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Critiques de Marie de Brauer (74)
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Ne jamais couler

Le culte de la minceur, le body positivisme, le fit body… et si au lieu de s’intéresser à l’aspect physique des autres (aspect qui d’ailleurs ne nous concerne absolument pas et sur lequel nous n’avons rien à dire) nous parlions du fonds du problème : le regard des autres? Vous l’aurez peut-être compris, aujourd’hui je vous parle de grossophobie en BD!



Dans ce graphique, Marie de Brauer ouvre son cœur et témoigne de ce qu’elle subit depuis son enfance : la grossophobie. Son témoignage, fort et pétillant, m’a touchée et révoltée. Des petites paroles anodines… « c’est pour ton bien »… piquent en plein cœur celles et ceux qui en sont la cible, les forçant à se blinder par le biais de l’humour, de l’autodérision, du détachement. Forte de son vécue, @mariedebr livre avec ce graphique un témoignage intime et touchant, admirablement illustré par @lucymacaroni



J’adore la collection Graphic des @editionsleduc que j’ai découvert grâce à @lilysreadings 🫶 Des BD engagées, très bien documentées et surtout… très personnelles. Est-ce pour cela qu’elles nous touchent autant? Je pense que oui. Car nous nous sentons proches des auteur.es et nous identifions très facilement à ces situations, même si nous ne les avons pas forcément connues. Petit moyen ou grand, maigre moyen ou gros, jeune ou moins jeune… nous sommes juste qui nous sommes et nous n’avons pas besoin des autres pour nous le dire ou nous rabaisser!
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Ne jamais couler

Une BD body positive



L’autrice nous parle de grossophobie. Une discrimination silencieuse, ignorée mais pas inexistante pour autant. Légitimée, souvent recouverte d’une couche de bienveillance qui ne la rend pas moins blessante.



Marie de Brauer nous partage son expérience touchante et saupoudré d’humour.

Je ne suis pas une grande lectrice de bande-dessinée, je ne saurais même pas dire la dernière fois que j’en ai lu mais j’ai bien aimé celle-ci.



Les illustrations sont top et l’histoire touchante. Beaucoup de sujets sont abordés ; les régimes, le rapport aux corps, les relations humaines, la honte, la haine des autres, la haine de soi, le manque de confiance, etc.



C’est le premier ouvrage des éditions Leduc que je lis et pas le dernier j’en suis sûre.

Une ode à l’amour et au respect de soi et des autres. Parce qu’on est tous différents mais qu’on ne vaut pas plus ou moins que les autres.
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Ne jamais couler

On dirait que j'ai une thématique en ce moment : je regarde la série Shrill (très bien!), et je découvre cette BD qui a été achetée par le boulot. Je ne connaissais pas Marie de Brauer avant cela, et j'ai appris durant cette lecture qu'elle avait également réalisé un documentaire sur le sujet de la grossophobie.



Elle retrace ici, avec l'aide d'une illustratrice, sa vie en tant que personne grosse. L'enfance, les régimes qui débutent trop tôt, la malveillance médicale, la difficulté à plaire ou à draguer... autant de thématiques abordées, que des militantes dénoncent depuis des années (big up Gras politique !), luttant à contre-courant. Merci et bravo à elles.



J'ai beaucoup aimé cette BD, son ton, même si je l'ai trouvée trop courte comme c'est souvent le cas avec ce support. L'autrice appuie sur l'importance des discriminations systémiques, alors qu'on nous répète à longueur de temps que notre individualité peut nous permettre d'aller mieux, de nous en sortir. Certes, la thérapie entamée par Marie l'a aidée (7 années !), mais ce n'est qu'une goutte d'eau en comparaison de ce que la société fait subir aux "minorités".
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Ne jamais couler

🖍roman graphique

�ocumentaire

�utobiographique

�mour de soi

🧍rapport au corps

👧récit de vie



Leduc graphic revient avec un roman graphique militant et apaisant, qui fait du bien tout simplement !



Marie de Brauer et Lucy Macaroni mettent en lumière avec justesse et bienveillance la façon dont les mots et le regard des autres façonnent notre rapport à notre corps. On prend alors conscience que ce qui importe, ce qui doit importer, c'est notre regard sur nous-même.



