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Citations de Marie-Pierre Dillenseger (67)


Quand rien n’avance, deux freins sont à l’œuvre : le timing n’est pas au rendez-vous, ou la personne n’est pas prête. S’agiter, blâmer l’univers et piquer une crise est inutile. Mieux vaut aller faire un tour du pâté de maison et mettre de l’ordre dans ses affaires en attendant.
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Si la longévité est un objectif, il convient, pour préserver son énergie, de chevaucher en tenant compte des forces extérieures et de se concentrer sur les qualités de fond. Emprunter de l’énergie au temps et à l’espace – ou simplement s’aligner sur eux – s’avérera payant sur le long terme.

Ma pratique ne protège pas de la souffrance. Elle procure perspective et visibilité. Elle ne prédit pas l'avenir. Elle permet d'identifier les moments où le vent souffle favorablement. Elle fournit une feuille de route, indiquant les étapes où les forces en jeu sont avec nous ou contre nous.
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Les lieux, les personnes, les moments sont porteurs d’énergie. Cette énergie est comparable à de la nourriture. Elle peut nous alimenter ou nous empoisonner.
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Dans la tradition chinoise, l’objectif premier est le renforcement de l’énergie vitale. Cette vitalité peut être dilapidée ou investie sagement. (...) Le bon moment donne de la puissance aux projets.
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Le bonheur n’est ni un dû, ni un droit ni un acquis. il s’apprivoise. Il doit se sentir accueilli, protégé, compris.
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« Pousser ses limites signifie souvent reprendre un cheminement interrompu par les circonstances. Confrontée à un danger, mal accompagnée, la personne a calé, puis est restée définie par le traumatisme. Les critiques, les reproches et l’absence de bienveillance cristallisent les peurs et gèlent les forces vives. »
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« Osons nous souvenir de moments où nous étions heureux, actifs, à notre place. Ces forces ne nous ont pas quittés, elles se sont juste repliées, au plus profond de nous. Elles attendent notre bienveillance à leur égard, c’est-à-dire notre attention à nous même. »
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« La sagesse chinoise enseigne que le vide appelle le plein. En d’autres termes, le passage à vide est une phase naturelle de tout processus de construction. »
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Remercions nos cicatrices car elles sont la preuve que nous avons passé les obstacles. Elles sont le signe d’épreuves dont nous sommes sortis vivants.
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Marie-Pierre Dillenseger
Apprenons à remercier plus qu'on ne le fait, chaque jour où tout va bien et pour ce que nous avons.
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Pourquoi se perpétuent tant de souffrance, de lutte et de désespoir ? Sommes-nous incapables d’apprendre de l’Histoire et des histoires qui nous ont précédés ? Pourquoi rejouons-nous, génération après génération, à l’échelle individuelle et à l’échelle de l’humanité, toutes les tragédies grecques ?
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Une société qui ne respecte pas les animaux n’est pas connectée à son humanité. Une société qui ne respecte pas ses fous perd la tête. Un être humain se doit avant tout chose d’être.
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Les Amérindiens ne croient pas à une vie d’après, mais en l’immortalité. « Nos âmes quittent le corps et entrent dans le monde des esprits où ils peuvent communiquer librement avec ceux des plantes, des animaux et des hommes. »
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S’incarner est un processus qui prend du temps, une épreuve qui exige de la résilience et demande des efforts. C’est aussi un processus qui nous permet d’aller au-devant de nous-mêmes et de nos qualités profondes…
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Nous incarner n'est pas réussir à faire ce que nos parents, nos professeurs et la société attendent de nous, mais plutôt d'entrer en cohérence avec l'être que nous sommes.
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Nous avons tous le droit de caler, de pleurer et de nous asseoir sur le bas-côté en refusant la suite. Il est un temps pour avancer et un temps pour se poser. Cependant, dans la vie comme en randonnée, il n'est pas possible de retarder indéfiniment la remise en route après une épreuve. Tant que nous sommes en vie, les forces du mouvement (forces dynamiques, dites yang) vont revenir frapper à notre porte. Arrive un moment où l'inertie (force de résistance, dite yin) est plus pénalisante que de se laisser porter par le courant. Il faut alors se mettre debout et poser un pied devant l'autre.
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Parce que chaque vie est unique, une part de notre expérience et de nos ressentis n'est pas partageable, aussi douloureux que cela puisse être. Nous devons cheminer seuls pour identifier, comprendre et assumer nos forces. Elles sont toujours plus importantes que nous le pensons.
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Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure.
(Pensée Navajo)
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Ce qui est en repos est facile à tenir. Ce qui n'a point éclos facile à prévenir. Ce qui est frêle facile à briser. Ce qui n'est point massif facile à disperser. Lao Tseu
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Parler avec le cœur, symbole par excellence de la vie, est subversif. Martin Luther King et Nelson Mandela l'ont montré. La puissance vibratoire de leurs paroles irrite. les forces conservatrices.
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Normandie : 1870

"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩‍🦰👩‍🦰👩‍🦰

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Thèmes : guerre , Guerre franco-allemande (1870-1871) , littérature , nouvelles réalistes , contesCréer un quiz sur cet auteur

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