AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Léonie Bischoff (145)


Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire. Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Commenter  J’apprécie          20
Chaque homme à qui j'ai fait lire mes textes a tenté de changer mon écriture. Ecrire comme un homme ne m'intéresse pas. Je veux écrire comme une femme. Je dois plonger loin de la rive pour trouver les mots...sous la mer des mensonges.
Commenter  J’apprécie          40
Ma morale n’existe que lorsque je suis confrontée à la peine de quelqu’un d’autre.
Commenter  J’apprécie          30
Si je ne me crée pas un monde pour moi-même, je mourrai étouffée par celui que d'autres définissent pour moi.
Commenter  J’apprécie          250
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire. Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Commenter  J’apprécie          220
Pourquoi ne lui dis-tu pas ce que tu ressens vraiment ?
Que c'est toi qui étouffes ?
Que tu voulais être la femme d'un génie, pas d'un banquier ? Que cette vie te tue à petit feu ?
Commenter  J’apprécie          50
Est-ce toujours le même cycle ?
L'amant devient l'enfant et il faut tout recommencer.
Commenter  J’apprécie          50
« Les vérités de Miller quelquefois, étaient assez terribles pour les personnes qu’il décrivait comme, par exemple, le conte qu’il a fait sur sa famille. Ce genre de caricature, ce genre de vérité, comme femme, je ne pouvais pas l’atteindre. Alors ce que j’appelais mensonge, c’était les choses qu’on dit pour adoucir justement les coups ou adoucir la vérité, pour protéger les êtres de chocs ou de choses qui leur étaient trop pénibles. Ça, c’était mon mensonge. » Anaïs Nin
Commenter  J’apprécie          00
« C’était l’aspect de créateur et d’inventeur de l’homme qui fait de la fabulation. Alors moi, j’étais étonnée parce que nous parlions toujours de sa femme comme mythomane. Mais je disais tout de même au fond, l’écrivain aussi, est un mythomane. » Anaïs Nin
Commenter  J’apprécie          00
« Je n’ai pas beaucoup de confiance en la mémoire. La mémoire change beaucoup les choses. J’étais très étonnée quand j’ai relu les journaux de cette époque, de retrouver d’abord quelqu’un que je ne reconnaissais pas. Des réactions que j’avais oubliées. Je ne me fie pas aux souvenirs. »Anaïs Nin
Commenter  J’apprécie          00
« Le journal était vraiment un journal de voyage. J’allais faire des descriptions de l’Amérique pour que mon père vienne nous voir. Mais ma mère ne m’a pas laissée lui envoyer. Alors ça a changé un peu de caractère, d’être une lettre pour mon père, c’est devenu un peu un refuge dans une nouvelle vie, dans un pays où je ne connaissais pas la langue. Je voulais rester seule avec mes écrits en français, mes livres en français. Je faisais un petit sanctuaire du journal. »Anaïs Nin
Commenter  J’apprécie          00
— J'avais onze ans quand j'ai commencé à écrire, sur le paquebot qui nous emmenait en Amérique, ma mère, mes frères et moi. Au départ, j'écrivais des lettres à mon père resté en Europe. Je n'avais pas compris... Je voulais le convaincre de nous rejoindre. Ma mère ne m'a pas laissé envoyer les lettres. Je n'ai jamais cessé d'écrire. Ainsi est né le journal !
Commenter  J’apprécie          80
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire. Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Commenter  J’apprécie          90
Avec quelle facilité je me glisse d'un personnage à l'autre ! Je me sens innocente. Mes mensonges et mes costumes sont ma liberté. Si je ne me crée pas un monde pour moi-même, je mourrai étouffée par celui que d'autres définissent pour moi. Je n'ai plus peur des mensonges. Ma morale n'existe que lorsque je suis confrontée à la peine de quelqu'un d'autre.
Commenter  J’apprécie          160
- Écrire ! Mais il faut VIVRE !
- Je vis, Henry. Je vis même doublement, triplement car, quand j'écris et réécris, je vis plus intensément encore.
Commenter  J’apprécie          110
Chaque homme à qui j'ai fait lire mes textes a tenté de changer mon écriture. Ecrire comme un homme ne m'intéresse pas. Je veux écrire comme une femme. Je dois plonger loin de la rive pour trouver les mots...sous la mer des mensonges.
Commenter  J’apprécie          120
Chaque relation fait naître une nouvelle Anaïs et un nouvel univers. » Chaque relation nourrit son oeuvre. : « je vais vivre ces multiples vies, explorer les mille facettes de mon être, et vivre avec passion, de toutes mes forces. Pour la beauté. Pour l’amour. Pour la création.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai tant de facettes en moi, tant de fragments contradictoires… le journal me rassemble.
Commenter  J’apprécie          30
Du rituel à la mystique, la frontière est floue.
Commenter  J’apprécie          40
La vie seule ne peut satisfaire l'imagination.
Commenter  J’apprécie          50



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Listes avec des livres de cet auteur
Auteurs proches de Léonie Bischoff
Lecteurs de Léonie Bischoff (3188)Voir plus

Quiz Voir plus

Sur la piste des homonymes

pioche et veste

brouette
manche
poche
truelle

13 questions
278 lecteurs ont répondu
Thèmes : lexique , homonymeCréer un quiz sur cet auteur

{* *}