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Citations de M.J. Fields (21)


Chapitre 5 :

Trae

«…Je me déplace enfin.

— Courtney Cohen, vous et moi, on va faire une super équipe.

Elle soupire et demande :

— Et pourquoi ça ?

— Pour commencer, notre haine mutuelle de Boeheim, et…

Je fais quelques pas dans la pièce, avant de continuer :

— … Je suis tout ce qu’il vous reste, ma jolie. Vous vous êtes même mise à dos le Coach.

Elle déglutit et détourne le regard.

— Je n’ai pas besoin d’eux.

— Oh que si, j’argumente.

Elle me regarde à nouveau, le visage toujours déchiffrable, ne lâchant absolument rien. Mais le fait qu’elle ait rougi un peu plus tôt, qu’elle refuse de me regarder, me suffit à savoir que lui plais, et il est clair qu’elle me plait aussi. Fort de cette idée, j’ose une proposition.

— Laissez-moi vous inviter à diner. Je vais vous aider.

— M’aider ? souffle-t-elle. Je n’ai pas besoin d’aide.

— Ne soyez pas si dure. Ça arrivera de toute manière.

Je caresse son bras du bout des doigts. Elle suraute.

— Ce truc, cette attraction, ce qui pourrait arriver… entre nous.

Je me rapproche d’elle …»
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Chapitre 1 :

Courtney

«…— Salut, murmuré-je, ne voulant pas déranger les autres occupants de l’ascenseur.

— Alors, balance les infos. Sommes-nous riches ? Est-ce que je fais mes valises ? Laisse-moi répondre. Oui. Oui, je le suis ! En ce moment même, je lance des strings et l’imperméable le plus obscène que j’ai pu trouver dans mon nouveau sac LV et je me prépare à sortir en douce avec mon billet de première classe pour l’Espagne et à l’échanger contre un pour Seattle.

— Nous ne sommes pas riches. On est même en bonne voie pour la banqueroute, murmuré-je.

— Vraiment ? demande-t-elle à la fois choquée et déçue. Comment cela s’est-il passé ? Bon sang, Courtney, nous n’avons pas de diplôme d’études supérieures avant deux mois et nous sommes déjà en faillite ?

Elle soupire.

— Notre vie craint.

— Je sais, dis-je en suivant la foule qui sort de l’ascenseur. Je sais que cela semble être le cas, mais je vais faire une surprise à Brock, et je suis sûre qu’il a quelques idées sur ce que nous devrions faire.

— Bien sûr qu’il sait. Cet étalon de deux mètres est dans les starting-blocks, prêt à ce que tu le montes pour que ce fidèle destrier puisse t’emmener en guerre pour sauver votre stade…

— C’est un terrain. Le basket se joue sur un terrain.

— Tu as raison, dit-elle d’une voix semblable à celle d’un commentateur sportif. Il va galoper sur le terrain, et ensemble vous marquerez un but.

Je ne peux m’empêcher de rire.

— C’est un panier.

— C’est presque pareil, murmure-t-elle avant de reprendre sa voix de commentateur. Votre panier remportera le match, et vous irez à la finale de la Coupe Stanley, puis tout le monde achètera des billets pour la saison prochaine, et toi et ton étalon serez des héros.

