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Citations de Mary Wine (31)


La colère l'envahit, une rage si brûlante qu'il comprit d'un coup comment certains hommes pouvaient être rendus fous par les femmes.
Elle l'avait quitté et il avait mal à en crever.
Si mal qu'il en souhaitait presque qu'elle ait été enlevée par un autre homme, rien que pour avoir quelqu'un à tuer.
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Nous ne vivons toi et moi que pour relever les défis qui s'offrent à nous. Nous jouerons donc pour le droit à une réponse honnête à chaque coup gagnant.
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Aimer, c'était comme goûter à la vie pour la première fois.
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Les hommes étaient si orgueilleux, ils n'imaginaient jamais qu'une femme puisse se révéler aussi intelligente qu'eux.
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Les chevaliers n’aiment pas les femmes qui ne savent pas tenir leur langue.
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Le monde n’était pas tendre avec les filles, à qui l’on faisait payer les erreurs de leurs mères.
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Helena était désolée de décevoir son promis, mais elle ne pouvait lui ouvrir son cœur. C'était la seule peur qu'elle avait : la peur de perdre ce qui n'appartenait qu'à elle.
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L'homme paraissait ne faire qu'un avec l'animal, semblable à quelque créature de légende à la force herculéenne.
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Tu es la fille du comte de Warwick, et c'est sa femme qui t'a présentée à moi. Tu étais vierge, et tu m'as donné un fils. C'est la meilleure définition d'une épouse que je puisse trouver.
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— Peut-être est-ce la nuit de noces qui t’inquiète ? Il est vrai que tout le monde n’est pas aussi doué que moi. Tu ne devrais pas être jaloux de mon habileté avec les femmes, cher frère. C’est un péché.
— La vantardise aussi.
Cullen se fendit d’un sourire éblouissant, révélant deux rangées parfaites de dents blanches.
— Dans ce cas, je ne crains rien, puisque je dis la vérité, assura-t-il. Mon membre est…
— Pitié ! l’interrompit Brodick. Garde ton baratin pour celles qu’il pourrait intéresser.
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Anne ignorait toujours si l’amour était une malédiction ou une bénédiction, mais elle se savait atteinte du même mal que sa mère et marchait sur ses pas avec allégresse. Brodick avait apprivoisé son cœur, et si le destin leur était favorable, elle ne cesserait jamais de l’aimer.
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Nous ne sommes qu’un homme et une femme cherchant à partager les plaisirs que la nature nous a offerts.
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Les hommes n’étaient pas aptes à juger de la fertilité d’une femme, obnubilés qu’ils étaient par ce que la nature avait créé pour capter leur attention. C’était pour cette raison qu’un mariage se négociait comme une affaire, et il valait mieux qu’il en soit ainsi. Laisser le désir guider son choix pouvait conduire un homme à une union catastrophique, tant sur le plan de la dot que sur celui de la descendance. Lui qui était un homme imposant pouvait condamner une femme à mort en la choisissant trop menue pour porter ses héritiers. L’examen intime visait à prévenir ces unions mal assorties. C’était logique, mais la passion avait tendance à occulter la raison.
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Le premier bébé est toujours plus difficile à mettre au monde. Donnez un fils à votre mari, et votre position sera consolidée.
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La fortune sourit aux audacieux.
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J’ai entendu dire que, pour les puritains, les plaisirs de la chair sont l’œuvre du démon destinée à nous vouer, pauvres mortels, à la damnation éternelle…
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— Me soupçonneriez-vous de vouloir vous empoisonner, milord ?
À ces mots, les hommes de Brodick échangèrent des regards inquiets.
Mary prit un morceau de la tourte, qu’elle porta à sa bouche, avant de le mâcher et de l’avaler.
Le visage rouge de colère, elle fixa son mari.
— Vous voilà rassuré. Quant à moi, je n’ai pas d’appétit pour les repas qu’empoisonnent les soupçons
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Ce serait une union profitable, mais cela n’enlevait rien au fait qu’il redoutait d’introduire chez lui une lady débarquant tout droit de la cour anglaise. Il s’y était lui-même rendu une fois, et il aurait préféré marcher droit au tombeau plutôt que d’avoir à y remettre les pieds. Les femmes y étaient d’intrigantes et déloyales créatures au visage plus peinturluré qu’un Highlander partant en guerre. Leurs robes massives et sophistiquées dissimulaient leurs formes, leur ôtant tout intérêt. Seuls leurs seins demeuraient on ne peut plus visibles…
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 Helena sourit. Elle aimait les sensations qu'elle éprouvait à cet instant, cette sorte de petite joie bête qui lui donnait envie de rire tout bas.
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Keir avait lui-même du mal à cacher son étonnement – à moins que ce ne soit de la répulsion. Jamais jusqu'alors il n'aurait imaginé trouver des hommes plus attrayants que des femmes, mais les courtisanes anglaises affichaient une allure tellement singulière qu'il ne pouvait s'empêcher de regarder plutôt leurs maris, ne serait-ce que pour se reposer les yeux.
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