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Critiques de Marie Roger (22)
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Ce qui nous sépare

Iris et Léa se sont aimées profondément à l'adolescence, puis brutalement séparées par la famille de cette dernière.

Chacune a suivi son chemin en tentant d'oublier l'autre.

Mais bien des années plus tard, Léa retrouve Iris.



Sont-elles prêtes à dépasser les jugements et à s'aimer à nouveau ?



Un court roman très pertinent !



J'ai beaucoup aimé ce roman, petit par sa taille, un peu plus de cents pages, mais grand par la réflexion qu'il apporte, celle de réveiller ENFIN les consciences.



Une histoire émouvante, poignante, rebondissante, bien écrite, qui devrait être lue par tous les parents d'adolescents, parce que quand même, en 2023, il est vraiment temps qu'il n'y ait plus de différences ! L'amour est universel !



Je vous invite vivement à decouvrir ce récit sensible.
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L'ostracisme

Dans ce roman, Marie Roger casse les codes. C'est sous une dictature, que des centaines d'années après la fin de notre planète, les quelques survivants sont obligés d'évoluer. Plus de libertés. On ne vit que pour vouer sa vie à la Sphère. L'homosexualité est devenue la norme. Et penser vivre autrement, c'est se condamner à une mort sans appel.

C'est un roman qui se lit très rapidement, et cependant, renferme bien plus de sujet tabou ou choquant que bien d'autres romans : élevage humain, sexualité, norme de société, violence, dictature ...

Tout est écrit de manière fluide et crue, l'autrice ne prend pas de gants et nous expose cette civilisation future dans les moindre détails.

Et si c'était cela notre avenir ?

Une lecture originale, un roman très différent, et un final qui donne à réfléchir.

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D'amour et d'amitié

Je ne regrette pas du tout que l’auteure m’est proposé par message de lire un de ses romans car j’ai adoré ma lecture.

Je me suis posée dans mon canapé ce dimanche pour lire ce roman de 100 pages. Peu de pages mais que de découvertes. Petite pépite ce roman.

Nous rencontrons deux amis d’enfance Alexandre et Jules qui ce sont toujours soutenus au risque de perturber leur vie de famille ! Mais se connaissait il vraiment?

Nous retrouvons dans ce roman de l’émotion, du suspens, une ode à l’amitié, de la jalousie, de la bêtise humaine.

Mais surtout il nous faut réagir sur le fait qu’il y a encore un gros travail à faire sur la mentalité des gens sur certains points ( je ne veux pas spoiler).

La fin est surprenante

L’écriture de Marie est limpide. Chaque chapitre commence par une citation : j’adore



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L'ostracisme

Alors pour être honnête, je ne sais pas du tout comment parler de cette lecture. Je l'ai trouvé très déconcertante et en même temps tellement intelligente. C'est vraiment très contradictoire et complexe comme ressenti. Je ne suis pas souvent remuée comme je le suis aujourd'hui.



Il y a un potentiel énorme dans l'idée de base de la trame scénaristique, mais j'ai eu l'impression qu'une tornade m'était passée dessus durant ma lecture. Si je dis cela, c'est que tout s'enchaîne puissance dix mille en très peu de chapitre et j'ai été secouée comme un prunier. Je digérais à peine un événement, qu'un autre arrivait et ainsi de suite. Je ne sais pas si c'était l'effet escompté de l'autrice de faire ressentir cette sensation de vitesse, mais si c'est le cas, et bien c'est réussi.



C'est une bombe à retardement, le rythme par sa cadence intense ne m'a pas épargné intérieurement. Les sujets abordés sont surprenants dans la façon qu'ils ont d'être traités par la plume incisive et brutale de l'autrice. J'ai ressenti une sonorité ressemblant à un rap ou un slam dans la tournure et l'écriture des phrases. Aucun temps mort, comme si la survie de toute une communauté en dépendait. Je vois cet ouvrage comme une ode à la tolérance et au respect de chacun qu'importe les différences et les orientations sexuelles.



Je regrette cependant que l'ambiance ainsi que l'univers ne soient pas assez développés et plus approfondis. Au niveau des protagonistes, nous avons une « Titania » forte et rebelle, mais j'ai ressenti un manque de construction au niveau de son profil psychologique. J'ai eu du mal à m'immerger en elle, car c'était selon mon point de vue trop en surface. Mais là encore, c'était peut-être un choix conscient et voulu par l'autrice.



