Mme Haudouin ignorait tout de l'hygiène intime, et il fallait l'occasion d'un accouchement pour qu'elle consentît à porter le savon plus haut que la jarretière. Ce défaut d'hygiène (...) n'indiquait pas une répugnance de l'eau et du savon, car il arrivait à Mme Haudouin de se laver les pieds et toujours avec satisfaction ; il était simplement la conséquence d'une modestie chrétienne (...).
A vrai dire, la modestie de Mme Haudouin répandait une odeur un peu forte qui incommodait parfois son époux.