Masashi Asaki

Ce tome est le dernier de cet arc autour de la secte dont est issue la femme du héros. Comme le tome précédent, il s'avère particulièrement violent avec des scènes de massacres collectifs et poursuit la réflexion autour de la responsabilité des crimes du héros. Les mangakas mettent le héros face à ses contradictions et nous obligent en tant que lecteurs à faire de même.

Je me demande ce que réserve le prochain arc et ai hâte de le découvrir.

Un thriller mature rempli d’enjeux moraux qui sont autant de sources de réflexion sur notre rapport à la famille et à la loi. Le scénario est d’une grande qualité, doublé d’un conte philosophique moderne. J’avoue malgré tout que la série est bien trop longue (23 tomes au japon, mais la série n’est pas terminée) et je ne vois pas ce que l’auteur peut développer sans s’essouffler… Je verrai bien avec le tome 18 (que j’emprunterai prochainement) et me décider à poursuivre ou abandonner cette série selon mon ressenti.
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L’affaire avance, mais Testsuo Tosu continu à tout faire pour brouiller les pistes. Ça femme, est toujours là pour l’épauler mais parviendront-ils à cacher la vérité encore longtemps, sachant que leurs adversaires ne sont pas prêt d’abandonner ?...



Je trouve que la couverture de ce 3ème tome résume vraiment très bien la situation : 2 père, qu’on pourrait penser différent mais qui se ressemble par beaucoup de point. Chacun ferait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger sa famille. Mais sans le savoir, ils vont devoirs se confronter… Ce tome fait monter encore une fois la pression malgré l’ingéniosité dont faire preuve Testsuo pour qu’aucune preuve ne le trahisse, mais ce n’est pas pour autant que personne ne le suspecte. De plus il risque d’être là pour servir de bouc émissaire dans le prochain tome, donc j’ai vraiment hâte de voir si cette fois encore il pourra s’en sortir. Ce que j’aime bien dans ce manga, c’est qu’il montre aussi que la mère, est une femme forte et ingénieuse et qui dispose de beaucoup de ressources, ce qui est vraiment très intéressant pour l’histoire et qui apporte de joli surprises !



Ma note : 18/20 Un manga qui sait nous captiver tout au long des méandres de cette « enquête »

#Frimousse
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C'est intelligent, bien pensé, fou et tellement décalé ce manga ! Truffé de gangsters véreux, My home hero avec ce héros improbable est addictif par ce décalage déroutant. Je suis moi-même déstabilisée à chaque fin de tome. Il y a ce petit côté stressant qui nous rend avide de connaitre la suite. Alors vite vite, jusqu'où va-t-on nous emmener ?

L’étau se resserre autour de Tetsuo dans ce troisième tome de My Home Hero. Après avoir réchappé de justesse à une mission périlleuse imposée par la pègre, qui en a profité pour tourner une vidéo compromettante, l’homme poursuit ses manœuvres visant à le disculper dans la disparition de Nobuto. Kyôichi n’est cependant pas dupe, et les yakuzas non plus.



Encore un bon tome, dans la lignée du précédent, malgré quelques défauts. Je trouve que, pour des suspects potentiels placés sous surveillance, Tetsuo et son épouse agissent un peu trop librement, et prennent beaucoup de risques, notamment en impliquant un tiers dans leurs plans.



Toute l’intrigue tourne autour de la création d’une vidéo visant à révéler que Nobuto est toujours vivant, et à aucun moment je n’ai cessé de songer que c’était une mauvaise idée, parce qu’elle a mille et une façons de, au mieux, ne pas fonctionner, et au pire, de se retourner contre eux.



Cette escalade dans les stratégies, ainsi que le duo Tetsuo / Kyôichi, n’est pas sans m’évoquer Death Note et l’affrontement intellectuel qui oppose L à Kira. Même si l’univers est très différent (pas de Dieu de la Mort ni de cahier tueur ici), il en ressort un petit air de déjà-vu.



Je reprocherai également à ce manga un gros manque de subtilité. Déjà, le premier tome s’ouvrait sur Tetsuo indiquant qu’il serait prêt à tuer s’il découvrait que sa fille avait un petit ami (histoire de bien annoncer la couleur), et c’est cette fois autour de Matori de livrer ses pulsions meurtrières à un parfait inconnu dans un bar. Ce passage a néanmoins le mérite de provoquer chez Tetsuo une vague de culpabilité et une remise en question bienvenues.



Du côté des personnages, j’aime toujours autant Kyôichi, il est vraiment charismatique et redoutable, mais aussi Kasen, qui se révèle indispensable, voire plus dégourdie que son mari. En revanche, j’ai du mal avec Reika, je la trouve un peu tête à claques sur les bords, et j’ai l’impression qu’elle ne fait qu’amener des complications, ce que la suite semble bien partie pour confirmer.