Les couleurs et les chiffres cités sous forme de journal TV à la fin donnent du relief à cette oeuvre nécessaire qui mériterait de passer entre de nombreuses mains.
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Ne jamais couler

« Ne jamais couler » de Marie de Brauer @mariedebr illustré par @lucymacaroni paru chez @editionsleduc en janvier dernier.



Résumé : La grossophobie définit l’ensemble des discriminations que vivent les personnes grosses dans notre société. Elle est constante dans nos vies, de l’enfance à l’âge adulte. C’est une discrimination silencieuse, ignorée, légitimée.

Alors voilà, la grossophobie elle est partout, tout le temps. Et tout le monde s’en fout !



Gagné lors d’un concours Instagram sur le compte @gibertofficiel ce roman graphique me tentait depuis sa sortie. Facile à lire, il décrit parfaitement le rapport qu’a l’autrice, Marie avec son corps ainsi que les réflexions et mesquineries subies depuis son enfance.

@mariedebr relate les difficultés d’évoluer dans une société standardisée, uniformisée et sylphide quand on est finalement en surpoids, voir obèse.



Malgré les illustrations sympathiques et dynamiques, malgré l’autodérision de l’autrice concernant son surpoids, j’ai la sensation qu’il manque quelque chose dans ce roman graphique pour qu’il soit véritablement abouti…

J’ai l’impression,finalement, que le sujet est survolé…



Il s’agit d’une B.D. rigolote (tout comme son autrice) pour sensibiliser un maximum de personnes sur la grossophobie et les souffrances ressenties par les personnes en surpoids, à cause du regard des autres et pour lutter contre cette forme d’injustice et de discrimination.



Marie fait de son corps, une force et essaie de la transmettre à travers son franc-parler !



J’ai tout de même passé un agréable moment de lecture et suis ravie que ce sujet soit abordé de manière assez légère.



Connaissez-vous ce roman graphique ?
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Ne jamais couler

Une bd autobiographique qui propose de se pencher avec de l'humour sur les discriminations liées au poids, c'est à la fois éducatif et léger, avec des dessins en couleurs et lumineux, qui parlera aussi bien aux personnes concernées par la grossophobie que les autres. C'est positif, c'est essentiel et ça fait du bien.
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Ne jamais couler

Marie nous relate depuis son plus jeune âge, les attaques grossophobes “ordinaires”, les propos discriminants à peine voilés qui lui sont portés. le corps hors norme que ce soit à cause d'une maladie chronique ou du surpoids semble tomber dans le domaine public. Tout le monde se permet de donner son avis. C'est pourtant lourd de conséquences.

Elle va même jusqu'à éviter au maximum les rendez-vous médicaux pour ne pas être confrontée au regard et aux jugements des soignants. Cette peur de la balance revient à plusieurs reprises dans son ouvrage.



Son rapport à l'alimentation bascule, il devient à la fois une obsession et une honte. Marie a tellement intériorisé que la minceur était un critère de beauté que ce désir la hante. Elle va jusqu'à se contraindre à cause des autres pour éviter leurs jugements. Ainsi, Marie, pense tout le temps à son corps. Il est certain que le manque d'accessibilité des espaces publics et le regard inquisiteur des autres doivent aussi constituer un rappel constant. Elle met en place des stratégies d'évitement, qu'elle déconstruira petit à petit durant ses séances de psychothérapie.



Elle nous parle de ces régimes qui causent des yo-yos de poids, mais aussi la colère, la culpabilité, la tristesse, la dépression qui les accompagnent et qu'on aborde trop peu. La grosseur est multifactorielle et n'est pas synonyme de mauvaise santé. Un album qui fait du bien. Il rappelle que l'obésité n'est pas une faute ou un manque de volonté.



J'ai trouvé très intéressant qu'elle nous montre ce qui l'a aidé à faire face, pas à maigrir, mais à se réconcilier avec son corps. C'est une vraie prouesse.

C'est un ouvrage à mettre dans toutes les mains. Derrière une bonne dose d'humour, cette autobiographie véhicule des messages forts tels que l'acceptation de soi, les injonctions faites aux femmes, la diversité, l'importance de dépasser ces normes… Une BD engagée à lire et à partager !


