Mari Okazaki

Cela faisait longtemps que je voulais découvrir cette auteur, mais je ne m'étais jamais lancée... Ce retard est donc rattrapé, avec la lecture de "Shibuya love hotel", dont j'ai littéralement dévoré les 4 tomes parus en quelques heures !



Tout d'abord, le graphisme est juste splendide ! Une pure merveille : ) Cette mangaka possède un trait assuré et maîtrisé, et ses planches, certes très shôjô, sont toutes plus belles les unes que les autres... Les personnages ont des traits fins et agréables, et les décors sont parfois empreints d'un certain onirisme qui sert vraiment le récit.



Les histoires (plusieurs histoires courtes, et indépendantes) sont aussi touchantes que passionnantes. Elles font réfléchir, rendent parfois mélancoliques... L'auteur arrive à quitter un récit purement shôjô pour s'acheminer vers des réflexions plus matures, même si tous ses personnages -ou presque- sont encore au lycée.



Bref, une série qui peut toucher les jeunes... et les moins jeunes ; )

un peu moins de sexe et un peu plus d'histoire qu'au premier tome. Un humour et un dessin qui m'ont plu mais l'histoire n'est pas très intéressante et certains propos sexiste m'ont hérissé les poils

Beaucoup de sexe, de sensualité et un jolis dessin, mais l'histoire... ça raconte pas grand chose, enfin du moins pas à moi

Le début de ce manga peut faire peut par ses images qui peuvent faire croire que c’est une histoire assez osée. Mais plus on avance dedans, on se rends compte qu’au final pas du tout et l’histoire se concentre sur la naïveté et l’amour pour nos deux adolescentes et sur la méchanceté pour les deux autres personnages.

Ce livre peut concerner une grande partie de jeunes gens et faire réfléchir.

Yumi est mal créée, on a vraiment l’impression que c’est une jeune fille de mauvaise vie avec sa bouche volumineuse alors que c’est une jeune femme très sentimentale et très sensible.

Mari est plus mature est on apprécie beaucoup son caractère qui ne se laisse pas marcher sur les pieds.

La fin est assez bâclée. Le lecteur voudrait en savoir plus sur ce que va devenir Yumi, si elle va être heureuse, etc… et l’auteur nous laisse totalement sur notre faim, surtout quand on sait que ce manga est un tome unique.







Est-ce que j’ai aimé ce livre ?





J’ai apprécié le fait que l’auteur montre bien que la naïveté des jeunes gens peut être dangereuse pour eux et aussi les dessins bien fait hormis la bouche de Yumi qui est vraiment grotesque.

Sinon l’histoire est simpliste et ce manga est agréable à lire quand on veut lire quelque chose sans prise de tête.
Lien : http://lesangdeslivres.blogs..

Lien : http://www.lalunemauve.fr/ec..

Lien : http://www.lalunemauve.fr/ec..

j'ai acheté ce manga pour sa jolie couverture. Et bien le contenu est à l'image de cette dernière. Ce recueil de nouvelles est vraiment très beau, il nous fait entrer dans 4 univers totalement féminin et nous fait découvrir les complexités de la psychologie féminine.



La première nouvelle aborde le sujet de l'amour de 4 femmes pour un même homme, la seconde celui d'une femme délaissée par l'homme qu'elle aime et qu'elle ne parvient pas à quitter, la troisième celui d'un couple qui se déchire et la dernière celui d'une jeune fille kidnappée par un clown malheureux.



Entrez dans les détails serait vous révéler toute la magie que recèle chacune de ces nouvelles car tout en traitant de sujets purement réels, l'auteur nous fait entrer dans un univers onirique qui révèle la souffrance de ces femmes.



Enfin, les dessins sont délicats.



Si la lecture de la première nouvelle est un peu complexe car on va passe d'un récit à un autre, chacune de ses nouvelles est un vrai moment de plaisir.

j'ai acheté ce manga pour sa jolie couverture. Et bien le contenu est à l'image de cette dernière. Ce recueil de nouvelles est vraiment très beau, il nous fait entrer dans 4 univers totalement féminin et nous fait découvrir les complexités de la psychologie féminine.



