AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Marie Gloris Bardiaux-Vaïente (41)


Mon corps, mon choix.
Commenter  J’apprécie          340
- Tu ne feras plus le lit de tes frères.
- Ce jour-là, j’ai gagné mon premier bout de liberté.
J’ai décidé que mes mots, cette arme absolue pour défendre, expliquer, convaincre, se prononceraient toujours dans la plus absolue des libertés…
… Et dans l’irrespect de toute institution.
Commenter  J’apprécie          301
Je n’ai pas à être la bonniche de mes frères. Tout ça parce que je suis une fille ?!
Commenter  J’apprécie          240
Ce n’est pas l’avortement qui tue, c’est l’absence de loi.
Commenter  J’apprécie          10
Quatre femmes comparaissent devant quatre hommes. […] Est-ce que l’injustice ne commence pas là ?
Commenter  J’apprécie          20
D’abord, monsieur le juge, je veux dire que je ne me sens pas coupable.
C’est votre loi qui est coupable.
Commenter  J’apprécie          00
- Francoise....
-Tap...Tap...Tap... (elle tape à la machine)
- Tu as entendu l'interdiction du président Casanova....
.... l'ordre de ne pas divulguer les débats dans la presse.
- Et ?...
Je mets quiconque au défi de me poursuivre !
-Tap... Tap... Tap
- Pffff....
Commenter  J’apprécie          10
La première urgence pour une femme violée, c'est d'effacer les traces.
Car elle a honte, Monsieur le Procureur ! Elle a honte !
Et pourquoi aurait-elle honte d'un crime que l'on vient de perpétrer contre elle, allez-vous me demander ?
Parce que les femmes savent que dans notre société, la suspicion pèse sur toutes les victimes de violences sexuelles !
La société les fait se sentir coupables d'avoir été violées. voilà pourquoi les femmes ne portent pas plainte !
Et vous-même, ici, dans ce tribunal, vous mettez en doute le récit de ma cliente ! Vous faites partie du problème, Monsieur le Procureur !
Commenter  J’apprécie          00
Ce n’est pas l’avortement qui tue. C’est l’absence de loi.
Commenter  J’apprécie          140
La contraception, mon choix. L’avortement, mon ultime recours. Donner la vie…ma liberté!
Commenter  J’apprécie          180
Nos pertes ont été importantes, mais seul compte le résultat. Et aujourd'hui, nous sommes vainqueurs.
Commenter  J’apprécie          10
Ce jugement est un pas irréversible… vers un changement de la loi.
Commenter  J’apprécie          30
C’est un choix personnel. Je n’ai demandé l’avis de personne ni pour avoir un enfant, ni pour ne pas en avoir.
J’estime que le choix en revient à moi-même puisque c’est moi qui le porte et qui l’élève.
Commenter  J’apprécie          40
- S(il n'appartient pas aux juges d'abroger la loi ni de la modifier, ils peuvent faire ce qui leur semble juste ...
- ...Il faut avoir le courage de faire ce que l'on peut.

(pages 186 et 187)
Commenter  J’apprécie          20
L'histoire nous montre que les grands débats qui ont divisé un moment les français apparaissent avec le recul du temps comme une étape nécessaire à la formation d'un nouveau consensus social, qui s'inscrit dans la tradition de tolérance et de mesure de notre pays.
Je ne suis pas de ceux et de celles qui redoutent l'avenir.

(page 183)
Commenter  J’apprécie          20
Ce n'est pas l'avortement qui tue. C'est l'absence de loi.

(page 159)
Commenter  J’apprécie          30
On m'a fait un curetage à vif. J'avais 19 ans.
C'est l'un des souvenirs les plus abominables de ma vie.
Pas tant à cause de l'atroce douleur qu'à cause du sentiment qu'on m'avait torturée volontairement. C'est ma liberté de femme qui était sanctionnée. Pour me rappeler que je dépendais des hommes.
J'entends encore la voix mauvaise du jeune médecin sadiue qui s'était occupé de moi ... Comme ça tu ne recommenceras plus.
Ce en quoi il se trompait.

(pages 142 et 143)
Commenter  J’apprécie          10
Je sais que j'ai enfreint la loi. mais sur le plan humain, je n'ai pas conscience d'avoir mal agi.

(page 94)
Commenter  J’apprécie          40
Et pourquoi aurait-elle honte d'un crime que l'on vient de perpétrer contre elle, allez-vous me demander ?
Parce que les femmes savent que dans notre société, la suspicion pèse sur toutes les victimes de violences sexuelles !
La société les fait se sentir coupable d'avoir été violées. Voilà pourquoi les femmes ne portent pas plainte !
Et vous-même, ici, vous mettez en doute le récit de ma cliente !
Vous faites partie du problème, Monsieur le Procureur !

(pages 76 et 77)
Commenter  J’apprécie          10
Un enfant, c'est un choix ! L'avortement doit être un droit !

(page 48)
Commenter  J’apprécie          90



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Auteurs proches de Marie Gloris Bardiaux-Vaïente
Lecteurs de Marie Gloris Bardiaux-Vaïente (730)Voir plus

Quiz Voir plus

L'inconnu du donjon d'Evelyne Brisou-Pellen

Comment se prénomme notre jeune héros?

Guilhem
Garin
Trousse quelquechose
Torticolis

20 questions
422 lecteurs ont répondu
Thème : Garin Trousseboeuf, tome 1 : L'inconnu du donjon de Evelyne Brisou-PellenCréer un quiz sur cet auteur

{* *}