AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Lauren Weisberger (187)


New York, son premier et plus sincère amour, attendait.
Commenter  J’apprécie          100
Ou alors, c'était cette pipelette de Kim Kelly qui révélait à qui voulait bien l'entendre qu'Emily ne maîtrisait pas Snapchat. Comme si c'était crucial de savoir transformer un selfie en cochonnet qui vomit un arc en ciel !
Commenter  J’apprécie          72
La semaine dernière, Matthew nous a dit : " Quand je serai grand, je veux être inventeur, comme papa. " Et Maisie a enchaîné aussi sec : " Moi, quand je serai grande, je veux aller à la gym, comme maman."
Commenter  J’apprécie          80
La banlieue, ça fait grossir.
Commenter  J’apprécie          10
La nuit était le seul moment où Los Angeles brillait vraiment. Le smog, les junkies, la circulation abrutissante s'évanouissaient, au profit de ce panorama idyllique et silencieux, de ciel nocturne et de clignotements - comme si le Créateur en personne était descendu sur les Collines d' Hollywood et avait sélectionné le filtre Snapchat qui flattait le mieux la ville qu'il aimait le moins sur terre.
Commenter  J’apprécie          100
- Tu ne penses pas qu'il pourrait avoir...
- Quoi ? Une liaison ? Bien- sûr que non. Pas Paul, répondit-elle d'un ton qu'elle espérait convaincant.
- Maman ? C'est quoi une liaison ? fit Maisie.
Commenter  J’apprécie          130
Cette robe est tellement bradée que c'est quasiment elle qui TE paie pour la porter.
Commenter  J’apprécie          200
Le Moët, c' est à peine de l'alcool !
Commenter  J’apprécie          110
Ce tir nourri d'excuses était pathétique, même à mes yeux, mais je pouvais pas m'arrêter. Nous savions l'un comme l'autre que j'avais tout simplement oublié. Non par indifférence ou désintérêt, mais parce que tout ce qui n'était pas lié à Miranda perdait sa pertinence dès l'instant où j'arrivais au bureau. Je ne m'expliquais toujours pas - comment dès lors aurais-je pu demander à quelqu'un d'autre de le comprendre ? - pourquoi le monde extérieur cessait d'exister, et seul demeurait, après que tout le reste avait disparu dans le brouillard, Runway. Ce phénomène était d'autant plus dur à justifier que Runway était le seul aspect de ma vie qui m'inspirait du mépris. Et pourtant, c'était le seul qui comptait.
Commenter  J’apprécie          10
Si on confrontait le potentiel de cet environnement professionnel avec une journée ordinaire dans la vie d'une étudiante dotée d'un bon esprit de groupe, c'était même plus qu'intéressant. Stimulant ? Mmmm, non, peut-être pas jusque-là. Accueillant, plaisant, réconfortant ? Non, pas exactement, non plus. Était-ce le genre d'environnement à vous donner envie d'abattre un boulot d'enfer, un grand sourire aux lèvres ? Oh non ! Mais pour qui recherche la vitesse, vénère la minceur, cultive la sophistication et révère tout ce qui est dernier cri en matière de style, Elias-Clark est sans conteste la Mecque
Commenter  J’apprécie          00
Ainsi que le souligne constamment mon père, on n'est pas plus convaincant en étant matériellement démuni que le contraire - c'est l'argument qui compte, pas le fait d'avoir ou pas accès aux pièges de la consommation.
Commenter  J’apprécie          60
.... tous ceux qui sont jeunes, branchés, urbains et archi-cools font la fête avec BlackBerry, donc, automatiquement, BlackBerry est jeune, branché, urbain et cool.
Commenter  J’apprécie          30
Le vie était bien plus simple, quand personne ne savait qui vous étiez, d'où vous veniez, où vous alliez. Quand personne ne s'acharnait à vouloir déterminer dans quelle catégorie il fallait vous ranger - celle des gens "utiles à connaître" ? ou celle des gens qu'il est "prudent de ne pas connaître "? Oui, tout était tellement plus simple, quand personne n'essayait de placer ses propres billes, ou de manipuler la situation à son profit ou encore, lentement mais surement, de saper votre assurance, parce que ça la rassurait sur leur propre compte.
Commenter  J’apprécie          20
Rien n'est aussi enivrant qu'un samedi soir à New York, quand on attend à l'entrée du dernier-né et du plus exclusif des clubs de la ville, entouré de tout un assortiment de jolies filles et de jolies garçons, pris dans un tourbillon de vibes, avec tous ces fantasmes qui sont là, à portée de main...si tant est qu'on arrive à franchir la porte.