Malgré ces points négatifs, mon avis sur My Home Hero reste positif dans l’ensemble. Il y a du très bon comme du moins bon, et ma seule vraie crainte pour les tomes à venir (parce qu’il y en a quand même pas mal) est de voir l’histoire tourner en rond ou se perdre dans des stratégies de plus en plus alambiquées.
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J'adore !



Ce manga à clairement tout pour plaire, de son humour en parfait décalage avec la noirceur de cette oeuvre. De ces personnages banals au possible, qui s’entrechoquent avec le gang des Yakusas. De l'imagination sans fin de ce père de famille, qui se heurte à la technologie... Tout est étudié pour mettre à mal Tetsuo et ça marche.



je réitère ce que j'ai dit, My home Hero, c'est breaking Bad, avec moins de drogue mais plus de meurtres !



Et cette fin tome est simplement magistrale... Elle ouvre une voie royale pour la suite et me fais trépigner d'impatience !



J'adore aussi les couvertures, celle de ce tome est particulièrement bien étudié et à 100% dans le thème, car elle pose les bases de cet opus : le combat de deux pères pour leurs enfants !



Les graphismes sont tout aussi géniaux.



Bref, cette saga me comble et j'espère que ce sera encore le cas...



Belle lecture à tous.

Comme prévu, j’ai enquillé tout de suite avec le tome 3 afin de poursuivre les folles aventures de ce pauvre monsieur Tetsuo Tosu.



Ce commercial, fan de polars, a tout de même de la suite dans les idées et une sacrée paire de cojones pour arriver à manipuler délicatement le yakuza Kyôchi qui est persuadé qu’il a tué l’un des leur. Respect à lui et à son épouse, qui est un vrai soutient pour lui. Moi, à leur place, je me serais déjà liquéfiée de peur.



Si dans le tome 2, les battements du cœur allaient à 150 à l’heure, ils se sont un peu calmés avec le tome 3 qui calme un peu le jeu et nous montre notre commercial tenter le tout pour le tout afin de prouver son innocence dans la disparition d’un des membres de l’organisation.



La rencontre, par hasard, entre monsieur Tosu et le père du disparu va changer la donne : alors que j’avais catalogué Nobuto Matori, le yakuza assassiné, dans le groupe des "crétinus débilus violentus", la version brossée par son père apporte une autre vision, celle d’un enfant qui avait des problèmes et qui ont inquiétés ses parents.



Nous apprendrons aussi pourquoi cet homme est un jour entré dans ce gang.



Cette autre vision apporte de l’épaisseur au personnage de Nobuto Matori.



Malgré la noirceur de ce manga, son scénariste n’a pas oublié d’incorporer une touche d’humour qui est toujours la bienvenue pour détendre un peu l’atmosphère qui est tellement épaisse qu’on pourrait la découper à la tronçonneuse.



Tiens, en parlant de tronçonneuse… Heu, non, ça pourrait vous empêcher de manger !



Pour le moment, je suis contente d’avoir découvert cette série manga qui est plus profonde que ce que certains pourraient penser : le scénario est étoffé, rempli de suspense et de rebondissements dans la partie d’échec mortelle que joue monsieur Tosu avec le yakuza Kyôchi, qui, lui-même, en joue une autre avec son patron qui lui demande des résultats sous peine de perdre sa tête.



Suspense à son comble, une fois de plus, même si le tome 3 est différent du 2.

Je ne vais que faire ce que j'ai déjà fait pour le deuxième tome, confirmer que My home hero est bien un manga de qualité qui plaira énormément aux amateurs de thrillers.



Encore une fois tout y est : une intrigue bien ficelée, un scenario béton avec de nombreux rebondissements, des personnages fouillés, humains, touchants ou haïssables. Mais le plus surprenant c'est que les auteurs ont de grande qualité scénaristiques car ils savent insuffler de la nouveauté dans cette histoire. Chaque tome est une nouvelle peine pour lé héro de cette bande dessinée, qui tel John Yossarian de Catch 22 tentant sauver sa vie se trouver confronter à une nouvelle situation bien pire que la précédente.



Donc que vous dire de plus si ce n'est de filer chez mon libraire préféré et de profiter de ces fortes chaleurs pour découvrir cette série.
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L'ensemble reste haletant. Notre bon père de famille piégé par la mafia tente de faire croire que l'homme qu'il a tué n'est pas mort et se retrouve à boire un verre avec le père de ce dernier. Celui-ci est comme un miroir de lui-même : un homme prêt à tout pour son enfant. le manga s'achève sur une note d'humour avec la prise de risque de la femme de Tetsuo. Un très bon 3° tome, pour l'instant, je ne m'en lasse pas.

