Le voilà, […] l'étrange destin de la poésie. — Tout le monde l'aime, la recherche, ne désire et ne recherche qu'elle dans la vie, et personne ne veut en reconnaître la force, personne ne sait apprécier ce bien suprême, personne n'apprécie et ne remercie ceux qui l'apportent aux hommes.