J'aurai vraiment adoré voir comment les liens entre les divers personnages ont commencé à se tisser, car je me suis sentie un peu déroutée face à la construction du scénario. J'étais un peu comme un pauvre agneau au milieu d'une grande forêt trop vaste et inconnue pour moi. Je pense qu'une introduction pour poser les bases et les fondements plus profondément ne serait pas de refus.



Néanmoins, cette histoire regorge d'idées fabuleuses qui peuvent être exploitées avec encore plus de force et de précision pour un rendu vraiment fantastique. Il y a quelque chose de vivant, de vrai et de troublant tant cela pourrait faire partie de notre réalité un jour ou l'autre. D'autant plus que l'autrice nous offre une ribambelle de protagonistes tous plus intéressants les uns que les autres, malgré quelques fragilités au niveau de leur développement psychologique. Cela reste bien évidemment un ressenti personnel.



Je pense en tous les cas que « L'ostracisme » mérite d'être lu, car ce livre peut avoir un impact très important sur la vision de notre société actuelle.
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D'amour et d'amitié

Jules et Alexandre sont amis depuis l’école primaire. Jules est un ancien policier, en grave dépression depuis une rupture amoureuse. Alexandre est surveillant de nuit dans un musée.

Lorsqu’Alexandre est assassiné sauvagement, Jules veut retrouver qui a tué son meilleur ami. Cette enquête va le mener dans un monde inconnu pour lui…

J’ai beaucoup aimé pour cette histoire magnifique et très émouvante. Les chapitres sont courts et rythmés. La plume de l’auteur est légère et sensible. Le suspens est présent jusqu’au bout.

Dans son roman, l’auteure traite de l’homosexualité masculine au travers d’une enquête policière.
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D'amour et d'amitié

Dans ce roman d'une centaine de pages, l'autrice Marie Roger, va réussir à nous faire réfléchir sur la tolérance et les préjugés qu'on encore beaucoup de personnes à l'heure actuelle.

On y suit deux personnages principalement, amis d'enfance, a l'opposé l'un de l'autre. Si Jules à perdu foi en ce qui l'entoure, jusqu'à se detruire lui-même et cela suite à une rupture sentimentale extrêmement douloureuse, Alexandre semble vivre une vie épanouie et être heureux en couple.

Mais souvent, les apparences sont trompeuses ...

C'est une découverte livresque surprenante. Même si j'aurais apprécié que certains évènements soient plus approfondi, le récit de leurs parcours est bien écrit, mêlant passé et présent jusqu'à nous emmener au cœur d'une enquête policière.

Et si j'ai bien accroché aux divers personnages, c'est sur cette fin des plus questionnante, que mon avis sera le plus important. Il faut lire ce livre pour en comprendre mon raisonnement, mais le dénouement en est le véritable sens de ce roman.
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D'amour et d'amitié

Certains se souviennent peut-être d’une chanson de Pierre Vassiliu « Amour Amitié » qui portait un titre quasi-semblable au court roman de Marie Roger. Je conseillerai au lecteur d’écouter cette perle oubliée de la chanson française avant de se lancer dans le récit de l’autrice.

Il rend bien compte de l’atmosphère douce-amère qui ressort des aventures de Jules, Alexandre, Esther Louise et Lucie.

On sort de là, un peu tourneboulé même si le message d’espoir surnage. Le lecteur se posera sûrement des questions sur sa vie, ses inclinations et la tolérance qu’il peut avoir envers les autres.

Le thème ? Jules a complètement plongé dans une la dépression a l’issue d’une rupture amoureuse. Seul son ami Alexandre le soutient mais il va bientôt se trouver mêlé à des meurtres mystérieux qui ensanglantent Paris…

Le roman mêle avec une certaine habilité les codes du thriller, de la romance et du récit psychologique.

La plume de Marie Roger permet à un récit truffé de coups de théâtre de nous emmener à son terme sans heurts.

On ne sent pas passer le temps en le lisant ce qui est une grande qualité.