Lien : https://www.tiktok.com/@ink_..
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Ne jamais couler

📖 Marie est grosse, oui grosse et vous savez ce qui est le plus dur ? Sa balance résume qui elle est en un chiffre et les autres en un regard. Lorsqu’elle mange une salade, les regards se disent qu’il était temps. Lorsqu’elle mange un burger, les regards se disent qu’elle ne peut pas s’étonner du résultat.

Un coup de cœur pour cette BD aux couleurs pastels, féminines et aux superbes graphismes. 💘 Outre la forme, le fond est prenant, réaliste et marquant ! Les autrices réussissent à nous faire comprendre des messages forts tout en utilisant l’humour. Autre cliché bien connu, les grosses ne sont pas belles mais elles sont drôles. 🤦🏻‍♀️ Bien sûr cette dernière phrase est sarcastique ! En effet, il n’y a pas de standard de beauté autorisant à s’aimer soi-même ou non. L’amour de soi passe par l’acceptation de soi. J’ai adoré suivre Marie dans son cheminement vers cette acceptation d’elle-même à travers les âges et elle ira bien au-delà de la « bonne copine drôle ».

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Ne jamais couler

Une très belle bd et très importante à découvrir.

Les dessins sont sublimes, l'histoire est bien écrite mais très réaliste car on découvre à travers les pages, ce qu'elle a pu vivre durant son enfance et son adolescence, mais aussi sa force de caractère et la violence du monde extérieur à son encontre.

Je recommande vraiment.
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Ne jamais couler

Marie, autrice et protagoniste de cette BD aux couleurs délicates, nous raconte ici son histoire personnelle, ce qu'elle a vécu de son enfance à l'âge adulte concernant son poids, toujours en incohérence avec les dictats de la société.

Un récit empreint de douceur et d'une bienveillance, même malgré les "persécuteurs" les plus féroces. Pour un public sensibilisé à la cause, ou même une découverte, ce livre s'adresse à toutes et à tous, sur ce parcours de vie passionnant. Et bien sûr, on se rend compte qu'à un moment ou un autre, nous avons tous.tes été confronté.es à des complexes. Ça fait du bien de se sentir entouré.e.
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Ne jamais couler



Marie est grosse, elle le dit, elle le sait mais surtout ce sont les autres qui lui disent.

L'histoire de Marie c'est celle d'une jeune fille qui doit grandir dans un monde où être gros pose problème aux autres et où forcément cela deviendra son problème aussi.



Un témoignage sur la grossophobie, celle qu'on subit, celle qu'on intériorise, c'est léger, c'est court et cela permet d'avoir un premier contact avec ce phénomène.



A faire lire aux ados.



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Ne jamais couler

L'autrice fait le bilan de sa vie et nous parle de son combat de tous les jours pour dénoncer la grossophobie ordinaire qui se cache dans chaque aspect de notre société, des films à l'eau de rose où les héros sont toujours minces à la violence psychologique ressentie chez les praticiens, par exemple.

Une histoire vraie, vécue par des milliers d'autres personnes, comme un appel à l'aide et un combat à mener pour ne plus se sentir mis à l'écart, regardé, jugé sur l'apparence physique. Tout un programme accompagné de jolis dessins frais, colorés, féminins, pop, pour illustrer cette lutte et ce témoignage poignant.
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Ne jamais couler

Ne jamais couler de Marie de Brauer et Lucymacaroni

« Tu sais, un bouchon de liège, peu importe qu’il soit sur de l’eau calme ou au milieu d’une tempête… il ne coule jamais. »



Les éditions Leduc ont eu la gentillesse de me faire parvenir ce roman graphique, aux magnifiques couleurs pastels et traitant de la grossophobie.

La grossophobie définit l’ensemble des discriminations que vivent les personnes grosses dans notre société.

L’autrice, Marie de Brauer, nous raconte avec humour son histoire et son combat contre l’injustice qu’elle vit au quotidien. Elle décrit les remarques désobligeantes, la difficulté de trouver des vêtements à sa taille… toutes ces petites choses subies tout au long de son enfance bien que cela ait forgé son identité. C’est donc au sortir de l’adolescence qu’elle a décidé de s’accepter et de devenir une féministe engagée.