Je ne prends même pas la peine de la corriger cette fois. Christa n’a jamais été aussi proche du sport que lorsqu’elle est traînée à un match de polo avec sa mamie. …»
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Chapitre 2 :
Melyssa
«… Si seulement il y avait quelqu’un pour me suivre moi aussi dans une cabine de toilettes. Soupir…
– Bonjour!
Je lève les yeux vers la voix et je suis immédiatement sans voix. Ma bouche s’assèche comme le Sahara, et mon estomac fait Macarena. Je ressens des papillons, des picotements, la houle d’un chœur d’anges à mille voix, tout ce que tu veux.
C’est lui. …»
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Chapitre 1 :
Sabato
«… Je me tiens devant le bureau de mon père, mon sang bouillonne et je vais le tuer. Je vais le tuer à mains nues. Je vais le faire lentement et de la manière la plus douloureuse que je puisse imaginer.
Mon téléphone vibre dans ma poche et je vois un message.
C’est Dominic. Tu es dedans ou dehors ?
Il ne me faut pas longtemps pour répondre, j’en suis.
Je me disais bien, j’ai entendu dire que tu avais acheté une maison à Jersey. Comment ton vieux père l’a pris, ça va le rendre méfiant ?
Non, ça ira. Il ne saura jamais ce qui lui pend au nez. …»
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Chapitre 3 :
«… – Bonjour ?
La voix vient de derrière. Je me retroune et aperçois une fille. Une belle fille. De longs cheveux noirs bouclés, des yeux en amande, la peau bronzée, des lèvres roses… exactement le corps que j’imagine duand je me touche.
Je hoche la tête, elle s’approche.
– J’arrive pas à croire que tu arrives à rester là sans vomir. Ça me retourne l’estomac.
Elle pose la main sur son ventre. Le tissu de son chemisier est tendu au niveau de sa poirtine.
Je n’ai l’habitude des femmes. Elles me mettent… mal à l’iase. Alors, je ne dis rien et je la regarde fixement.
Après un long moment inconfortable, elle s’excuse.
– Comme je suis malpolie ! Je m’appelle Luciana.
Je continue à la fixer, jusqu’à ce qu’elle rougisse et sourie.
– Excuse-moi de te le dire comme ça, mais tu es vraiment très beau. je ne peux pas m’empêcher de te fixer.
C’est drôle, je pense exactement la même chose d’elle. Mes yeux se détournent de son visage, retournent vers sa poirtine.
– Je… t’existe ? ...»
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Chapitre 1 : Pluie de verre
Florence, le 27 mai 1993 (7ans)
«… Elle rit, mais a de nouveau l’air triste.
— Je veux que tu aies tout ce qui pourra te rendre heureux, mon fils. Je parie qu’une femme peut être suffisant.
Je serre sa main un peu plus fort.
— Tu me suffis, Mama.
Elle éclate de nouveau de rire, plus fort cette fois.
— Tu es mon eroe, Sabato.
Elle enlève son collier, le porte à hauteur de son visage et l’embrasse.
— J’irais volontiers à la croce pour toi.
Elle me serre fort, et je sens qu’elle dit la vérité.
— Je t’aime si fort.
La pièce se met à trembler. Le monde autour de nous explose. Je deviens sourd.
Le bras de Mama m’entoure, tandis que mon dos frappe le sol en dessous de nous. J’essaie de regarder, mais elle fourre ma tête sous sa poitrine, quand il commence à pleuvoir du verre.
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Qu'est-ce qui est plus fort que la peur ? L'espoir, apparemment. A ce moment-là, je ressens de l'espoir pour la première fois.
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Chapitre 3 :
Laney
«… — Je ne connais pas ton nom, dis-je dans un geignement.
Il me lâche, s’éloigne légèrement.
— Dominic. Et toi ?
— Delaney. Laney. C’est Laney.
— Laney. Parfait.
Nous restons à nous regarder, et son regard glisse vers le bas. Je me sens soudain gênée et exposée. Je remets ma jupe, mon débardeur et mon soutien-gorge en place.
— Je sais que c’est fou. Je ne peux pas expliquer comment on est allés aussi loin aussi vite, et…
— Alors tu choisis de nier cette… cette attirance entre nous ?
Il rit, prend mes mains et les embrasse.