Les personnages sont bien typés. Jules est assez agaçant dans ses emportements et son auto-apitoiement aveugle. Il prendra sûrement envie au lecteur de lui envoyer quelques baffes mais Marie Roger arrive et c’est toute à son talent de dégager une certaine empathie envers lui.

Le personnage d ‘Alexandre est la plus grande réussite du livre. Émouvant de par son dévouement, on en vient à comprendre qu’à défaut d’être le héros de l’histoire, il en est le pivot essentiel.

Les autres Lucie, Lola, Louise, Derek et Esther sont eux aussi l’objet par leur portrait de jolis morceaux de bravoure de la part de l’auteure. C’est un véritable exploit de la part de Marie Roger que nous faire éprouver de la sympathie pour tous ces personnages. Peut-être parce que pour une part, même sombre, ils nous ressemblent ?

Le suspens et un dénouement surprenant font encore plus pour le charme du récit.

Alors, un bon livre ? Oui mais on regrettera un peu que certaines scènes( le ber homo, l'enquête) et situations n’aient pas été un peu plus développées…

A lire donc, une autrice qui mérite d’être encouragée et qui nous enchantera encore plus lors de son prochain opus, soyons en sûr

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D'amour et d'amitié

Non, mais c’est quoi toutes ces pépites que nous écrit l’autrice ! C’est le troisième livre que je lis d’elle, troisième genre, et elle gère toujours autant. Je veux une adaptation en mini-série !



Il faut quand même que je l’avoue, au début j’étais un peu sceptique, je me demandais dans quoi j’étais tombée parce que je ne reconnaissais pas le style, mais après quelques pages, impossible de décrocher. Cette fois au niveau de la longueur, on a juste ce qu’il nous faut, pas besoin de plus. On est tenu jusqu’aux dernières lignes et c’est le choc, tout s’emboite, la logique même. Tu peux remettre les choses en question pour savoir comment c’est envisageable d’en arriver là. Ça l’est, mais c’est complètement dingue !



J’ai eu un peu de mal au début, parce que je me suis perdue entre les différents personnages et leur profession, mais la difficulté s’oublie vite.



Une vraie enquête comme je les aime, un mystère et un coupable. Franchement, si vous aimez les policiers, foncez !



Donc évidemment, je recommande à 100%
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Ce qui nous sépare

Non, mais c’est quoi cette bombe ?! Clairement pas prête…



L’histoire est horrible, mais si émouvante en même temps. C’est terrible de se dire que certaines personnes pensent ainsi encore aujourd’hui, je n’étais pas préparé mentalement à lire ça. Alors je vous rassure, il n’y a rien de terrible physiquement, mais ce genre de récit peut concerner beaucoup de monde, donc ça reste poignant.



Sous un certain angle, je me dis que l’œuvre n’a pas besoin d’aller plus loin. Elle a tout ce qu’il lui faut et il n’y a aucun moment de flottement. De l’autre… JE SUIS TELLEMENT FRUSTRÉE PARCE QUE C’EST TROP COURT !!! Faire durer les choses aurait accentué l’impatience du lecteur. Déjà qu’avec seulement une centaine de pages, c’est un ascenseur émotionnel, avec plus je n’ose pas imaginer. Bref, vous voyez que je suis entre deux chaises donc je ne vais pas en dire plus sur ce point.



Concernant les personnages en général, je suis contente qu’il n’y en ait pas plus. Alors pour une histoire aussi courte c’est un peu normal, mais là il n’y a pas de gens qu’on croise une fois et qu’on ne revoit plus. Chacun a son importance et le récit ne serait plus le même sans chacun d’eux. Un très bon équilibre.



Pour ce qui est du reste des aventures de Iris et Léa, franchement j’adore, même si c'est prévisible que tout ne se passe pas comme annoncé, sinon il n’y a pas d’histoire. Je trouve, pour elles, que c’est une magnifique revanche sur la vie.



Donc évidemment, je recommande à 100%
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L'ostracisme

T.W. Dans l'histoire : Vi*l, vi*lences physiques extrême !

Alors, là… Je m’attendais à tout sauf à ça ! Ce livre est une vraie claque, une vraie bombe c’était incroyable !



