Citations de Lucile Jones (19)
J'ai écrit ce roman parce que je ne pouvais pas faire autrement. Parce que je suis fou de toi. Et que depuis que tu as déboulé dans ma vie je n'ai qu'une envie, c'est faire tomber le reste du monde aussi amoureux de toi que je le suis.
Aujourd’hui Orgueil et Préjugés est un classique.
Mais demandez-vous une seconde ce qui fait qu'un livre en devient un. Parce que, sans être un expert en « vraie » littérature, je ne crois pas me souvenir que lorsque l'histoire d'amour que vous admirez tant est sortie, elle était considérée comme telle par les élitistes dans votre genre.
Vous savez, les gens qui racontent que le talent est inné mentent. Le talent, comme tout le reste, se travaille jour après jour. Mais la niaque, ce petit plus qui fait que vous n'abandonnez jamais, ça, personne ne pourra vous l'enseigner. Aucun cours au monde ne vous apprendra à relever la tête et à vous battre pour ce que vous aimez, ou ce en quoi vous croyez.
« Visiblement, elle m'a pris au mot lorsque je lui ai dit d'en mettre plein la vue à ce connard. J'ai du mal à déglutir. Elle est tout simplement renversante dans sa robe vert sapin, et je me prends à regretter la présence de tout le corps enseignant à l'intérieur qui m'empêche de la plaquer immédiatement contre un mur. Puis elle me sourit, et le temps reprend soudain son cours normal.
- Vous êtes ravissante, Mademoiselle Marshall.
- Je vous retourne le compliment, professeur. »
Aucun mensonge n'égale jamais l'imagination des curieux.
- […] Mais Tillie, ce que tu as dit en découvrant mon manuscrit, c'est faux. Je ne t'ai pas utilisée pour trouver l'inspiration. J'ai écrit ce roman parce que je ne pouvais pas faire autrement. Parce que je suis fou de toi. Et que depuis que tu as déboulé dans ma vie je n'ai qu'une envie, c'est faire tomber le reste du monde aussi amoureux de toi que je le suis.
Mais vous avez raison, je dois avoir du talent si en trois paragraphes j'ai réussi à vous donner envie de plus.
Parce que je suis fou de toi. Et que depuis que tu as déboulé dans ma vie je n’ai qu’une envie, c’est faire tomber le reste du monde aussi amoureux de toi que je le suis.
vous dites ça comme si ça constituait un crime, fait remarquer Griffin en secouant la tête. Ça ne vous est jamais venu à l’esprit que, si les histoires d’amour ont autant de succès, c’est parce que c’est un sentiment que les lecteurs peuvent très facilement partager ?
Putain, cette fille est incroyable, et, en hommage à tous les héros de romance, elle est à moi
En dépit de ce que j’ai affirmé à Cléo, je ne peux pas nier qu’il s’agisse de l’un des hommes les plus attirants que j’aie rencontrés. Tout chez lui est sexy, de la fine barbe qui recouvre sa mâchoire carrée à ses iris d’un gris étonnamment foncé. Et, malgré son air sévère, je découvre même en observant plus attentivement son profil une marque à la commissure de sa bouche qui pourrait laisser croire qu’il lui arrive parfois de sourire.
Effectivement, les maisons d’édition travaillent avec des correcteurs. Mais pour pouvoir bénéficier de leurs services, encore faut-il qu’un agent repère votre texte, et ça ne risque pas si vous êtes incapables de voir qu’il y a une différence entre écrire « On est mieux là que dehors » et « On est mieux la queue dehors ».
"Je suis fou de toi. Depuis que tu as déboulé dans ma vie je n'ai qu'une envie, c'est faire tomber le reste du monde aussi amoureux de toi que je le suis".
Parce que je suis fou de toi. Et que depuis que tu as déboulé dans ma vie je n’ai qu’une envie, c’est faire tomber le reste du monde aussi amoureux de toi que je le suis.
Je cours jusqu’à ce que mes poumons s’embrasent et que ma gorge me brûle. Je cours pour distancer les fantômes du passé. Pour oublier sa colère, mes remords et leurs trahisons. Mais quelle que soit la direction que j’emprunte, ils me rattrapent toujours.
C’était juste pour mettre en avant la différence de qualité entre la littérature plus sérieuse et la romance. Mais je ne parlais pas forcément de vos livres. Pour le genre, je les ai même trouvés plutôt bons.
Eux non plus, je ne les ai pas revus depuis mon départ, pas plus que je ne leur ai parlé. Ils appartiennent à Ravendale, et à une autre vie. Et moi, j’appartiens à Chatham, là où j’ai finalement réussi à me reconstruire, à la manière dont certains construisent des maisons. En partant des briques fendues de mon adolescence, j’ai bâti une forteresse dans laquelle je me sens à l’abri.
Ça fait presque une semaine que je la côtoie tous les jours et j’espérais qu’à force j’en viendrais à oublier l’effet ravageur de sa dissertation, mais au contraire, chaque minute passée en sa compagnie ne fait que l’attiser un peu plus. Il n’y a qu’à voir la réaction de mon hémisphère Sud en cet instant pour comprendre que je suis dans la merde.
-Le problème du potentiel, c'est que si on ne l'exploite pas, il se perd.