Mary Ann Shaffer

A dévorer sans modération. On suit la correspondance de Juliet dans l Angleterre d après guerre avec des habitants de Guernesey tout juste libérée de l occupation allemande. Une page méconnue de l histoire britannique. Un seul regret : on ne connaît toujours pas la recette de la tourte aux épluchures de patates!

J'ai bien aimé.

Finalement la forme épistolaire ne m'a pas gêné, cela m'a même plu de me plonger dans cette manière de correspondre d'un temps où l'absence d'immédiateté obligeait à plus de profondeur à plus de nuance . J'ai particulièrement apprécié de voir des êtres qui venaient de vivre des temps difficiles (occupation) s'émerveiller de la beauté de leur île, du quotidien avec un enfant, de toutes les petites choses qui font le sel de la vie. Ce n'est pas un chef d'œuvre ni un énorme coup de cœur mais une lecture agréable d'où se dégage tendresse et fraîcheur, une ode à l'entraide et à l'amitié.

De plus j'ai apprécié de retourner à Guernesey que j'avais découvert sous la plume de Hugo dans les travailleurs de la mer.

J'ai beaucoup aimé ce livre. La couverture m'a tout de suite attirée.



Rencontrer ces inconditionnels de la lecture, du livre, un régal.



J'ai découvert ce qu'il s'est passé pendant la seconde guerre à Guernesey. Ceci, accompagné d'une belle histoire. J'ai suivi les personnages avec mon cœur, beaucoup d'émotions, de douleur parfois et d'amour.



Les choix qui ont été faits pendant cette période difficile pour les enfants, les adultes...



Comment est-ce que l'on ressort d'une telle épreuve ?.....

📚 Cela faisait très longtemps que le roman était dans ma WL mais elle est si vaste que je n'avais pas eu l'occasion d'en faire un élément de ma PAL.

🎧 Quel bonheur de le trouver en livre audio.

Comme vous pouvez le voir, cinq voix pour nous lire ces échanges épistolaires. C'est un vrai plaisir a écouter. Un coup de ❤️



📖 Revenons-en au roman. Une belle histoire, forte et émouvante.

L'année 1946, l'Europe se relève difficilement de la Seconde Guerre mondiale. Au Royaume-Uni, Juliet Ashton, auteur, cherche un sujet de roman. Le destin lui envoie une lettre de Dawsey Adams, habitant de Guernesey. Un échange épistolaire hors du commun s'engage entre la trentenaire et les habitants de l'île.



👍 De l'humour, de la tendresse émanent de ces lettres. Juliette se rend à Guernesey pour y découvrir un monde habité par des personnes étranges mais soudées qui ont su par l'entraide survivre à l'occupation allemande.



Le roman est un hommage aux résistants et aux populations victimes de l'occupation mais aussi à travers d'Elizabeth McKenna, aux déportés qui ont été arrêtés pour s'être opposés aux nazis pour protéger des innocents.



Un vrai coup de ❤️.

Si vous n'avez jamais eu l'occasion de lire ce roman épistolaire foncez !

À lire ou à écouter c'est un bon roman 🤩.

Plus de 1000 critiques décrivent ce livre superbe, drôle, émouvant, original. Je crois que la mienne se noierait dans ce florilège de compliments ! J’étais pourtant sceptique sur le sujet et le concept épistolaire, mais il n’y a rien de redire, tout est beau, doux, simple et nous permet une évasion totale, tant sur les lieux que les relations humaines entre les personnages. Merci.

Un roman passionnant, touchant avec des notes d’humour sur une page de l’histoire qui restera à jamais difficile.

Mais Juliet est une protagoniste curieuse et drôle, et croisera des personnages au cœur immense. Nous donnant ainsi un spectre large de ce que chacun à fait comme choix et sacrifices pendant la seconde guerre mondiale : des choix difficiles mais bien souvent guidés par le cœur.



Un roman épistolaire permettant de revenir sur un pan de la seconde guerre mondiale moins connu et sur des évènements qu’il ne faut pas oublier sans pour autant être moralisateur.



A lire absolument.

Difficile de ne pas tomber sous le charme et l'ingéniosité de ce livre. Au travers des correspondances de Juliet avec tout un tas de personnages, j'ai découvert un pan entier de l'histoire anglaise que j'ignorais. Le récit est bien sûr agrémenté de nombreux rebondissements qui en font un roman drôle, piquant, vif et agréable à lire ; le fond n'en demeure pas moins primordial et touchant.