Un monde post-apocalyptique comme je les aime, des règles millénaires qui sont censées être appliquées pour le bien commun, mais quand on voit les sanctions si elles sont enfreintes, il y a de quoi se poser des questions.



Pour une fois, la personne qui va changer les choses n’est pas connue de tous, ni prédéfinie depuis des centaines d’années. C’est elle, à la suite de différents concours de circonstances, comme ça aurait pu être quelqu’un d’autre dans la même situation et rien que ça c’est génial.



Un dirigeant qui se croit tout permis, pour la bonne cause, mais surtout pour lui. C’est classique, mais ça contrebalance avec le reste donc bien sûr que ça passe. En parlant de ça… Les réflexions du médecin… J’ai une furieuse envie de le secouer comme un prunier et qu’il subisse le châtiment ultime ! Bon après je dis ça de mon point de vue, mais il faut dire que pour eux ces choses-là sont normales parce qu’ils sont conditionnés depuis la naissance, donc c’est compréhensible. Mais pas excusable, comme dans toutes les sociétés il y a des rebelles eh bien qu’il trouve ça tout à fait normal, je dis non !



Une chose qui m’a fait rire nerveusement, c’est la raison pour laquelle nous avons par écrit le déroulé du châtiment ultime. Je m’explique et sans spoil (enfin, je vais essayer…). Deux personnes au début de l’histoire sont condamnées parce qu’on a découvert qu’ils étaient hétéros ; comment les hautes fonctions l’on découvert, par pure vengeance envers l’autre, alors qu’elle se condamnée elle-même en faisant ça. Dans ma tête, c’était : « mais non, ce n’est pas possible, d’accord tu peux le dire involontairement, là tu ne fais pas exprès juste pour te venger de lui… Je crois que tu as oublié la partie ou toi aussi tu allais être condamnée ! » Ou alors… Elle l’a fait exprès pour qu’ils soient ensemble pour l’éternité le plus tôt possible… Je ne sais pas laquelle des deux est la plus désespérante.



En ce qui concerne les méthodes de tortures abordées dans l’histoire, pour faire parler quelqu’un, à ce niveau c’est inhumain… L’un de ces moments qui m’a vraiment mis mal à l’aise. Heureusement, on découvre une rébellion visiblement plus vaste que l’on peut imaginer et l'on se dit que maintenant les choses sérieuses commencent et… C’est la fin du tome !



Totale frustration ! J’ai vraiment hâte de lire la suite !!

Donc évidemment, je recommande à 100%. Mais je tiens quand même à rappeler qu’il y a plusieurs T.W. parmi les plus dures et que si vous êtes sensible, cette histoire n’est pas pour vous donc ne vous forcez pas !
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L'ostracisme

Le commentaire de Carole

Nous sommes à l’an 3400 et près de 4 milliards de personnes vont mourir. Un nouvel univers est créé où le nombre d’habitants est limité. Ce lieu est géré par Nomi. Elle crée une religion propre à la Sphère qui comporte cinq commandements qui doivent être respectés à la lettre sinon les conséquences sont irréversibles. Le premier commandement est de ne pas avoir de relations sexuelles avec une personne du sexe opposé. Razielle, la prochaine dirigeante de la Sphère, est déterminée à ce que nous respections ce qui avait été mis en place par Nomi. Lors de la première relation sexuelle, les hommes doivent se faire raser le crâne et tatouer, tandis que les femmes doivent aussi se faire tatouer un bracelet sur le bras. Ce court roman nous fait ressentir ce que les homosexuelles peuvent ressentir quand ils ne sont pas admis. Dans ce contexte, les rôles sont inversés et ce sont les hétérosexuelles qui sont rejetées. J’ai apprécié l’audace de l’auteure d'aborder un sujet qui, malheureusement, est toujours très controversé. En outre, la fin de l'histoire nous laisse présager que cela n'est pas terminé, donc j’attends la suite avec impatience.
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Ce qui nous sépare

Iris et Léa s’aiment. Les parents de Léa vont tout faire pour séparer les deux adolescentes, jusqu’à disparaître du jour au lendemain sans laisser de traces.

Vingt ans plus tard, Léa retrouve Iris. Elles vont tenter de « re »construire leur amour et leur couple.