La première nouvelle aborde le sujet de l'amour de 4 femmes pour un même homme, la seconde celui d'une femme délaissée par l'homme qu'elle aime et qu'elle ne parvient pas à quitter, la troisième celui d'un couple qui se déchire et la dernière celui d'une jeune fille kidnappée par un clown malheureux.



Entrez dans les détails serait vous révéler toute la magie que recèle chacune de ces nouvelles car tout en traitant de sujets purement réels, l'auteur nous fait entrer dans un univers onirique qui révèle la souffrance de ces femmes.



Enfin, les dessins sont délicats.



Si la lecture de la première nouvelle est un peu complexe car on va passe d'un récit à un autre, chacune de ses nouvelles est un vrai moment de plaisir.

Ces histoires-là sont simples mais pourtant complexes. Les événements sont inhabituels, pas forcément courants, plutôt rares. Mais chaque personnage fait ressortir quelque chose, chacune des héroïnes a des soucis, les rumine, les exprime, sombre avec ou non.



On nous montre un quotidien, des personnages pouvant être la voisine d’à côté mais à qui on n’a jamais parlé. Il y a souvent une touche de fantasy, peut-être même que toutes sont concernées si on les regarde de façon plus large.



Le style du dessin est rond, doux, les traits sont particuliers à cette auteur. C’est un manga dont il ressort un sentiment féerique et où toute pudeur est balayée d’un geste.



Il est très agréable, une douce chaleur se tire de ces histoires, parfois triste, parfois plus gaie, ou allant jusqu’à l’étrange, nous avons ici tout un panel des émotions, le plus présent restant la mélancolie.
Lien : http://onirik.net/Le-cocon-A..

En lisant le résumé, on peut se dire qu’on tombe sur une énième histoire de triangle amoureux... Eh bien le résumé ici est vraiment trompeur.



Nous avons notre héroïne, qui mitraille littéralement ses amies en permanence, une héroïne pour qui le déclenchement de l’appareil photo est le plus beau son du monde, un son qui la rattache à sa passion, d’où le titre !



Elle sait ce qu’elle veut faire, mais comme toute lycéenne qui se respecte, pour elle, l’avenir est quelque chose d’encore loin. Elle sait vers quoi elle veut se tourner, la photographie, mais ce monde est à part. C’est alors qu’elle rencontre Asai, qui la booste, l’énerve, la motive, la manipule pour lui faire faire un concours.



Les personnages se croisent, les liens se tissent, il est fabuleux de voir l’esprit des trois filles se développer en profondeur, alors que le pauvre jeune homme n’évolue pas. Il est très agréable d’avoir une héroïne comme l’est Maki, son amie qu’elle prend pour modèle est elle aussi un brin de fille attachante, et Sai la "rivale" montre une volonté d’enfer face à notre jolie brune.



L’amour avec un grand A est primaire, il se ressent dans une douce mélancolie... Mais nous sommes bien loin de tomber dans un triangle amoureux bas de gamme, nous sommes dans une espèce de bulle qui nous transporte avec le style graphique si commun à cette mangaka et qui ici va à la perfection avec l’histoire que l’on suit.



Tout le tome se concentre sur l’histoire de ce déclic, de ce bruit qui fait toute la différence. C’est un one shot vraiment agréable !
Lien : http://www.onirik.net/Declic..

A l’occasion du thème “Romance et érotisme” sélectionnée pour le mois de février dans le challenge Sur les pages du Japon, je me suis dit que c’était l’occasion de découvrir un One shot. La sélection s’est donc faite, grâce aux conseils de ma soeur, parmi les ouvrages proposés par ma bibliothèque municipale (qui est toute neuve et bien fournie).

Je suis partie avec un a priori assez négatif, imaginant une histoire très mièvre. Au final elle se lit bien, même si la naïveté y est assez présente.

Lire la suite :

http://www.bizzetmiel.com/2013/02/mari-okazaki-effleurer-le-ciel.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..

J'ai enfin terminé la merveilleuse série de Mari Okazaki: Complément Affectif (pas de spoilers dans la critique!).



A l'époque ce qui m'a décidé à commencer cette saga, c'est la beauté des couvertures.



