Lauren Weisberger

Beth est jeune, plutôt mignonne (même si l'on ressent qu'elle manque de confiance en elle), elle est célibataire depuis que son petit ami l'a quittée et elle a un travail très prenant mais qui l'ennui. Jusque là tout va bien, mais un jour sa meilleure amie lui annonce qu'elle vient de se fiancer et là tout bascule...

Elle décide de quitter son job et passe ses journées vautrée sur le canapé à se goinfrer de cochonnerie (et elle arrive à perdre 5 kg !!!). Son oncle gay super sympa prend les choses en main et lui dégote dans une boîte de RP, un job dont beaucoup de personnes rêverais. Où elle passe une partie de son temps à faire la fête dans les boîtes branchée et à boire. Lors de l'une de ces soirée elle rencontre le séduisant Phil (qui devient son petit ami fictif). Son emploi du temps très chargé, l'éloigne de sa famille et de ses amis même sa relation avec sa meilleure amie Pen se dégrade. Vous suivez toujours ?

L'histoire est un peu tirée par les cheveux mais on se prend au jeu même si on est moins dedans contrairement à d'autres livres du même auteur, on rêve moins que dans Le diable s'habille en Prada, ou Sexe, Diamants et plus si affinités, ...

Le livre est sympa mais sans plus.

Je me suis souvent dit qu'il devait être difficile pour un auteur d'écrire une suite à un roman qui a bien marché. Comment ne pas tomber dans des redites du premier tome, comment faire évoluer le ou les personnages, etc... Malheureusement, Lauren Weisberger confirme mes doutes quant à ces difficultés. Ce deuxième n'est pas, à mon sens, une franche réussite. Certes, il y a quelques passages distrayants, mais ces passages sont très minoritaire par rapport aux passages qui m'ont lassée voire ennuyée. Andrea m'a horripilée tout au long de l'histoire. Sa façon de tout couper en quatre et d'avoir des doutes sur tout et tout le monde est un peu, beaucoup trop prononcée. L'écriture de Lauren Weisberger n'est pas en cause, elle toujours aussi légère et claire. C'est l'histoire en elle-même que j'ai trouvée très répétitive et lassante.



Ce que j'ai aimé : le personnage de Lily, qui a bien évolué en maturité.

Ce que j'ai moins aimé : le personnage de Lily, qui est un personnage intéressant dans le tome 1 (son problème d'alcool, son besoin de reconnaissance) et qui dans ce deuxième tome est relégué en troisième voire quatrième position (puisqu'en plus l'auteur la fait partir à l'autre bout des Etats-Unis). Je trouve dommage que ce personnage ne soit pas plus présent et plus fouillé.
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Bon disons une note de 3 parce qu'on aiment Manhattan

Voilà presque 600 pages qui ont défilées à toute vitesse. C'est l'avantage de ce genre, ça se lit très vite et sans trop réfléchir. On se laisse juste porter par l'histoire en se demandant comment ça va tourner. Les personnages sont sympathiques et attachants, sauf une, bien sûr ! J'ai malgré tout été un peu déçue par la fin, je m'attendais à quelque chose d'un peu plus explosif.

Ce livre ne me laissera peut-être pas un souvenir persistant, mais j'ai eu une agréable lecture.

J'ai vu le film il y a fort longtemps et l'ai revu a la télévision il y a quelques mois. Ce qui m'a donné envie de lire le livre afin de voir si il était à l'identique.



Il ne ne s'agit pas d'une nouvelle ou d'un livre "d''auteur", mais l'histoire a le mérite d'être originale. On s'attache à l'héroïne par une écriture drôle et rafraîchissante, partageant tour à tour les espoirs et les désillusions de son

expérience professionnelle.



Une question se pose : Seriez-vous prête à vendre votre âme au Diable pour une paire de Jimmy Choo ??



C’est un peu le dilemme auquel va être confrontée Andrea, jeune journaliste aux antipodes de la « fashion victim » au tout début du livre, mais elle va très vite succomber au miroir aux alouettes lorsqu’elle commence à travailler chez Runaway (qui n’est autre que le très célèbre magazine Vogue).



Dans le Diable s’habille en Prada, le monde de la mode en prend pour son grade : un monde impitoyable et cruel, un monde ridicule, obsédé par le paraître, où tout est interchangeable à l’infini. J’ai vraiment passé un bon moment avec ce livre mordant et satyrique.