Dans son roman, l’auteure traite avec brio de l’homosexualité féminine, du poids du regard des autres et de l’homophobie. Sa plume est très juste. Les personnages sont attachants.

Au début de chaque chapitre, l’auteure a mis des citations très justes. J’en ai relevé deux :

« Je déteste le mot homophobie. Ce n'est pas une phobie, vous n'avez pas peur, vous êtes seulement des connards », Morgan Freeman

« Quand quelqu’un tombe amoureux de vous, vraiment amoureux, c’est une magie. », Simone de Beauvoir

J’ai eu un coup de cœur pour cette histoire magnifique et très émouvante.
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Ce qui nous sépare

1er livre que je lis de @marierogerauteure et j'ai été très touchée par ce roman court (120 pages) mais tellement malheureusement encore d'actualité.

C'est l'histoire de Léa, ado populaire dans son lycée, et Iris, ado renfermée et solitaire, écrivain qui rêve d'être publiée.

Iris vit dans un petit appartement avec son père, Dan, en pleine dépression, alcoolique, depuis que sa femme est décédée d'un AVC. Léa, quant à elle, est issue d'une famille aisée, son père Fred est kiné et sa mère Jeanne est dentiste.

Les filles se connaissent depuis qu'elles ont 7 ans. Lors d'une soirée pyjama, elles vont devenir amantes. Elles se retrouvent tous les vendredis soirs, chez Léa. Mais un soir, Fred les surprend et jette Iris dehors en la traitant de "gouinasse". La famille de Léa déménage dès le lendemain et Iris n'aura plus aucune nouvelle de Léa. On les retrouve, des années plus tard : Iris va se marier avec Alex, elle a ouvert sa maison d'éditions. Léa est en coloc avec Cheryl, et vit de petits boulots. Elle n'a pas oublié Iris et fera tout pour la retrouver. Il faut qu'elle avance et qu'elle sache si Léa l'aime encore.

Le livre est court, mais pleins de rebondissements. L'écriture est très agréable, les thèmes de l'homosexualité, de l' homophobie et du regard des autres sont très bien abordés. A chaque début de chapitre, Marie a mis des citations très justes : "le milieu social n'est qu'un monde d'apparences" M.C. Blais ou encore : "je déteste le mot homophobie. Ce n'est pas une phobie. Vous n'avez pas peur. Vous êtes seulement des connards" Morgan Freeman.

C'est un coup de coeur pour moi que je vous recommande !
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Ce qui nous sépare

Juste waouh une histoire magnifique avec deux personnages très attachants Iris et Léa.

Un autre personnage va aussi jouer un rôle important dans ce livre il s'agit de Fred car au final il est en partie responsable de la tournure de l'histoire et il nous prouve aussi qu'on peut changer et qu'il est important de se remettre en question.

Durant la lecture de ce livre je suis passée par différentes émotions. L'auteure aborde avec brio le thème de l'homosexualité mais aussi de l'homophobie.

Une histoire pleine de suspense que je vous conseille de lire absolument.
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L'ostracisme

La Sphère a été crée en 3400 après l’extinction de la terre, seuls 2000 survivants ont pu rejoindre la Sphère, mais l’hétérosexualité y est interdite.



Le livre est court (47 pages numériques) mais une suite est en cours d’écriture et j’ai vraiment hâte de la lire.



Comme à son habitude, la plume de l’auteure est fluide, facile à lire, percutante et addictive.



En lisant le résumé, j’avais un peu peur en voyant que c’était une dystopie mais au final quelle belle découverte. Marie met en avant ce que peuvent ressentir les personnes rejetées suite à leur sexualité « hors normes ».



Les chapitres sont courts et haletants.



Ce genre de romans sur cette thématique devrait être largement diffusé.



Vous l’aurez compris, vivement la suite 😁
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L'ostracisme

Encore un coup de coeur pour ce roman de Marie Roger que j'ai dévoré.

L'auteure nous plonge dans un monde futuriste où les règles sont bien différentes des nôtres ce qui rend la vie des habitants pas toujours facile.

Je me suis tout de suite attachée à Tatiana et Ash deux jeunes qui s'aiment en cachette car leur amour est impossible.

Mais malheureusement un élément va venir perturber leur quotidien. Vont-ils arriver à maintenir leur relation secrète ?...

