Laurent Guyénot

JFK 11-Septembre - 50 ans de manipulations de Laurent Guyenot est un bouquin nécessaire pour comprendre l'état de notre monde, mais avant d'aborder ce bouquin j'invite ceux et celles qui le peuvent à visionner le film Les Trois Jours du Condor sortie en 1975 de Sidney Pollack, ce qui se raconte dans ce film est époustouflant et prémonitoire. La C.I.A. a ses bureaux dans les tours jumelles (World Trade Center) est un état dans l'état, on y parle de pétrole et d'une future invasion du Moyen-Orient. Je n'ai jamais compris Stephen King qui a écrit 22-11-63 a abondé dans le sens de la Commission Warren et pour ceux qui ont une bonne mémoire son récit a été inspiré d'un épisode de la série Au-delà du réel l'aventure continue des années 80. Revenons à notre sujet car à moins d'être profondément aveugle et sourd l'assassinat du président Kennedy est le résultat d'un complot et le complexe militaro industriel américain depuis ce jour est l'acteur principal de la politique américaine. Après ce crime l'Amérique a fait la guerre au Vietnam pour le plus grand bonheur de Wall-Street. le 11 septembre est de nos jours encore un des plus gros mensonges depuis l'incendie du Reichstag, la C.I.A. et le Mossad est selon moi le plus grand danger pour l'espèce humaine. Ce livre est à lire et il y a beaucoup de liens internet qui cautionne l'auteur. Pour tout vous dire la démocratie n'existe plus car c'est le gouvernement profond jamais élu qui mène l'histoire.

Un livre instructif destiné aux chercheurs de Vérité. Laurent Guyénot, s'attaque dans cet essai à deux événements géostratégiques majeurs, à deux pivots incontournables de l’histoire contemporaine des Etats Unis: Le meurtre de JFK et l'attaque du 11 septembre 2001.



Par un long travail de renseignements, l'essayiste parvient à décortiquer les anomalies de ces affaires qui sont tenues, encore à l'heure actuelle, comme étant la seule vérité aux yeux du public. Un public trop souvent crédule taxé de complotiste dès lors qu'il exprime son doute sur des questions légitimes quant à la véracité de la théorie officielle, à l'image d'un fusil que l'on pointe dans la nuque de tous ceux qui ne veulent pas établir le consensus.



J'ai appris beaucoup de choses sur ce que l'auteur appelle le Deep State, cet Etat dans l'Etat que JKF voulait réduire à l'état de poussière lorsqu'il s'était rendu compte qu'il ne répondait plus à ses ordres, la célèbre bavure de la Baie des Cochons en illustre le meilleur exemple. Ce président est mort car il souhaitait la paix, il était convaincu qu'une coexistence pacifique était possible aussi bien avec Cuba qu'avec la Russie. Son intention était de dénucléariser le monde dans les années à venir par respect pour la vie des générations futures, imaginant le chaos qu'une telle arme infligerait à l'Humanité.



De nombreux cas de " false flag " montés par la CIA sont passés au crible pour accréditer les thèses de l'auteur, des méthodes légitimant le sacrifice de vies humaines pour parvenir à des fins stratégiques d'une grande perversité. Il subsiste dans de telles opération une âme diabolique, c'est vraiment ce que cela m'inspire le plus.



La toute fin du livre m'a le plus intéressé car la connexion sioniste est motivé par des plans bibliques que rien ne peut plus arrêter aujourd'hui. C'est vraiment terrible de réaliser une fois de plus toute cette entreprise de destruction. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça glace le sang...

Alors que Richard Poulin s'est intéressé à la pornographie en tant que sociologue, Laurent Guyenot nous apporte un petit apport supplémentaire, celui des professionnels de la santé mentale. Écrit rapide et efficace qui permet d'approfondir la réflexion sur les dommages collatéraux qu'impose la pornographie à notre société. A méditer...

Un effroyable tissu de contre-vérités d'approximations, de contresens, des contradictions internes, et pour finir, on explique tout par l'influence néfaste des Juifs. Bien qu'il ne cite pas cette source, il semble s'être inspiré des Protocoles des Sages de Sion. Bref un livre non seulement idiot mais dangereux.

Dans cet ouvrage, Laurent Guyénot présente une thèse intéressante avec des arguments assez convaincants.

Jésus se pensait le Messie (Christ en grec) d'Israël au sens judaïque du terme, c'est à dire l'homme qui délivrera les Juifs de l'occupant romain. Mais les Messies, pour accomplir et surtout réussir leur mission, doivent être oint par un prophète (c''est à dire que le prophète lui verse solennellement de l'huile sur la tête), ce qui prouve aux yeux de tous que Dieu a choisi cet homme pour délivrer la Terre sainte des impies.

C'est par exemple ce qui se serait produit pour David, autre Messie d'Israël, qui fut oint par le prophète Samuel. Cet acte est fondateur et détermine la victoire.

Guyénot montre à partir des textes que Jésus est allé chercher cette onction chez le prophète Jean (Le Baptiste), mais que celui ne l'aurait pas reconnu en tant que Messie, le baptisant seulement pour remettre ses péchés, comme il le faisait journellement dans les eaux du jourdain. Ce rejet par Jean le Baptiste est la base de l'échec de Jésus, que les Juifs, à part quelques disciples et fidèles, ne reconnurent pas comme le Messie et, par conséquent, ne suivirent pas dans sa tentative de restauration du royaume d'Israël (le Royaume de Dieu).

Le problème du Messie, c'est qu'il ne peut pas s'autoproclamer. Il ne sait même pas d'ailleurs, jusqu'au moment où il est oint par un prophète, qu'il est Messie (voir le texte de Justin : Dialogue avec Triphon, VIII, 3).

Jésus aurait navigué entre ce rejet de Jean (lequel était scandalisé par sa conduite, car Jean était un prophète ascétique, adepte d'un Dieu vengeur et terrifiant, jeunant perpétuellement et vivant retiré du Monde) et sa conviction (ou au moins son sentiment) d'être bien le Messie (n'est-il pas finalement oint par une femme à Béthanie qui lui verse de l'huile sur la tête ? Marc 14,3). Symbole d'un succédané d'onction royale que Jésus approuve à la surprise des apôtres.

Finalement, il meurt crucifié par l'occupant, abandonné de tous ou presque, et sur la croix crie son incompréhension : Seigneur, Seigneur, pourquoi m'as-tu abandonné ? (reprise par les Evangélistes du psaume 22 de la Thora).

Le mystère de la mission que Jésus s'attribuait demeure. Cette thèse de Guyénot est pertinente et bien construite. A la lecture, on y croit. Elle s'éloigne cependant de la conclusion de la plupart des chercheurs qui considèrent Jésus comme un prophète juif, singulier par certains aspects, mais assez typique cependant dans son comportement.