Tout comme Andrea on connaît aussi parfois des grands moments de solitude au boulot mais franchement après avoir lu ce livre votre job vous paraîtra être un job de rêve !!!



Ce livre a tout de même le mérite de nous faire réfléchir sur la difficulté à s’intégrer dans une entreprise et sur le pouvoir de la mode.



Ce n’est pas de la grande littérature, c’est de la chick lit qui se lit facilement, qui est drôle et qui se veut être divertissant avec des rebondissements.



Je me suis attaché aux personnages, ils sont vivants et colorés. On suit leurs aventures et on en redemande. J'ai d'ailleurs "Vengeance en Prada : Le retour du Diable" m'attends dans ma PAL ...

Bon j'aime pas ce genre de roman à l'eau de rose. Mais là, je n'ai pas pu faire l'impasse.

Je vous explique: Si lire ça me rebute, regarder à la TV ce genre de truc pour me déconnecté j'aime bien.

Mais voilà j'ai eu un problème, je m'endors devant le film avant la fin. Donc j'ai rassemblé tout mon courage et je suis allé à la bibliothèque l'emprunter.

Euh... comment vous dire... J'ai été déçu. Pourtant, ça promettait d'être drôle, et il y a des passages drôles.

Je n'ai tout simplement pas accroché et puis le pétage de câble d'Andréa tant promis n'était pas là. Je voulais qu'on me raconte l'afflue incontrôlable d'émotions qui s'empare de la jeune fille. Je voulais pouvoir l'imaginer lutter désespérément contre ses pulsions meurtrière vis à vis de sa patronne, voir la transformation des traits de son visage. Bref, s'il y a eu ça ne m'a pas marqué. Je n'ai pas vu le grand spectacle que j'attendais par rapport à ce qu'on m'avait raconté.

Donc au final, c'est une comédie bien gentillette qui passe à côté de certaines choses à mon sens.

Revenons 10 ans en arrière : Le diable s’habille en Prada, se termine sur une Miranda Priestly lâchement abandonnée sur le pavé parisien (tellement jouissif) par son assistante enfin libérée des griffes de sa patronne tyrannique. On l’imagine continuer sa vie professionnelle comme elle l’entend dans le journalisme. On l’a vu évoluer professionnellement, faire des erreurs, s’en prendre plein la tronche mais se relever, chausser ses Louboutins et (enfin) entrer dans l’arène pour combattre.



On retrouve Andy, sur le point de se marier, avec un tout nouveau protagoniste. On apprend qu’elle a monté avec son ex-ennemie de chez Runway un magazine sur le mariage The Plunge (tellement facilement que s’en est embarrassant…). Ce dernier fort de son succès tape dans l’oeil de notre fameuse Miranda qui s’empresse de vouloir l’acheter. La vengeance rôde…



Oui…MAIS… (il y a toujours un mais !), je ne retrouve pas la Andy, que j’avais laissé dans Le diable s’habille en Prada. Notre diabolique Miranda n’apparaît au final que très peu dans le bouquin, elle vit à travers les flashbacks d’Andy et sa psychose dû à son passage chez Runway. On peut toujours se brosser pour une vengeance à la hauteur de Miranda Priestly.



J’avoue être assez déçue par cette suite. Andy m’énerve à être souvent plaintive, obsédée par Miranda. Le rythme est leeeeeent, très (trop) lent. Des flashbacks pour situer les histoires sont trop développés. Le livre tourne beaucoup plus sur la vie personnelle de notre héroïne, son mariage, sa grossesse (tellement évidente sauf pour elle…), puis son bébé que sur son magazine tant convoitée par la papesse de la presse. Il faut arriver aux cinquante dernières pages pour voir l’action se dérouler pour le coup trop vite, limite bâclée.



Et alors que dire du titre mensonger ! Vengeance en Prada… Sur tout le livre, Miranda n’apparaît qu’en tout et pour tout sur à peine une dizaine de pages (et encore !!). Je ne vais pas vous raconter la fin, mais elle arrive plus vite qu’un TGV, on vient de se taper 210 pages de blablas pour une fin expédiée en 20 pages. En plus cette fin est aussi évident qu’un éléphant au milieu d’un magasin.



En résumé : déception, une suite qui n’aurai pas eu lieu d’être !
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n’étant pas habituée à lire ce genre de roman, je dois avouer que je me suis un peu ennuyée. (je suis polar /thriller) . cependant ce roman est facile à lire, avec de bons passages.