Commenter  J’apprécie          30
Je suis descendue chercher une maxi-portion de crème de brocolis au cheddar ; de retour à mon poste trois minutes plus tard, j’ai trouvé Miranda qui, assise à son bureau, tenait le combiné du téléphone à bout de bras pour l’éloigner de son visage, comme s’il était couvert de sangsues. Elle devait partir pour Milan en fin d’après-midi, mais je n’étais pas certaine de vivre assez longtemps pour voir ça.
— An-dre-âââ, le téléphone sonne, mais quand je décroche – puisque, apparemment, vous vous désintéressez de le faire – il n’y a personne à l’autre bout. Pourriez-vous expliquer ce curieux phénomène ?
Évidemment que je pouvais l’expliquer, mais pas à elle. Les très rares fois où Miranda se retrouvait seule à son bureau, il lui arrivait de décrocher si le téléphone sonnait. Forcément, c’était un tel choc, pour ceux qui appelaient, d’entendre sa voix qu’ils s’empressaient de raccrocher. Aucun de ceux qui composaient son numéro ne s’attendaient à lui parler en personne, puisque l’éventualité d’être mis en relation était quasi nulle. J’avais reçu des dizaines de mails paniqués de rédactrices ou d’assistantes pour m’informer que Miranda était encore en train de répondre au téléphone. « Où êtes-vous passées, les filles ??? Elle répond quand on l’appelle !!! »
Commenter  J’apprécie          50
Miranda offrait un spectacle saisissant. Avec son menton crânement levé et ses muscles fermes et parfaitement dessinés, elle était elle-même une oeuvre d'art, un bas-relief néoclassique en soie Chanel. Elle n'était pas belle - ses yeux étaient trop petits, trop ronds, sa coiffure trop austère, et son visage trop dur - mais elle était éblouissante d'une façon que je ne m'expliquais pas, et j'ai eu beau faire l'impossible pour ne rien laisser transparaître de mon admiration, pour faire semblant de contempler la salle, je n'arrivais pas à détacher mon regard de cette apparition.
Commenter  J’apprécie          10
Bonjour, Miranda. C'est Andrea. Puis-je vous aider en quelque chose ? Pourquoi appelait-elle ? J'ai jeté un oeil sur le planning (détaillant chaque minute de son emploi du temps pendant son voyage en Europe) qu'Emily avait distribué à l'ensemble de la rédaction : son vol n'avait décollé que depuis six minutes, et déjà, elle me harcelait depuis son téléphone de siège.
- J'espère bien. Je viens de consulter mon agenda et je m'aperçois que les rendez-vous avec le coiffeur et le maquilleur, jeudi avant le dîner, ne sont pas confirmés. - Euh... C'est que M. Renaud n'a pas réussi à avoir une confirmation ferme, mais il a dit qu'il était à quatre-vingt-dix pour cent certain qu'ils... - An-dre-âââ, répondez à cette question : quatre-vingt-dix pour cent, est-ce pareil que cent pour cent ? Est-ce synonyme de confirmé ? Mais avant même que j'aie ouvert la bouche, je l'ai entendue dire, sans doute à une hôtesse, que "les règles et les consignes concernant l'usage des appareils électroniques ne l'intéressaient pas particulièrement" et "qu'ils aillent donc ennuyer quelqu'un d'autre avec ça".
Commenter  J’apprécie          10
"On est fiancé" trois mots qui pouvaient propulser une personne au septième ciel et en précipiter une autre dans un puit de désespoir.
Commenter  J’apprécie          70
Les gays ont carte blanche pour passer outre les conventions vestimentaires, soulignait-il volontiers. C'est un droit que nous avons gagné.
Commenter  J’apprécie          00
"Quoi de plus difficile que renoncer à l'identité qui a été la vôtre durant toute votre vie ? A l'instar de la majorité des athlètes professionnels, Gretchen n'avait sans doute pas eu le temps, ni le désir de préparer la suite. Le jour où elle mettrait un terme à sa carrière, il lui faudrait se réinventer de A à Z."
Commenter  J’apprécie          140



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Lauren Weisberger Voir plus

Quiz Voir plus

Le diable s'habille en Prada

Qui a écrit "Le diable s'habille en Prada"?

Isabel Wolff
Lauren Weisberger
Sarah Mlynowski
Helen Fielding

10 questions
164 lecteurs ont répondu
Thème : Le Diable s'habille en Prada de Lauren WeisbergerCréer un quiz sur cet auteur

{* *}