Le dessin et la mise en page sont d'ailleurs des point fort du manga. Les héroïnes sont expressives, leurs vêtements à tomber. La mise en scène apporte un côté mélancolique et doux à l'histoire (même si elle peut peut-être paraitre confuse à des non lecteurs de BD japonnaises). En lisant le tome 11 (ce n'est pas un vrai tome, c'est plus un tome bonus, avec images, interviews...) on apprend que Mari Okazaki, porte une très grande attention à ses dessins pour elle c'est primordial dans un manga.



Personnellement, même si le dessin est beau, si derrière le scénario ne suit pas j'ai souvent tendance à laisser tomber. Mais ici tout me plait, les thèmes bien sûr, mais aussi la sensibilité et la finesse avec lesquelles ils sont traités. Parce que les questions que se pose Minami Fuji, c'est un peu le reflet de nos interrogations de femmes du XXIème siècle, qui essayons de conjuguer vie sentimentale, vie professionnelle épanouissante et pression sociale.
Lien : http://camdreybricolent.cana..

Quand même assez embrouillé et décousu, bof.

Moui, pourquoi pas? Intègre des pièces manquante au récit de base (mais pourquoi ne pas les avoir inclues tout de suite?) Réponds à des questions de lecteurs fans: moyen,...

J'avais arrêté ma lecture en cours de série... Je l'ai reprise un peu au hasard à ce tome et me dit qu'elle est quand même pas mal foutue, mais à conseiller et réserver plutôt à un public d'initiés (en manga, en culture nippone, en jeunes cadres dynamiques, en amoureuses fleurs bleues,...) En général aussi: très beaux dessins aux techniques variées mais bien souvent de trop grands yeux (à mon goût!)

Mari Okazaki est une grande figure des shojo, les mangas pour jeunes filles. Déclic amoureux est son tout premier livre. Maki, lycéenne et photographe amateur fait la connaissance d’Asia, un pro. Une compétition va naître entre la jeune fille et la compagne du photographe.



Bon disons-le tout de suite, je me suis ennuyée comme pas possible… Malheureusement, rien ne me plait ici ! L’intrigue est creuse et la fin m’a paru désastreuse.



Le dessin n’a pas su me toucher. En fait, je n’aime pas le coup de crayon de Mari Okazaki. Aussitôt lu, aussitôt revendu, ce manga ne restera pas longtemps dans mon esprit.



Je relirai peut-être d’autres Okazaki car après tout, c’est une œuvre de jeunesse. Et j’aimerai savoir si elle arrivera à me captiver avec d’autres mangas. Je mets 3/10 car malgré tous ces défauts, je trouve l’idée de départ très bonne, dommage qu’elle n’a pas été développée comme je l’aurais voulu.
Lien : http://iluze.wordpress.com/2..

Voici un manga qui regroupe cinq nouvelles qui laissent une grande place au côté yuri (relations homosexuelles féminines) dans la trame narrative. Pour exemple, la première nouvelle donne lieu à l'installation de la cousine de notre personnage féminine. Et cette arrivée vient perturber l'équilibre de notre héroïne, troublée par cette grâce toute féminine si différente d'elle-même.

En ce qui concerne la seconde nouvelle, elle m'a largement fait penser à "Ponyo sur la falaise" de Miyasaki (film d'animation que j'avais adoré). La nouvelle est placée sous le signe de l'onirisme avec une jeune femme, Moeko, qui en promenant son chien tombe sur une plante qui prend peu à peu visage humain. Et de fil en aiguille la jeune pousse qui va être personnifiée sous le nom de Kusako va attirer toute la sympathie et toute l'affection de notre protagoniste. Quand la nature devient un prétexte à l'évasion et à l'abandon, le réalisme perd de son intérêt et en devient tout juste secondaire.

Dans la troisième nouvelle c'est là aussi une histoire anecdotique qui met en scène deux jeunes femmes, deux êtres à la dérive. Ce qui les lie? Elles sont voisines et l'une en crise de somnambulisme vient toujours à terminer ses nuits devant la porte de la seconde. Message caché, besoin de prise en charge? Quoi qu'il en soit la belle voisine endormie réveille des sentiments étranges chez notre narratrice qui entre irritabilité, curiosité grandissante et malaise en vient à redouter les nuits, à craindre cette intrusion inconsciente.