Tout d'abord, je trouve cette jaquette pas très jolie à regarder par contre, on comprend très facilement qu'il va se passer quelque chose entre les deux pères.

Cette rencontre a d'ailleurs provoqué des questionnements du côté de Tetsuo qui vient de réaliser quand ayant tué son fils, il a brisé lui aussi une famille.

Dans ce tome, on va assister à des séquences et des conversations intéressantes qui vont faire avancer l'histoire.

La tension monte d'un cran, les évènements changent tous les plans de Tetsuo qui lui passe la plupart de son temps à trouver de nouvelles solutions pour s'échapper de cet enfer.

Peu importe ce qu'il entreprend, il risque forcément de faire du mal à d'autres familles qui n'ont rien demandé.

Par contre, je suis très déçu des yakuzas qui je trouve parle beaucoup trop, ils sont trop bavards et c'est bien dommage.

Il y a encore une scène qui m'a assez dérangé celui où Tetsuo tue un autre homme.

Le problème vient du fait qu'il n'a pas été surpris ou choqué par cette demande, il ne pleure pas.

Pour une œuvre où le personnage passe son temps à bien dire les choses pour ne pas se faire avoir.

Pour le coup ça montre clairement qu'il avait déjà tué quelqu'un auparavant, c'est flagrant et c'est dommage car il aurait mieux fait de pleurer ou hésiter un peu avant de le couper à la tronçonneuse.

Cependant, ce qui reste très intéressant à suivre dans cette série sont les évènements inattendus.

Chaque fois que Tetsuo pense avoir l'avantage, finalement d'autres histoires finissent par l'envoyer vers de nouveaux dangers.

Pour conclure, ce tome reste très sympathique à suivre, malheureusement, je n'ai pas la suite en ma possession.

Du coup, je vais attendre de trouver la suite uniquement en occasion car je ne suis pas fan au point de m'acheter les autres tomes en neufs.
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Juste encore plus excellent. Développement pour le père de Nobuto qui permet quelques questions morales pour notre héros. Toujours plus de présence dans les mauvais coups pour s'en sortir. Le temps s'écoule rapidement. Passionnant !

Dans ce troisième tome, les deux pères se rencontrent et le compte à rebours continue. Une vidéo postée par Tetsuo devrait faire croire à tous que Nobuto est toujours en vie. Mais les choses ne se passent pas forcément comme prévu.



Malgré quelques facilités dans le scénario (notamment de la part des yakuzas qui me semblent beaucoup trop bavards !) ce tome se lit très vite et on est toujours autant pressé de voir comment les choses vont évoluer.

Tout parent est prêt à tout pour protéger son enfant, et en cas de danger cet instinct se mue en une véritable chasse contre le coupable. Et comme la couverture le suggère : l'affrontement s'annonce serré !



Dans sa situation très peu confortable, Tetsuo, le père qui a assassiné le petit ami de sa fille tente toujours de gagner du temps et de brouiller les pistes pour que l'organisation mafieuse ne lui fasse pas la peau. Pour une seule personne c'est déjà pas mal mais à cela s'ajoute le fait qu'il rencontre le père du feu petit ami , prêt à tout pour retrouver qui a fait du mal à son petit. Et cela va son dire que, comme son rejeton, il travaille dans l'organisation lui aussi.



Dans le tome précédent, de nouvelles révélations avaient permis au mangaka d'attiser grandement ma curiosité, cette fois-ci on est surtout dans la suite logique sans grand rebondissement, ce qui est assez logique et on reste bien accroché à chaque page pour être sur que personne ne fera LE faux pas fatal.

Seulement voilà, Kyôchi le garde du corps/ surveillant de Tetsuo a de très très gros soupçons sur la culpabilité de Tetsuo et ne se gène pas pour lui faire savoir. Et il est prêt à tout pour obtenir les preuves qui viendront étayer son raisonnement ; ce qui vaut un sacré retournement de situation sur les deux dernières pages !



Pour ma part, j'ai bien apprécié cette lecture ponctuée de quelques moments d'humour soit grâce à la femme de Tetsuo, un ancien ami de famille lourdo ou des remarques bêtes de Tetsuo dans des conversations ultra sérieuses.

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De quoi ça parle ? « La situation de Tetsuo est toujours aussi désespérée. Il va rencontrer Kyoichi et le père du défunt, Tomoe. Le suspense est à son paroxysme dans ce 3e volume de My Home hero !

"Plus qu'un dernier effort pour me tirer de cette situation!" »





Je continu ma lecture de ce manga qui se déroulera apparemment en 7 tomes.