Un livre plein de suspense et d'amour qui nous tient en haleine du début à la fin.
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Ce qui nous sépare

Le thème principal est l’homosexualité. L’auteure tente de mettre en avant les dégâts de l’homophobie bien trop présente de nos jours.



La plume de l’auteure est fluide, facile à lire, percutante.



L’histoire est touchante, triste, émouvante, belle. Les deux personnages d’Iris et Léa sont adorables et attachants malgré leurs caractères radicalement différents.



Ce court roman se lit rapidement (1h pour ma part 😅) mais malgré que cela soit court, on passe un excellent moment avec ce livre invitant à l’ouverture d’esprit.
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L'ostracisme

En l'an 3400, la terre s'est éteinte. Plus de quatre milliard d'êtres humains sont morts. Les ingénieurs ont créer un planetoide et l'ont nommé "La sphère". Le dirigeant faisait vivre une vraie dictature d'après les habitants de la sphère. Nomi, jeune fille née sur la sphère va donc menée une révolte générale et va donc crée des règles sur le planetoide qui, si elles ne sont pas respectées, ce sera la peine de mort....



L'autrice nous plonge dans un monde où elle inverse les rôles, un monde où l'heterosexualité est proscrite et est puni par la loi sous peine de mort.



Nous sommes en l'an 5200, Nomi est morte depuis longtemps mais ses règles sont toujours en place. Nous suivons donc Titania et Ash un couple hetero qui s'aiment depuis qui se connaissent, mais voilà ça leur est interdit, ils sont obligés de se cacher.



La dirigeante actuelle de la sphère est vraiment quelqu'un d'ignoble, et fait des choses horribles.



Titania va donc se battre contre ça, pour sa liberté, sa liberté d'aimer qui elle souhaite.



C'est vraiment un très beau roman, j'ai aimé cette échange de rôle, le fait qu'on se rend compte vraiment des choses. C'est le genre de roman qui te remets en question. J'ai vraiment passé un très bon moment. Suivre Titania et les autres dans leurs combats, parce que oui elle va se rendre compte qu'elle n'est pas toute seule.



L'autrice nous parle d'un sujet sensible avec délicatesse et finesse. J'ai vraiment hâte de lire le tome 2 !



C'est un récit à découvrir, c'était incroyablement poétique.
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D'amour et d'amitié

Franchement j'ai adoré ce roman.

Je ne connaissais pas du tout la plume de Marie Roger que je découvre avec ce livre qui est d'ailleurs son premier roman et clairement je suis conquise.

Une plume fluide, légère et dynamique tout ce que j'aime.

Je me suis tout de suite attachée au personnage de Jules, un homme d'une trentaine d'années qui en sacrifiant sa vie à son travail fini par perdre sa femme ce qui le plonge dans une grande dépression.

Grâce à l'aide de son meilleur ami Alexandre il va pouvoir remonter la pente malheureusement tout va basculer du jour au lendemain mais que va-t-il se passer ?( Pour le découvrir je vous invite à lire ce roman).

Autre point positif de ce livre qui est non négligeable c'est le suspense en effet l'auteure nous maintient en haleine du début à la fin et quelle fin 😯 je m'attendais à tout sauf à ça.

Franchement bravo Marie Roger mais ou trouves tu toute cette imagination ?

Je n'en dirai pas plus pour ne pas vous spoiler la fin mais c'est avec brio que Marie Roger va aborder le thème de la discrimination qui reste encore bien trop présente dans notre société.
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D'amour et d'amitié

Il s’agit cette fois d’un court roman traitant d’homosexualité et de tolérance.



J’ai adoré la plume qui est fluide, facile à lire, percutante. Les chapitres sont courts, l’histoire est haletante. Le suspense et l’émotion sont présents. Le personnage de Jules est tellement attachant. J’ai adoré le final.



Marie tente via ce livre de faire comprendre qu’il y a encore bien trop de préjugés sur ce sujet.



Bien trop de personnes sont maltraitées parce qu’ils ne correspondent pas « aux critères de normalité » que la société impose et en 2023 cela ne devrait plus arriver. Il ne faut jamais oublier la bienveillance, la tolérance envers les autres.




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