Au-delà de la seule histoire de l'occupation, c'est aussi de la guerre des symboles dont il est question, et de la manipulation des discours par les vainqueurs. Nul doute que des deux côtés de la guerre, il y avait des contradicteurs, des extrémistes, des humanistes, des suiveurs et beaucoup de personnes qui se demandaient comment tout cela pourrait finir de manière positive. Il est toujours intéressant de s'intéresser aux individus, au-delà des effets de communauté. En cela, j'ai trouvé Le Cercle Littéraire des Amateurs d'Epluchures de Patates très bien construit !

Le titre de cet ouvrage me plaisait beaucoup et m’a attiré ainsi que son résumé. Malheureusement pour moi, ce roman épistolaire ne m’aura pas plu plus que cela. Je pense que ce genre d’écrit n’est pas pour moi, qu’il y ait des échanges de missives, aucun souci, mais que ce soit tout le long de l’ouvrage, non, je n’accroche pas. J’aurais au moins essayé.



Donc, dans cet ouvrage, nous allons à la rencontre de Juliet, jeune écrivaine qui va recevoir une missive qui va changer sa vie. Elle va donc découvrir le cercle des amateurs d’épluchures de patates, où comment, pendant la guerre, ils ont réussi à essayer de garder le moral et le sourire avec la lecture. De fil en aiguille, la jeune femme va s’attacher à ses personnes et les échanges épistolaires vont se poursuivre sur une longue durée.



À travers cet ouvrage, nous obtenons une autre vision de cette époque que nous n’avons pas connu et que nous nous imaginons pourtant. Les privations n’auront pas la peau des habitants de Guernesey. On peut voir de l’entraide, du rire, du partage entre eux et les Allemands ne sont pas tous les mauvais que nous pouvions imaginer, il y a aussi ceux qui n’ont pas eu le choix de cette guerre.



Pour moi, ce roman était parfois trop long, dû au fait que ce soit un ouvrage épistolaire, cependant, j’ai ressenti tout de même des émotions lors de cette lecture, et l’époque où se situe cette histoire me touche beaucoup. Donc, je reste mitigé quant à cette lecture.

Roman épistolaire où le côté feel good occupe une part plus importante que le côté historique. Pas mal de discussions futiles et une approche trop superficielle du contexte historique au début. Les histoires de coeur de Juliet sont sans intérêt par exemple. Le récit manque cruellement d'intrigue ou de profondeur avec un fil conducteur. Face à ce quotidien sans intérêt j'ai failli abandonner après 200 pages. Ensuite les anecdotes avec la cohabitation allemande se multiplient et c'est un peu plus intéressant : les radios confisquées, la faim, le froid, les enfants exilés à Londres et séparés de leur famille pendant plusieures années, le couvre-feu, les réquisitions, les camps et le travail forcé. Mais on retombe vite dans les histoires de l'époque actuelle qui manquent sérieusement de consistance.

Je ne sais pas vraiment comment j'en suis venu à lire ce livre. Le titre m'aura intrigué sans doute.

Quand j'ai lu que madame Gavalda donnait son assentiment en quatrième de couverture , j'ai failli le reposer dans le rayonnage. Je me suis alors demandé pourquoi je ne devais pas verser dans ce genre de littérature, et puis je me suis trouvé d'un coup très snob et méprisant, alors sans plus réfléchir j'ai emporté l'ouvrage.

Roman épistolaire, en effet. Jusque-là je n'en avais jamais vraiment lu à part peut-être le Dracula de Bram Stocker.

Ici ce sont des échanges de lettres entre tous les personnages.

Je ne suis pas très convaincu par la forme, parfois abusivement utilisée je trouve, particulièrement quand les protagonistes, aux styles interchangeables, s'envoient du courrier pour n'écrire qu'un mot..peu importe, l'autrice finit par résoudre le problème au moyen de câbles ou télégrammes plus adaptés aux correspondances les plus courtes.

Quant à l'histoire, l'idée de départ est intrigante, certes, mais la tonalité définitivement trop sirupeuse pour moi. Je sais, avec l'âge on fait plus attention au sucre. Je me suis forcé à aller au bout de cette série de portraits de très gentils guernesiais ( sauf la vilaine miss Adélaïde Addisson qui a bien mérité une gifle), amateurs de littérature et solidaires dans l'adversité.( l'île est alors occupée par les allemands quand-même!)

