La petite mort, elle est présente à chacune de mes respirations. Ce moment après la guerre où le silence nous rappelle qu'on est vivant et que nos amis sont morts.
Je n'ai aucune envie de sortir de cette cabane. Elle est un lieu magique coupé du monde où je ne suis ni un biker, ni un tueur, ni un écorché vif, je suis simplement Jack.
Il ne se considère plus comme un homme à part entière, il n'a pas le sentiment d'appartenir réellement au monde des vivants. Il n'est pas tout à fait mort, ni tout à fait en vie.
« Ces quelques semaines avec toi m’ont apporté plus de joie et de bonheur que je n’en avais jamais connu. Je suis prêt à t’attendre le temps qu’il faudra parce que tu en vaux la peine. Et surtout, parce que je t’aime »
« Mes pensées m’attirent invariablement vers Amalia, je ne connais rien de cette femme, mais elle dégage quelque chose entre la force & la faiblesse. Elle éveille des sentiments protecteurs chez moi, pas ceux que j’ai dans mon boulot mais quelques chose de plus personnel, d’intime »
« Je suis celui qu’on envoie en première ligne parce que j’éprouve le besoin viscéral de tuer, de détruire ce qui m’entoure, n’ayant pas le courage de me tuer moi-même. »