Dans la quatrième nouvelle nous intégrons l'univers scolaire où plutôt l'absentéisme scolaire avec une jeune fille qui vient porter les cours à une camarade qui déserte les bancs de l'école. En effectuant le portage elle tombe toujours sur la chambre du grand frère, jouxtant celle de son amie. Et ce huis-clos familial, ce voyeurisme tout juste caché suscite chez les uns et les autres des désirs de toujours pousser plus loin la porte des intimités. Et si le grand frère entrait dans le jeu en tentant de séparer les deux amies?

Dans la dernière nouvelle on retourne à l'école avec l'arrivée d'une nouvelle professeur qui est bien loin de faire l'unanimité chez ses élèves. Seul notre protagoniste semble éprouver un vif intérêt à cette nouvelle arrivée qui tente tant bien que mal de donner vie à la musique chez ses adolescents en quête de sens.



Une piste domine dans ces nouvelles, celle de la nécessité de fuir la solitude. On sent confusément que les personnages, essentiellement féminins, sont des êtres fragiles et dont le mal de vivre trouve un peu d'apaisement dans la cohabitation avec les autres. Quant au titre, il s'avère assez énigmatique car il fait référence à la première nouvelle et désigne la sueur de la jeune cousine tout juste débarquée qui sent l'homme. Cette confusion des genres, des sens accentue l'ambigüité des sexes, et nous amène à croire que même si cette mention de sueur est désagréable, l'odeur de miel est elle attractive. Entre rejet et fascination, nos personnages sont donc sujets à des émotions contraires qu'ils ne contrôlent pas.

En définitive, c'est un recueil qui m'a laissé perplexe car les images sont belles, les histoires sont très diverses mais on ne voit pas trop où le mangaka veut nous mener. On arrive à chaque dénouement en se disant qu'on n'a peut-être pas cerné le fin mot de l'histoire. Tout est en suggestion, en poésie on se dit que la subtilité nous échappe peut-être, mais on se laisse volontiers emporter dans le flot des sentiments.

Pour ce manga, je suis mitigée au niveau des dessins et plutôt conquise par ses histoires.



Donc, cette lecture aurait pu être un coup de cœur si je n'avais pas été autant dérangée par l'aspect des dessins. Surtout pour la première et la troisième histoire.



En fait, le dessin est loin d'être laid, mais je l'ai trouvé très académique. Pas de nuance ou de facilité de déplacement pour les actions. Ce qui a donné un tout assez figé et c'est bien dommage.



Les courbes des personnages étaient un peu trop raides... Il n'y avait pas assez de courbes en fait. Trop d'angles un peu trop carrés.



Je me suis demandée si les trois histoires avaient été écrites à la suite où si elles dataient toutes d'une période différente. Pourquoi m'être posée cette question ? Tout simplement car j'ai trouvé la deuxième histoire beaucoup plus fine au niveau des traits. Plus de sentiments en ressortaient. En fait, ils étaient, selon moi, beaucoup plus travaillés.



La suite sur mon blog =)
Lien : http://bookacroc.blogspot.co..

(...) Fujii est d’abord un personnage dont la maladresse dans les relations humaines la réduit à ruminer et attendre après des mails plutôt que de communiquer directement. Ce serait oublier l’essence de la personne, ce pourquoi Fujii se lève chaque jour : créer une publicité qui toucherait profondément au moins une personne. Cette femme, qui redécouvre la vie avec d’autres personnes qu’une exclusive, se lance alors avec encore plus de force sur son chemin. Et alors, sa vie prend une autre couleur (...)
Lien : http://blog.rosalys.net/post..

Lecture jeune, n°119 - Minami Fujii est une jeune femme de vingt-sept ans qui travaille dans la publicité. Sa vie va totalement changer à la suite de sa rupture avec son ami. Sept ans de vie amoureuse s’évaporent en laissant place aux incertitudes et au manque affectif. Après avoir travaillé dans la publicité, Mari Okazaki a décidé de devenir mangaka pour notre grand plaisir. Son trait est délicat, sensuel, vivant, et sa réflexion sur les relations amoureuses est d’une grande justesse et richesse. Son style est tout à fait singulier. Dans ce shôjo esthétisant, les trames sont très peu utilisées, renforçant l’impression de pureté qui émane de cet univers graphique. L’absence de cadres rigides, très utilisés dans les shônen, permet une retranscription plus fidèle des événements de la vie quotidienne et des pensées de Minami. ? Sonia Seddiki