Mais je ne regrette pas vraiment avoir tourné la dernière page.

Finalement le plus triste de cette histoire est que l'autrice n'aura pas pu goûter au succès de son petit cercle littéraire de son vivant.

J’ai adoré ce roman, c’était un vrai plaisir à lire !



C’est un roman qui ne paie pas de mine vu comme ça, le résumé n’est pas très accrocheur et on se rend rapidement compte qu’il n’y aura pas d’immense surprise dans l’intrigue (c’est soit couru d’avance, soit très intuitif) et pourtant, cette lecture m’a fait beaucoup de bien, c’était un vrai rendez-vous.



J'avais hâte de retrouver ma lecture chaque soir ! J’ai aimé me plonger et me replonger dans cette correspondance en 1946. Le contexte y est intéressant puisqu’il est question de l’île de Guernesey dans l’après-guerre et nous avons quelques souvenirs de l’occupation.



Les lettres sont vraiment géniales à lire avec cette spontanéité de l’époque et ces tournures de phrases parfois plus soutenues.



Les personnages sont presque tous attachants et découvrir des pans de leur vie, heureux ou malheureux, au fil de ces lettres au même rythme que l’héroïne Juliet, qui rédige un roman, est très plaisant.



Parlons rapidement de cette Juliet que j’ai beaucoup aimé ! C’est un personnage jeune, sans filtre pour l’époque, spontanée et avec beaucoup de répartie. Ses lettres m’ont un peu fait penser au ton que Jane Austen donnait à ses écrits.



C’était vraiment un bon moment de lecture et je pense que c’est un livre que je pourrais très facilement relire entre deux tant cette forme épistolaire et les personnages qui alimentent ce roman m’ont plu.
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Des vertus thérapeutiques de l'insularité...

Voici un livre lu d'une traite, il y en a peu à vrai dire qui parviennent à tenir le lecteur à ce point.

D'abord une énigme, le titre à rallonge et la référence "forcée" au cercle des poètes disparus, mais heureusement l'énigme est vite levée.

Ensuite un style, épistolaire, avec de multiples écrivains et divers types de correspondances écrites (lettres, notes, câbles, télégrammes, journal intime, notes...)qui permettent de construire le roman.

Enfin des personnages, essentiellement féminins il faut le dire, de tous âges, de tous milieux, mais aussi des hommes qui apparaissent ici et là comme parfois ils sont, simplifiés et caricaturaux.

On aimera forcément cette évocation de l'histoire méconnue de l'ile de Guernesey durant la seconde guerre mondiale au travers d'une collectivité insulaire qui a trouvé son salut en la personne d'une jeune femme qui créa pour les besoins de l'occupation, le fameux cercle littéraire....

Les cinéphiles retrouveront dans ce livre certains accents du très beau film canadien "Sainte Marie la Maudierne" où une collectivité insulaire s'unit pour garder un médecin de passage.

Ici, c'est une jeune écrivaine, venue des beaux quartiers de Londres, qui va être séduite par la vérité et l'authenticité des insulaires.

Les plus:

la grande réussite de la construction épistolaire du roman

les personnages tellement authentiques

la pudeur omniprésente, mais la forte détermination "no pain no complain" typiquement anglosaxonne

les horreurs et les souffrances de la guerre évoquées sans mièvrerie ni ostentation

la sensibilité féminine de l'œuvre (on retrouve des traits de "lignes de faille" de Nancy Houston

Les moins

Si peu, ah oui, la fin un peu téléphonée, mais est-ce si grave que cela!

Avec 1284 critiques déposées à ce jour pour ce roman sur Babelio, je doute que mon avis ait quelque utilité. Il est cependant parfois nécessaire au lecteur, à la lectrice, d'exprimer ses ressentis sans aucune arrière-pensée de toucher un quelconque public.



Tel est ainsi fait le cerveau humain : écrire pour réactiver un semblant d'émotions précédemment éprouvées.



J'ai souvent été déçue et même parfois révoltée au cours de lectures qui avaient eu un très grand succès auparavant. Mais avec « Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates », c’est le contraire qui s’est produit. Passées les dix premiers courriers échangés (quand même), l'histoire démarre, s’envole, entre Juliet la Londonienne et les habitants de Guernesey, à la sortie de la deuxième guerre mondiale.



