'avais tout de même bien aimé ma lecture !



dans ce troisième tome, chi part souvent de l'appartement des yamada afin de retrouver son copain noiraud, un gros chat noir. seulement, la gardienne de l'immeuble interdit à ses locataires d'avoir des animaux et elle recherche déjà à savoir à qui est ce gros chat noir...



dans mon souvenir, les deux premiers tomes ne racontaient pas une histoire linéaire : même si nous en sommes encore loin ici, puisque chaque planche raconte une aventure de chi, il y a tout de même un fil conducteur. l'intrigue avance plutôt bien et des changements sont opérés chez les yamada...



il y a toujours pas mal d'humour, amené par les bêtises que chi peut faire, mais il y a également une véritable histoire de fond qui parle du traitement envers les animaux. cela ne va tout de même pas trop en profondeur, puisque nous avons surtout un manga kawaii !

Un second tome tout en douceur pour une petite boule de poils adorable. Chi commence à s'habituer à sa nouvelle famille même s'il lui reste quelques réminiscences de sa vie avec sa fratrie, de plus en plus lointains.

La communication n'est pas toujours évidente, les humains ne comprennant pas toujours les envies de dulé, des peurs quand un chat ours est rentré dans l'appartement dévorant toutes ses croquettes ce qui l'a privée de repas.



Une petite série kawai pour les amoureux des chats.