Le tableau sur la vie sexuelle de l’autrice m’a bien fait rire, c’est une bonne idée 😂..

Pour les personnes qui souhaitent la découvrir un peu plus, elle a aussi créé un documentaire, La grosse vie de Marie, deux outils avec cette BD, intéressants à faire découvrir à nos jeunes d’aujourd’hui pour stopper toutes ces injonctions à la beauté marquées par la minceur.
Lien : https://instagram.com/plante..
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Ne jamais couler

La grossophobie, qu'est-ce que c'est ?

C'est ce que nous explique en dessin Marie. Elle nous parle de son enfance, son adolescence, sa vie amoureuse et sexuelle.... Chaque partie de sa vie qui a été marquée par cette injonction à la minceur. J'ai été touchée par cette BD, car nous sommes toutes victimes à un moment dans notre vie des injonctions de beauté imposées aux femmes. Injonctions qui peuvent mener à des discriminations ...



Le message de cette BD finalement, c'est de s'accepter telle qu'on est. Mais surtout, arrêtons de juger les gens pour ce à quoi ils ressemblent. Chaque personne vaut de l'or, gros ou non, petit ou grand, roux, châtain ou blond. C'est aussi en acceptant les autres tels qu'ils sont, qu'on apprendra à s'accepter tel que l'on est !



Le tout dans cet univers coloré et pop comme un énorme sachet de bonbons. Les dessins sont juste incroyables, j'adore le style de l'illustratrice. Encore une belle réussite Leduc Graphic !
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Ne jamais couler

Pour être honnête, je suis très mitigée sur cette BD. Il y a du bon et du moins bon. Du juste et du discutable. Du positif comme du négatif.

La couleur de la BD la rend vivante et vibrante, des fois un peu trop, mais à la fois ça allège à certains endroits et soulage le sujet lourd.

La santé mentale, les discriminations, l'histoire de l'autrice y sont abordée.



La grossophobie n'est pas normale, elle est comme toutes formes de discriminations bien présente dans nos sociétés, mais quand bien même j'étais dans le doute face à certaines démonstrations de l'autrice qui doit démontrer la grossophobie alors que j'y voyais parfois juste ce que beaucoup de gens vivent sans être en surpoids.



Même si la grossophobie est injuste et est souvent lié à des antécédents et très dur à ne plus subir et ne plus en souffrir, je trouve aussi certains propos, banalisant l'obésité qui est l'une des plus grandes causes de mortalité au monde.



Je suis toujours un peu dans le flou de ce que je pense de cette BD. Je trouve ça bien que quelqu'un parle de la grossophobie car on en parle presque jamais mais à la fois est-ce que parfois les démonstrations et propos sont pas un peu trop extrêmes ?
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Ne jamais couler

Ce roman graphique est une bombe qui fera du bien à beaucoup de personne. Ne passant pas par 4 chemins, Marie de Brauer parle sans tabou de la Grossophobie.



Mais qu’est ce que la grossophobie? « La grossophobie définit l’ensemble des discriminations que vivent les personnes grosses dans notre société ». Et malheureusement, elle est présente partout sans que l’on ne s’en aperçoive vraiment.



À la fois drôle mais réaliste, cette bande dessinée met en lumière le quotidien d’une femme qui a décidé de se battre contre ces discriminations. Et elle le fait bien.



Ne vous attendez pas à de la douceur, car Marie de Brauer ne prend aucune pincette, mais son combat pour l’injustice qu’elle subit au quotidien est très bien illustré par et vous restera en mémoire.
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Ne jamais couler

Petit post pour déclarer mon amouuuuur aux éditions Leduc Graphique qui nous proposent des BD abordant des sujets de société avec plein de légèreté !



Vous n'avez pas pu passer à côté, celui-ci nous parle de grossophobie. Pour les personnes qui vivent encore dans une grotte, la grossophobie c'est quoi? "Cela désigne tous les faits de discrimination systémique et de harcèlement que subissent les personnes grosses en raison de leur apparence." Un truc bien ancré dans notre société où la valeur d'une personne est malheureusement, très souvent proportionnelle à son apparence !