— Tu es plus forte que moi ?
Il lève mes bras et les tient contre le mur au-dessus de ma tête.
— Non.
— Et je ne suis pas assez fort pour nier cette sensation, ce désir, ce besoin de ravager ton corps. Sei bellissima...»
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Chapitre 2 :
Dominic
«… — Je le vois. Eh bien, merci pour le verre.
Je me penche pour lui murmurer à l’oreille :
— Il était gratuit.
J’inspire son doux parfum avant de reculer.
Elle hoche la tête.
— Évidemment.
— Je vous en offre une autre ?
Elle lève les yeux et rit sans un bruit.
— Je suis en train de gagner. J’ai trop bu. Je dois dessouler un peu pour pouvoir conduire.
— Buvez, amusez-vous, profitez, et passez la nuit avec moi.
Elle reste bouche bée.
— Vous avez au moins vingt-et-un ans, hein ?
— Oui, mais…
— J’ai une suite. Vous pouvez prendre le grand lit.
— Désolée, je crois que…
— Je vais aller jouer au poker, là-bas, dis-je en pointant vers la gauche. Quand vous aurez fini d’amuser les garçons et de vider ce casino de son argent, venez vous asseoir avec moi pendant que vous dessaoulez. Vous êtes une petite coccinelle bien chanceuse. J’ai besoin d’un peu de votre chance, et de quelque chose pour me distraire les yeux pendant que je prends le reste de leur argent.
Je prends sa main et l’embrasse, puis tourne les talons pour m’éloigner.»
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Chapitre 2 :
Nikolette
« … Il y eut un silence gênant qu’il décida d’interrompre.
— Tu fais du surf ?
— Je n’ai jamais essayé. Mais tu étais magnifique, dans l’eau.
Mon Dieu, je l’ai dit à voix haute.
Le coin de sa lèvre s’incurva légèrement.
— Enfin, je voulais dire…
— Ne t’en fais pas, Quatre. Je sais ce que tu voulais dire. Si ça peut t’aider, toi aussi, tu es magnifique, ici, sur la plage.
À mon tour, je souris en coin.
— Je reviens dans quelques heures, si ça t’intéresse.
J’acquiesçai en souriant. Puis je donnai un coup de pied dans le sable, toute excitée. Neptune me rendait toute excitée comme une petite fille.
— Je pense que ça me plairait.
— Je pense aussi. Combien de temps restes-tu ?
— Trois jours.
— Moi aussi. Je peux t’apprendre beaucoup de choses en trois jours, si tu es prête à relever le défi.
— J’aime les défis.
Son expression changea et il haussa un sourcil.
— Ah oui ?
— Hum-hum.
— Je vais te pousser à fond, Quatre.
Je n’étais plus dans le jeu depuis plusieurs mois, mais je savais qu’il me draguait.
— J’espère bien, Neptune.
Il se mordit la lèvre et me regarda de haut en bas…»
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Chapitre 1 :
Abe
« … Je flottai quelque temps en profitant d’un peu d'intimité, ce qui était impossible à la salle de sport ou sur la plage.
Puritain ou pas, c’était génial de pouvoir me promener le sexe à l’air en dehors de chez moi.
Je crus entendre des voix.
Lorsque j’ouvris les yeux, je vis trois femmes en train de me regarder bouche bée.
Mes oreilles ne m’avaient pas trompé.
Je plongeai rapidement le bas de mon corps sous l’eau et nageai jusqu’à l’autre côté de la piscine.
Elles pouffèrent de rire.
— Je peux vous aider, mesdames ?
La blonde sourit.
— Non, nous ne voulons pas vous interrompre.
Elle laissa tomber sa serviette et sauta dans la piscine.
La blonde riait comme une idiote, et j’essayais de ne pas paraître agacé, mais bon sang, j’étais interloqué par ce qui se passait. La brune bronzée sauta également dans l’eau tout en riant.
— Salut, voisin, dit-elle une fois remontée à la surface.
— Voisin ? demandai-je.
— Cette maison-là, c’est la nôtre. Tout est commun, la piscine, le jardin…
— Merde ! C’était censé être privé.
— Plus rien n’est privé, ici, dit la blonde en enlevant son haut avant de plonger.
— L’une de vous veut bien me passer mon short ?
— Ne t’en fais pas, mon grand, pas besoin de le cacher, nous avons déjà tout vu.
— Ah, c’est comme ça ?
Elles s’échangèrent des regards …»
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Chapitre 1 :
Cyrus