J'ai malheureusement été assez déçu par cette suite, dès les premières pages on s'attend à ce que tout parte en vrille, on retrouve Andréa avec Emily mais bon Dieu elles n'ont rien à faire ensembles, le mari est une pièce du puzzle que je trouve sans intérêt et le retour d'Alex ainsi que le plan de Miranda était d'un prévisible. Aucune surprise.

je suis déçue de cette suite du "Diable s'habille en Prada".. Lauren Weisberger a perdu la spontanéité du premier, c'est du vu et revu et totalement prévisible.

Dans ce roman, le mari de l'héroine devient chanteur célèbre du jour au lendemain et tout se transforme autour d'elle. Les paparazzi envahissent leur vie et son mari commence à changer. J'ai trouvé ce roman plutôt passionnant. Le style est très facile à lire.

Très décevant par rapport au premier volume (Le diable s'habille en Prada). Il y a trop de livres à lire pour perdre son temps avec celui-ci.

le premier était inovant. Le deuxième n'a aucun intérêt. Ni du point de vue inovation, ni du point de vue histoire. A moins que le délai entre les deux tomes ne m'ait vu évoluer du point de vue de mon indulgence littéraire. On appréciait de découvrir le "monde de la mode" dans le premier, on ne découvre plus rien dans celui ci. A part si vous avez besoin d'un livre de plage, ne vous y attardez pas!

Emmy, Leigh et Adriana sont trentenaires et new-yorkaises.



Emmy voit en chaque homme avec qui elle entretient une relation, l’homme de sa vie. Elle vient d’un milieu plutôt modeste et refuse toute promotion professionnelle qui l’éloignerait de son futur mari.

Adriana vit en dilapidant l’argent de ses parents. Pour elle, la vie est faite pour en profiter, elle papillonne et ne supporte pas qu’un homme résiste à ses charmes.

Leigh, quant à elle, a un travail parfait et a pour fiancé, l’homme parfait.

Elles sont toutes les trois liées par une mitigé très solide, elles se soutiennent dans chaque petite contrariété que leur réserve la vie. Les soirées entre filles ne manquent donc pas et c’est au cours d’une de ces soirées bien arrosée que Emmy et Adriana font le pari de changer leurs comportements vis à vis des hommes. Adriana doit se stabiliser, elle promet même de se fiancer avant la fin de l’année et Emmy promet d’essayer des relations d’une nuit.





Cette histoire est classique et n’a rien de très originale mais je trouvais que c’était un bon point de départ pour un livre de filles. Lauren Weisberger a choisi des personnages bien typés mais malheureusement elle est prise à son propre piège car en leurs donnant vie elle n’accumule que les clichés et se perd dans les longueurs.

Son phrasé est simple mais agréable et elle utilise un technique narrative que j’ai trouvé très ingénieuse. Elle fait parler chacun des personnages à tour de rôle, de façon à ce que nous connaissions un peu de chacune avec une intervention plus ou moins grande d’une des deux autres pour enchainer ensuite sur la nouvelle venue cela permet des transitions toutes en légèreté.





Malgré ces défauts, Sexe, diamants et plus si affinités… se lit sans difficulté si on fait preuve d’un peu de patience.
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Avant de connaître le livre, j'ai connu le film. C'est notamment grâce à lui que je me suis décidé à lire ce roman.



Même si j'ai trouvé l'écriture vraiment très fraiche et dynamique, l'histoire en elle-même a souffert de ma comparaison avec le film. J'avais déjà des images en tête et du coup, ça n'a pas été évident d'apprécier le livre en son entier.

J'ai vraiment adoré cette lecture, mais le seul petit bémol à été quelques moments dans le roman qui (pour cause d'avoir vu le film) m'ont gênés. Sinon, malgré ce petit rien du tout, j'ai passé un agréable moment. Cela se lit vite et ça change les idées, ça fait rire parfois. Alors, je le conseille pour les amateur de Chick lit ; c'est un incontournable de genre, même si pour moi il y a eu quelques petits bémols.

C’était le 31 décembre, j’avais envie de lire un livre pas trop intelligent mais qui m’aiderait à passer ce cap difficile dans la joie et la bonne humeur. J’avais un chili sur le feu (14h de cuisson c’est ça qui est bon) la maison sentait le haricot rouge et le cumin, c’était propre, l’aspirateur était passé, le linge rangé, les invités allaient arriver dans pas trop longtemps… Bon, je me suis plongée dans Vengeance en Prada. Je pensais pousser les hauts cris à la lecture des aventures palpitantes d’Andy, un peu comme pour le film, quoi … Je pensais tomber sur une réflexion sur les gros groupes de medias comme j’avais senti sous le premier une réflexion sur les stéréotypes de la mode (pas les mecs avec un iPod, non) et sur le plafond de verre affronté par les femmes dans le journalisme. Oui, bon, j’étais peut-être ambitieuse sur ma lecture du premier, mais bon, voilà, j’avais ressenti ça.



