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Citations de Lara Avery (45)


Tu n'es pas forcée d'être un robot, future Sam. Tu n'es pas obligée de tendre toujours vers un but. Tu peux aussi t'arrêter de temps en temps, faire une pause. Tu peux aussi être toi-même.
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- Peut-être qu'on s'appuie trop sur l'opinion des autres pour mesurer notre succès, a suggéré Stuart. Peut-être que c'est parce qu'on leur donne trop d'importance que les bonnes choses perdent leur saveur.
- Le succès, ce n'est pas que quand les autres te remarquent. C'est ça que tu veux dire ?
- Oui, c'est ça. Il faut se mettre dans la tête que les autres s'en fichent. Quelle que soit l'issue, échec ou réussite, personne ne va te donner une tape dans le dos pour te féliciter d'avoir passé la journée à étudier, à faire des recherches ou à écrire. C'est pour toi et toi seul que tu le fais.
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Je ne veux pas être de ces gens qu’on peut définir à l’aide d’une légende plaquée au bas de leur portrait. Je crois que la plupart du temps les gens font semblant de s’amuser sur les photos juste pour convaincre les autres qu’ils s’éclatent. Mais ça, ce n’est pas la vie, pas vrai ?
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Maman (nom féminin, quarante-deux ans): petite personne brune qui t'a donné la vie. On dirait un elfe de Tolkien avec des rides d'expression. Quand elle ne travaille pas, on la trouve au jardin, en bottes boueuses, en train de désherber son potager ou de maudire les lapins qui l'envahissent. À moins qu'elle ne soit en train de calfeutrer les fissures de l'abri de jardin ou de jeter un bâton à Puppy. En hiver, elle prend ses quartiers sur le canapé en cuir, emmitouflée dans une couverture.
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A une autre époque, future Sam, tu avais quatorze ans et tu étais immensément impopulaire (ce qui est toujours vrai). Tu ne te sentais pas à ta place à l'école. Tes parents refusaient de t'acheter des fringues cool, tu te faisais toujours sortir la première à la balle au prisonnier, tu ne savais pas qu'il fallait dire pardon après avoir roté, et tu passais pour une véritable encyclopédie humaine en matière de bestiaire mythologique et de machines spatiales scientifiquement improbables. Pour dire les choses simplement : tu t'intéressais davantage au destin de la Terre du Milieu qu'à celui de ta planète.
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J'ai beau faire des projets, je sens bien que mon corps est en train de me lâcher et je n'ai pas de solution à ce problème.
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Selon moi, les obstacles qui gênent notre avancée dans la vie - argent, race, sexualité, relations, santé, temps - peuvent vite constituer un mur infranchissable. Il existe des contraintes contre lesquelles nous ne pouvons rien, et qui conspirent sans arrêt contre nous. Mais nous ne parviendrons jamais à les dépasser si nous les considérons comme telles. Avec l'âge viendra l'opportunité de comprendre leur origine.
Si nous nous employons à identifier l'origine de ces obstacles, nous réussirons à débarrasser le monde de ce poison. Nous aurons des objectifs. Que ces entraves soient spécifiques, comme une maladie, ou plus générale, comme l'injustice sociale, une fois que nous les aurons dépassées, tous les espoirs seront permis.
L'optimisme n'est pas forcément aveugle.
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Si tu lis ces lignes, c’est que tu es sans doute en train de te demander qui tu es […]. Tu es moi, Samantha Agatha McCoy, dans un futur pas trop lointain. J’écris pour toi. Il paraît que je vais perdre la mémoire, d’abord juste un peu puis beaucoup, alors j’écris pour me souvenir.
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Coop avait les yeux rouges quand j'ai terminé. Je tiens quand même à préciser que ce n'était pas l'émotion. Il était surtout défoncé, à mon avis.
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Olivier Goldsmith a dit un jour : notre plus grande gloire n'est pas de tomber, mais de se relever chaque fois que nous tombons.
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(Je la rembourserai quand j'aurai refourgué mes livres de Platon à un étudiant de première année à Dartmouth, pour peu qu'il ait un peu forcé sur la fumette et que je parvienne à le convaincre que ces bouquins sont indispensables pour les cours de philo.)
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On se sent chez soi là où on aime.
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Je crois que la plupart du temps, les gens font semblant de s’amuser sur les photos, juste pour convaincre les autres qu’ils s’éclatent. Mais ce n’est pas la vie, pas vrai ?
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Mais plus tu remportes de victoires, plus il faut écraser les autres ou les laisser derrière toi, et plus ton monde se réduit. [...] Ici le monde est grand.
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Elle prétend qu’elle peut parler avec n’importe quel oiseau. À mon avis, cette affirmation découle du fait qu’elle se précipite vers eux en criant : « Vole, vole ! » Forcément, ils s’exécutent.
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Il n’y a pas beaucoup de certitudes dans la vie. En revanche, tout est possible.
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On se sent chez sois là où on aime. Mon chez moi c'est toi
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On s'est plantés l'un en face de l'autre. Il m'a longuement regardée de ses grands yeux sombres et humides, puis il s'est penché vers moi. Oh là là, ce qu'il est près! Brûlure radioactive imminente. J'ai laisse échapper un hoquet de stupeur et il s'est redressé précipitamment.
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Là, c'était mon tour de pleurer. Ce n'était pas dans mes habitudes, et on ne peut pas dire que j'ai versé de jolies larmes bien nettes de top model. Je me suis mise à trembler comme une folle et de petites flaques d'eau salée se sont formées dans mes lunettes. Le gémissement étrange que j'ai poussé, venu du fond de ma gorge, m'a étonnée moi-même.
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Avant, Betty avait un perroquet invisible qu'elle appelait "Berroquet". Elle prétend qu'elle peut parler avec n'importe quel oiseau. A mon avis, cette affirmation découle du fait qu'elle se précipite vers eux en criant : "Vole, vole !". Forcément, ils s'exécutent.
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