Citations de Léa Nemezia (74)
Tu n’es pas facile à aimer, Charles. Mais une fois qu’on entrevoit ce que tu te forces à cacher à l’intérieur de toi, c’est impossible de t’oublier. Tu n’es pas facile à aimer, mais une fois qu’on t’aime, on ne pense plus qu’à toi.
La force d’un homme n’est rien contre le pouvoir d’une femme.
Il attrape ma main pour me faire tournoyer et je sens des papillons s'envoler dans mon ventre. Absolument sous son charme masculin, je me perds dans ces émotions.
TU ES À MOI. RIEN QU'À MOI. PEUT IMPORTE QUE CE SOIT MALSAIN, PEU IMPORTE QUE CE SOIT TOXIQUE. TU ES À MOI
nous sommes si obscurs, et pourtant, nous nous apportons tant de lumière. je ne peux plus vivre sans elle. Elle est mon obscure clarté.
il faut vivre pour écrire.
je te déteste tellement que, je crois que j'ai fini par t'aimer.
Je ne pense qu'à lui et à nous, parce qu'à ce moment, perdue dans cette passion malsaine, je me sens vivre, et même revivre.
Je marche, je cours presque, j’élance mes longues jambes, passant outre les quelques commentaires que je reçois. Allez tous crever. Parce que c’est ça, être une femme. L’impuissance. Je la déteste, et je me hais. Si je pouvais leur faire bouffer le sol, je le ferais. Mais ce sont des lâches, ces pourritures de la société, ils sont toujours en groupe. J’aimerais leur dire, mais je suis faible, je ne peux prendre le risque qu’ils s’en prennent à moi. Alors je ne dis rien, je slalome entre la drague et le harcèlement de rue, la tête baissée, la fierté détruite.
Nos regards ne se lâchent pas, nos mains non plus. Une symbiose destructrice, une symbiose salvatrice ? Pour l’instant, je ne saurais dire.
Sortir d’un roman et en commencer un autre est une des choses les plus difficiles que je doive faire. Mes personnages prennent vie dans mon esprit, et leur dire au revoir revient à dire adieu à un ami proche.
Romance sombre, drame psychologique, thriller romantique sont mes carburants. Je ne cherche pas de roman heureux, drôle, non, je veux une aventure passionnée, prenante, sombre, puissante.
Je regrette ma vie, je pleure mon futur, je suis triste. J’ai l’âme sombre et l’esprit noir. Toujours et à jamais.
Sans toi, tout est fade. Tu me fais du bien de la plus mauvaise des façons.
Comme je l’avais prédit, cette position est parfaite, son genou frôle innocemment le mien, et je peux la regarder dans les yeux, espérant y lire tout ce que je cherche.
Mon ambition m’a souvent été reprochée, tant elle peut être contraignante. Je n’aime pas perdre, je refuse de ne pas être la meilleure, et je me bats, à la loyale ou non, pour arriver à mes fins.
Nous sommes des langues de vipères lorsque la vie ne se déroule pas à notre convenance. Le pouvoir que nous détenons à deux est presque effrayant.
TU LUI A FAIT QUELQUE CHOSE ELISABETH. JE CROIS MÊME QUE TU LUI A SAUVÉ LA VIE.
-Tu m'a mis face à mes démons. Tu m'as poussé au bord du précipice de ma souffrance. J'ai atteint le paroxysme de la douleur à cause de toi.
Je plaque une main sur ma bouche pour m'empêcher de hurler. Mais Charles s'empresse de la retirer, l'air de dire "assume les conséquences.
-Mais Elisabeth, tu m'as sauvé juste avant la chute.
Mais peut-être que c’est ça, l’amour, aussi, oublier le mal chez la personne pour ne voir que le bon. Pourtant, moi je l’aime à son pire autant qu’à son meilleur. Et je veux que ce soit pareil pour lui. Alors je porterai mes péchés sur mes lèvres pour qu’il ne voie que ça.