Suivre un récit uniquement à travers des courriers se révèle parfois déroutant, car il s'agit de s'immiscer dans un autre temps où prendre la peine d'écrire à quelqu'un, d'aller à la poste, d'attendre, d'espérer une réponse manuscrite relevait de l’attention à l'autre et d’une autre dimension temporelle. Sans parler de ce qu’on ne peut pas ou ne veut pas dévoiler dans le texte.



C'est selon moi la première madeleine de ce roman, mais il y en a tant d’autres : le portrait d'une jeune auteure libre et loyale, le (terrible) récit de l'occupation des îles anglo-saxonnes mené par une bande de personnages simples mais à l’esprit large, soudés autour d' « une impératrice au cœur trop large ». Qu'est-ce qu'un cœur trop large ?



Il y a aussi tout ce qui se joue autour du cercle de lectures créé dans la précipitation la plus rocambolesque et sans but aucun de faire lire, juste de sauver des individus éméchés. Ajoutez à cela une intertextualité (principalement britannique of course) délicieuse et une touche bucolique en fin de livre tout à fait charmante.



Le tour est joué grâce à une force évocatrice sans commune mesure dans laquelle longueurs et styles varient d’une lettre envoyée à une autre. Ces regards externes dessinent, pour nous, au fil des pages, des caractères dramatiques, courageux, émouvants. La lecture tente de faire oublier la noirceur du dehors par le pouvoir des mots.



Tous ces gens sont devenus riches par tout ce qu'ils ont perdu.

Leur lucidité, leur implication et leur tendresse m'ont fait rire, pleurer, souffrir, aimer avec eux.



Vive le pouvoir de la lecture avec " Le cercle des amateurs de littérature et de tourte aux épluchures de patates de Guernesey " !!!
Lien : http://justelire.fr/le-cercl..

C'est la 1284ème critique de ce livre...que dire de plus. Cela faisait longtemps que je voulais lire ce bouquin. J'adore les romans épistolaires. Celui-ci a quelque chose en plus. Tout d'abord son titre "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" qui fait sourire et m'a rendu curieuse de le lire. Mais voici le récit :

Juliet Ashton, jeune écrivaine compte ses admirateurs en milliers. Et c'est par un de ses fans, Dawsey, qu'elle découvre l'existence de ce curieux cercle littéraire ainsi que cette île lointaine "Guernesey". Il n'en faut pas plus pour Juliet pour continuer cette correspondance avec Dawsey et les autres membres de ce cercle. Au début, les lettres parlent plus des échanges de lectures mais viennent aussi le quotidien et les affres de la seconde guerre mondiale qu'ils ont subis. Ce roman est bien plus qu'un échange classique de lettres. Ce sont des échanges de bonheur, de joies, de tristesse aussi. Un livre où je ne me suis pas ennuyée une seconde. J'imagine que beaucoup d'entre vous ont lu ce roman mais j'envie ceux qui ne l'ont pas encore parcouru. C'est un titre qui intrigue mais je vous le conseille bien volontiers.

J'avais déjà entendu parler de ce roman, mais je l'avoue, si ce n'est le titre qui était intriguant, le résumé ne me disait trop rien. Un jour j'ai trouvé ce livre dans une boîte, cherchant des romans épistolaires à la même période, je me suis dit que c'était l'occasion de tenter cette lecture.

J'avais si tort de ne pas avoir souhaité le lire plus tôt. Le style épistolaire est vraiment chouette, je n'ai pas beaucoup lu ce type d'écriture, mais ça me plaît ! J'ai très vite accroché à l'histoire (comme quoi aha). Le contexte historique d'après-guerre m'a beaucoup plu. La personnage principale, Juliet, est une autrice qui souhaite diversifier ses écrits et ne plus faire d'écrits humoristiques comme ce fut le cas durant la guerre. Elle souhaite alors raconter l'histoire d'un groupe de lecture secret durant l'occupation. Elle se met à correspondre avec les membres de celui-ci qui lui racontent par lettre, comment et pourquoi ce groupe fut créé. L'histoire tourne autour du monde littéraire, et cela m'a vraiment surprise et conquise. Tout cela est (évidemment) entremêlé de tourments amoureux et amicaux ainsi que d'une touche d'humour. Tout cela rend l'histoire agréable et légère même avec ce contexte historique.