« … J’enlevai les vêtements du sèche-linge et tint la petite grenouillère rose en l’air.

— Elle tiendra dans ma poche, Birdie.

Cela la fit rire.

— Non, chérie, ça ne va pas, ajoutai-je. J’ai toujours des trucs qui tombent de mes poches, qui se perdent dans le canapé, entre les sièges de la voiture et tout ça.

— Je t’aime, dit-elle avec un plus grand sourire encore.

— Ah bon ? demandai-je en m’approchant d’elle avant de la soulever pour que son nez touche le mien.

— Oui, dit-elle en serrant ses jambes autour de moi, je t’aime tellement.

— Tu me fais bander.

Elle éclata de rire, la bouche grande ouverte et tout le tralala. Putain, elle était tellement belle, ma Birdie …»
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Chapitre 1 :
Carli
« … Je criai et bondis en avant, m’allongeant sur le ventre et roulant sur le côté. Dieu que ça faisait mal.
— Bébé, est-ce que c’était…
— Je crois que je viens de perdre les eaux, Jase.
J’eus une contraction et essayai de ne pas crier, mais cela faisait mal, c’était tellement douloureux.
— Putain !
Il se leva d’un bond et s’agenouilla au bord du lit de manière à être à quelques centimètres seulement de moi.
— Respire Bébé et ne t’arrête pas, compris ?
Je hochai la tête.
— Carly, putain, respire !
Je n’avais pas réalisé que je retenais ma respiration, mais lorsque j’expirai, ...»
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Chapitre 4 : M.Steel
Taelyn
«… Je le regardai et lui rendis son sourire. Il leva les yeux vers la serveuse et lui fit un clin d’œil.
— C’est bon. Merci, bébé.
Je levai les yeux au ciel et il me regarda avec curiosité.
— Ai-je fait quelque chose de mal ?
— Bébé ?
— C’est une habitude. Si je vous appelle ainsi, serez-vous offensée ?
— Modérément, mais je te le ferai savoir.
— Dure à cuir, hein ?
J’étais confuse et il pouvait le voir. Il rit encore. Connard arrogant. J’étais prête à lui faire savoir à quel point je n’étais pas affectée par lui...»
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Prologue :
«…Nous nous regardâmes tous. Putain, les choses allaient changer… merde.
Savoir que ce que nous avions gardé secret était sur le point d’être révélé allait changer les choses. Je ne cachais rien, pour quoi le ferai-je ?
— Cela ne changera pas qui nous sommes vraiment.
Momma nous regarda avec attention.»
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Chapitre 4 : Mon premier :
Bekah
«…Je m’apprêtais à m’éloigner lorsque Zandor me retint une nouvelle fois.
—J’ai besoin de te dire deux mots, chaton, c’est tout ce que e demande.
— Foutu et queue ?
— Tu vas prendre cher. Je vais…
— Me donner la fessée ?
— Bon sang. Si tu continues comme ça, nous ne serons bientôt plus des amis.
— Ah bon ? Et nous serons quoi ?
— Des copains, Bekah.
— Qu’elle est la différence ?
— Ma queue. En toi.
— Donc un copain ruinerait mon régime.
— Tu ne le regretterais pas.
...»
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Chapitre 2 : Régime :
Bekah
«…
— J’ai touché des tétons aujourd’hui.
Elle poussa un cri suraigu et se mit à taper des mains.
— Raconte, raconte !
Elle allait péter un câble lorsqu’elle saurait.
— J’ai observé Zandor…
— Répète son nom encore une fois.
— Quoi ? Pourquoi ?
Je la trouvais sympa, elle était marrante.
— Je l’aime bien, c’est sexy comme prénom. Qu’est-ce que tu dirais au lit ? Prends-moi, Zandor, plus fort Zandor ! OH ZANDOR !
— Ou alors, je dirais Z ? Baise-moi Z, plus fort Z, continue comme ça. Donne-moi une fessée ! Lèche ma chatte, Zandor Steel. Plus fort, continue comme ça !
Je hurlais littéralement et nous explosâmes toutes les deux d’un rire hystérique comme deux adolescentes… Rire qui fut interrompu par le bruit de quelqu’un qui frappait à la porte.
Je me rallongeai sur le canapé en tirant une couverture sur ma tête. Je savais très bien à quoi m’attendre dès qu’il rentrerait dans l’appartement : nous étions bons pour une seconde partie de jambes en l’air.
—Oh, je suis désolé...
— Zandor…
— Très marrant, Tiff.
J’arrachai brutalement la couverture qui cachait mon visage et le découvris debout, là.
Évidemment qu’il était juste là.
Je sentis que je virais au cramoisi et je dus faire un réel effort pour refermer ma bouche bée.
— Bekah.
— Zandor.
Dès que je prononçai son prénom, Tiff se mit à glousser. Je la fusillai du regard.