En nous dévoilant ainsi son histoire, l'autrice nous éduque et nous montre à quel point certaines insultes ou remarques grossophobes sont normalisées et légitimées dans notre société.



A travers des dessins magnifiques et colorés, Marie de Brauer nous raconte de façon très intime son enfance, le départ de son père, ses relations avec les hommes et sa découverte du féminisme.



J'ai adoré les mises en scène et les traits d'humour qu'ont utilisé l'autrice et la dessinatrice pour véhiculer leurs messages.



Une très bonne lecture que je vous recommande vivement !



Ma note : 🌟🌟🌟🌟/5

















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Ne jamais couler

Il y a certains livres et dans ce cas précis romans graphiques, qui nous interpellent avant même qu'on les ouvre, découvre.



Celui-ci c'était un peu ça. Un thème fort, poignant, qui me parle personnellement et profondément: la grossophobie.



Ce roman graphique est une chouette lecture pour moi. En suivant Marie, on y parle réflexion, cheminement et surtout acceptation de soi. Il peut parler à beaucoup de personnes j'en suis persuadée, alors rien que pour ça, merci Marie de Brauer 🙏



Il est haut en couleurs et j'ai plus qu'aimé les illustrations de Lucy Macaroni !



Cependant, pour être totalement transparente et honnête, je pensais plus m'identifier ou être davantage touchée. J'avais plus que hâte de le découvrir, je l'ai commencé sitôt reçu et ne sachant pas à quoi m'attendre, j'en ai peut-être inconsciemment "trop" attendu justement.



⚠ Cela ne veut pas dire que je n'ai pas apprécié ma lecture, je l'ai apprécié sur beaucoup de points mais c'est comme s'il m'avait manqué un petit je ne sais quoi.



Ce n'est que mon avis et ne vous laissez pas influencer par celui-ci si le cœur vous en dit de le découvrir. Un avis est purement personnel, tout dépend de sa sensibilité, du moment choisi pour le lire, de sa vision et de tant d'autres choses. Je vous partage ici juste le mien 🫶
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Ne jamais couler

Dernièrement le sujet de la grossophobie est de plus en plus traité dans les BD, les romans, les documentaires... j'en suis très heureuse. Merci à Marie de Brauer et aux éditions Leduc Graphic d'avoir accouché cette BD autobiographique, courte mais intense, riche d'informations et extrêmement drôle. Les dessins de Lucymacaroni sont apaisants avec ces couleurs virant toujours au rose et violet. Un coup de coeur, à lire si vous êtes concerné.e.s - ou pas.
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Ne jamais couler

Je suis discrète. Si vous avez envie d'apprendre à me connaître, le meilleur moyen est de venir me parler en DM ou de lire mes chroniques. Merci aux éditions LEDUC pour l'envoi de “Ne jamais couler” écrit par Marie de Brauer et illustré par Lucymacaroni.



Ce roman graphique m'offre une occasion favorable pour parler d'un problème de santé publique et un peu de moi. J'admire les femmes qui assument leurs rondeurs. Pour ma part, je n'arrive pas à me sentir belle ni à aimer mes bourrelets. J'ai été mince et depuis plusieurs années, je mène une bataille silencieuse pour le redevenir.



L'album en lui-même est un condensé de la vie de Marie. Les pastels utilisés par Lucy font scintiller le texte, ils enveloppent aussi le lecteur dans une bulle de douceur, pendant que l'auteure aborde de manière vraiment touchante, la grossophobie. Elle traite avec humour, les discriminations et les injustices. A travers cette bande-dessinée, elle s'engage à jalonner son parcours de plus d'amour et de plus de certitudes.



Je sais à quel point il est difficile de mettre des mots sur l'obésité mais j'aurais voulu avoir plus d'explications sur les facteurs d'aggravation de la situation. Je trouve dommage que la question des risques de la surcharge pondérale sur la santé, ne soit pas soulevée.



J'ai passé un bon moment de lecture. Ce livre est à lire, à relire et à partager !

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