Ce tome 3 est la suite direct des 2 premiers, Tetsuo est toujours aux mains de l'organisation dans laquelle était Nabuto ! Le père de ce dernier met une grosse pression au groupe pour qu'ils trouvent ce qui est arrivé à son fils.



J 'ai encore une fois passé un bon moment, on est toujours dans l'action, ça bouge, on revient un peu sur le passé de Tetsuo ! Mais alors les dialogues … Je les ai trouvés extrêmement mauvais, sans aucune crédibilité … Ça m'a un peu horripilé en fait !



Je vais continuer je pense parce que je très envie de savoir comment ça va se terminer mais j'espère que le niveau des dialogues va remonter dans les prochains tomes !



Ça reste une série sympa, sans être complètement dingue ! Après je lis beaucoup de thriller depuis 25 ans, donc je suis peut être moins la cible de ce genre de manga.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 3 :

Tetsuo est infiltré malgré lui dans l'organisation mafieuse et est sous surveillance constante. Il met en place un plan pour faire croire que Nobuto est toujours en vie.

Kyôichi reste toujours méfiant à son égard.



Je me suis bien bidonnée sur ce tome. De gros fous rires notamment avec l'une des scènes finales chez Tetsuo et le café.

J'en reprendrai bien volontiers une tasse... ou presque.

Pas le meilleur de la série mais ce manga tient tout de même en haleine !

Tetsuo essaye toujours de convaincre le clan qu'il n'a rien à voir dans la disparition de Nobuto. Mais quoi qu'il fasse rien ne va dans le bon sens même si sa femme l'aide du mieux qu'elle peut.



Nous sommes seulement au troisième tome mais je me lasse déjà. L'intrigue n'avance pas et le personnage de Tetsuo ne m'est pas plus attachant que ça. J'ai les deux prochains tomes sous la main donc je vais les lire. Mais si l'intrigue n'évolue pas rapidement je pense ne pas aller beaucoup plus loin dans cette lecture.

Ça faisait un bout de temps que je n'avais pas lu "My Home Hero" et une relecture en diagonale des deux premiers tomes m'a été nécessaire pour me remettre dans le bain (sans jeu de mots ^^). Malgré quelques grosses ficelles scénaristiques, l'intrigue s'avère aussi prenante que celle d'une bonne série comme "Breaking Bad" ou "Dexter". Rien de vraiment marquant mais un très bon divertissement avec certains duels intéressants comme celui des deux pères sur la couverture de ce volume ou, surtout, celui de Tetsuô Tosu et de Kyôishi. Le fait que le chat qui traque la souris soit tout aussi criminel que sa proie fait qu'on se prend forcément au jeu. Les rebondissements sont nombreux. L'épouse du personnage principal a en outre un caractère peu ordinaire et on assiste à quelques passages humoristiques bienvenus. En revanche, leur fille Reika est pour l'instant naïve, assez ingrate, et à des lieues de comprendre tout ce qu'elle a pourtant enclenché à ses dépens. Mais au niveau psychologique, on a toujours envie de voir comment vont évoluer tous ces personnages...
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Toujours aussi prenant, l'intrigue de cette série est pleine de rebondissements. J'ai franchement apprécié la rencontre entre les 2 pères, qui se ressemblent bien plus qu'ils ne le pensent. Et puis la tension continue de monter et on se demande si ce père de famille sans encombre va réussir à se sortir du pétrin où il s'est fourré.
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On pouvait se demander comment Naoki Yamakawa allait continuer sa série. On partait de base avec un couple qui fait disparaître le corps d'un yakuza pour protéger leur fille. Le gang a besoin d'un coupable qu'importe qui il est. Le boss en veut un et on doit lui donner un. Tetsuo fera l'affaire. Surtout qu'il parait très calme au vu de la situation. Son cerveau tourne à 300% pour trouver le moyen de s'en sortir. C'est là dessus que le scénario arrive à rebondir encore et encore et nous surprendre. La fin avec la mise en doute de la fille est un cliffhanger des plus malins. Des parents font tout pour la protéger et qu'elle reste en vie. Elle va tout mettre en péril. Notre héros ne peut pas prévoir cet imprévisible. Que va t'il se passer alors? On veut impérativement lire le tome 4. La couverture de ce tome, nous montrait la confrontation entre deux pères qui veulent la même chose : la sécurité de leur progéniture. Mais le caractère et sa conception du monde peut tout changer. Une étape importante qui va jouer indéniablement un rôle dans la suite. Rien n'a été laissé au hasard. Les codes du suspens sont bien appliqués. Masashi Asaki propose un graphisme très précis et arrive très bien à faire monter la pression avec plus de nuances de gris/noir. Un duo très complémentaire qui sait titiller la curiosité du lecteur. Est-il possible de se sortir indemne d'une telle situation? Qu'est-on prêt à abandonner?
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