À la lueur dans ses yeux, je sus qu’il avait tout entendu. Oh mon Dieu, j’étais morte, raide morte. J’étais...»
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Chapitre 2 : Tony et moi :
Tara
« …
— Je sais bien que tu travailles. Moi aussi…
Il écrasa à nouveau la pédale de frein. Une fois la voiture arrêtée, il sortit et vint vers ma portière.
— S’il te plaît, non… Je t’en prie.
— Tu as peur, Tara ? Qui te protège tout le temps ? Qui s’occupe de toi ? Avant de te remettre à penser à cet enfoiré, n’oublie pas ça. Il te voudra pour une nuit, pas plus. Ce n’est pas lui qui passera un an de sa vie à faire quelque chose de toi.
Je voulais qu’il se calme. Je ne l’avais jamais vu ainsi.
— Tout va bien entre nous, Tony. Je n’ai envie de personne d’autre. Mais est-ce que tu vas bien ?
— Et voilà, c’est reparti ! Tu crois que je vends de la drogue ? Eh bien, ce n’était pas à moi, Tara, termina-t-il en crachant tellement il était ivre de rage.
Je ne savais pas quoi dire. Je me figeai sur place. Je savais très bien pourquoi Tony se comportait ainsi.»
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Chapitre 5 : La faire craquer :
Cyrus
« … En revanche le piercing était arraché.
— Tu t’es accroché dans quelque chose ?
Elle acquiesça en détournant le regard .
— Est-ce que c’est cet enfoiré qui a fait ça en te frappant ?
J’allais le tuer ce mec. Rien à foutre des conséquences ! J’essayai de me lever, mais elle agrippa le dossier du siège derrière moi.
— Il ne voulait pas le faire. Il est désolé. Mais si tu…
— Ce n’est pas ça, l’amour. Il est cinglé… Que dirait ta famille si elle savait ? Ils ne te laisseraient pas subir cela sans agir, n’est-ce pas ?
Elle haussa les épaules en me fusillant du regard.
— Je l’aime et tout cela ne te regarde pas. Quand le temps sera écoulé, va-t’en et laisse-moi tranquille.
— Tu aimes ça ? Sucer ce mec et te faire sauter en ligne ? Te faire frapper par un camé complètement taré ? Car à mes yeux, tu mérites mieux et tu es bien plus maligne que ça.
Elle avait l’air très énervée, mais je m’en foutais royalement.
— Tu n’es pas une pute pour moi.
...»
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Prologue : Jase :
- C'est notre mère, Abe. Maintenant, lève-toi et viens nous aider.
- Les quatre terreurs Steel ont peur de leur Momma, dit Abe en riant encore plus fort.
- C'est un truc de respect, frangin, dis-je en riant.
- Bon sang, oui, et un truc de famille, dit X en lui donnant une tape dans le dos.
- Elle nous a tous nourris au sein, intervient Zandor.
- Nous prenons soin des nôtres, Abe O'Donnell, et nous ne laissons entrer que quelques privilégiés dans le cercle familial.
Cyrus mit quelques bouteilles dans un sac-poubelle.
- Ils y viennent, Abe. Même s'ils croient qu'ils peuvent me rouler, c'est toujours Steel pour toujours.
Nous levâmes tous la tête et vîmes Momma à la porte de la terrasse.
Elle avait téléphoné depuis l'allée devant la maison.
- Steel pour toujours, reprîmes-nous en cœur.
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