En terme de volume, les lettres sont plus ou moins longues et la lecture est très fluide, on avale ces pages à une vitesse folle. Au début je me perdais un peu dans les personnages, mais j'ai fini par repérer des subtilités d'écriture qui permettent d'identifier l'expéditeur avant même de lire la signature de la lettre.



Si vous souhaitez vous essayer à la lecture de roman épistolaire, je pense que celui-ci est un bon choix, en particulier si vous aimez les contextes historiques d'après-guerre.
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Peut-etre n'aurais-je pas du lire toutes les remarques dithyrambiques de ce livre sur lequel j'ai projeté trop d'attentes...



Alors, oui, j'ai passé un agréablement moment en lisant les correspondances de tous les protagonistes et le procédé m'a séduite par son originalité.



L'histoire se découvre avec grand plaisir mais ce n'est pas le chef d'oeuvre auquel je m'attendais.



Néanmoins, cela reste un très chouette roman à lire !

En juillet j'ai enfin sorti ce livre de ma PAL qui y était depuis 2 ans. Roman que j'avais très envie de lire et pourtant, je dois bien vous avouer qu'en l'ouvrant j'ai eu peur, je n'avais pas remarqué qu'il n'était composé que de correspondances et je me suis dit que j'allais avoir du mal à le lire, peur de m'ennuyer. Finalement pas du tout. J'ai mis quelques pages avant de rentrer dans l'histoire, à être imprégnée par l'ambiance qui s'y dégage.

J'ai adoré aller à la rencontre de Juliet et de cette charmante communauté sur l'île de Guernesey qui conte leur vie pendant l'occupation allemande (je ne savais pas que l'île avait été occupée pendant la seconde guerre mondiale).

C'est un roman extrêmement plaisant à lire, touchant et plein de sentiments.



Une jolie lecture vite dévorée que je relirai avec plaisir.

Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates//M.A.Shaffer&A.Barrows

Je suis enfin parvenu au terme de cette longue trop longue correspondance entre Juliet et les innombrables autres.

La quatrième de couverture laissait supposer que j’allais passer un bon moment. Au lieu de quoi, c’est l’indifférence et l’ennui qui m’ont pris de court.

Comme l’ont bien dit d’autres lecteurs, le début laissait augurer une passionnante lecture. Cependant, peu à peu, la lassitude a pris le pas : trop de longueurs, un style plat et monocorde, trop de personnages qui ne sont que des ombres.

Bien sûr pour faire sérieux, référence est faite à Catulle, Sénèque, Lamb et j’en passe. Mais enfin, on sort frustré de cette lecture insipide. On se dit qu’on a perdu son temps.

J’ai du mal à comprendre, comme d’autres lecteurs, l’engouement du public pour ce livre.

De retour des vacances je me suis plongée dans ce livre (que je m'étais acheté en récompense des vacances studieuses que j'avais passé!). Je l'ai lu en 4 soirées et parce que je me suis retenu de ne pas lire tout en une seule fois.



Ce livre est un petit bijou de douceur, de tendresse... le style est épuré, l'histoire est touchante mais pas larmoyante ... un petit bonheur dans ce monde cruel, un vrai moment de détente ...



Au début j'étais très réticente sur le style épistolaire, je ne suis pas fan de ce style, sans doute un douloureux souvenirs des Lettres Persannes au lycée ! Mais là cette technique permet d'apporter de la légéreté, de ne pas s'apesantir sur des structures trop lourdes, des détours pour présenter le sujet de conversation, cela permet aussi d'introduire de nouveaux personnages sans que l'on se perde dans le dédale du qui est qui.



Bref, je le conseille à tous ceux qui veulent ce faire une petite pause sérénité sans chichi ni prise de tête.

Cela fait plusieurs années que je tournais autour de ce livre. Ne sachant que mettre dans la liseuse, qui a l'avantage d'alleger un peu la valise des vacances, j'ai décidé de m'y frotter. Hé bien... je vais vite me le procurer en version irl et lui trouver une place dans ma bibliothèque. Bien que le style epistolaire ne soit pas ma tasse de thé j'ai été totalement captée, envoûtée. Même s'il y a beaucoup de personnages ils sont suffisament typés, chacun avec son histoire propre, pour que très vite on les différencie les uns des autres. Et pour que très vite on s'attache à chacun d'eux. Je n'en écris pas plus, ma critique n'ayant d'autre but que faire réémerger ce livre du flot des lectures.