Alors, dès les premières pages, j’ai compris que c’était raté. Je suis peut être amère, mais j’ai du mal à plaindre une nana qui est en train de se marier avec un millionnaire (ooooh ma belle-mère ne m’aime pas… SURPRISE ! elles n’aiment JAMAIS leurs brus! ) d’avoir le môme dont elle rêve (ooooh je dois concilier travail et famille mais bon j’ai les horaires que je veux vu que je suis patronne donc je peux m’absenter du bureau pour un rendez-vous pédiatre et comme je vais bosser en taxi mon brush n’est même pas abîmé) et oooooh un grand groupe de presse veut racheter plusieurs millions de dollars le magazine que j’ai créé il y a un an (un mensuel sur le mariage). Franchement. Andy. Tu m’as énervée, tu m’as agacée, tu as pris des décisions débiles à des moments débiles.



Je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler mais, franchement, ça n’a absolument pas le charme du premier, ni son dynamisme, ni son intérêt. C’est juste pénible, désagréable, ennuyeux. Vous pouvez passer votre chemin, et Dieu sait que je dis rarement ça.
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Un désastre!

Autant "le Diable s'habille en Prada" m'avait beaucoup plu, c'était frais, bien écrit et très prenant, autant cette "resucée" semble pitoyable.

On commence par moult flash back pour expliquer comment Andy est devenu l'ami d'Emilie ? comment elle a fini par revenir dans un milieu qu'elle avait quitter pour des raisons d'intégrité re-?? comment elle s'est associée avec Emilie re-re-???

Quand au diable....on compte sur le doigts les apparitions de Miranda. L'auteur a sans doute été obligé de la caser à un moment ou un autre du récit pour pouvoir justifier le titre du livre et ainsi attirer le chaland.

C'est d'autant plus étonnant que Lauren Weisberger est un auteur à succès et qu'elle n'a nul besoin de cette pathétique tentative de recyclage.

Ce roman représente bien la dureté du travail de la mode. Cependant, le surplus de clichés lui font perdre deux étoiles. Mais, c'est tout de même un livre envoûtant que je recomma,de tout de même.

Ayant vu le film, je me suis amusée à faire une comparaison : Meryl Streep rend le personnage de Miranda beaucoup, beaucoup plus humain et touchant, par contre, dans le bouquin, il n'y a qu'à la fin que son humanité (?) apparait, et du coup, je suis navrée pour elle que ce seul moment de sympathie soit couronné par tant d'injustice. J'avoue avoir été passablement déçue par le personnage d'Andréa sur la fin. Heureusement que tout le reste est à la hauteur de mes espérances, même si on trouve quelques longueurs.



En fait, je crois que j'ai tout simplement préféré en cette rare occasion le film au bouquin. Alors que bizarrement, je m'étais dit que je préférerais sûrement plus le livre à la fin de la séance, comme quoi.




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Voilà un livre léger, dans l'air du temps, qui détend et change les idées.

Brook est un peu madame tout le monde, on entre vite dans sa vie, on s'identifie facilement à elle. Elle en profite alors pour nous embarquer dans son monde, plutôt tranquille au départ, puis dans le tourbillon du succès de son mari.

J'ai commencé à le lire en me disant ça va te distraire, ça fait pas de mal! Et je me suis fait totalement happer par Brook.



Une histoire très réaliste. On est content de voir enfin le succès arriver, on est stressé quand Julian monte sur scène, on vérifie les fenêtres pour être sûr qu'il n'y a pas de paparazzis en face, on s'attend à trouver une photo de Brook et Julian en passant devant le marchand de journaux, on est à leurs côtés dans les moments difficiles... Bref, on vit avec eux!!



Et ce qui rend Brook si humaine c'est qu'elle a beau être diététicienne, quand elle n'a pas le moral, elle se jette sur un pot d'Haagen Dazs!!



Fortement recommandé pour sortir de son train-train et filer à Hollywood...



Petite dédicace à Nathalie Jomard, l'illustratrice de la couverture, dont je suis le Grumeauland avec délectation (http://grumeautique.blogspot.com)
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