Masashi Asaki

Les trois premiers tomes de la série mettant en scène Tetsuo, un père de famille, prêt à tout pour sauver Reika, sa fille, impliquée dans une affaire de meurtre, réunis dans un coffret.

My home hero Volume 1 :

Après avoir découvert des traces de coups sur le visage de sa fille, qui vient juste de quitter le foyer familial, Tetsuo retrouve le coupable et le suit, ce qui le mène à commettre un crime qui bouleverse sa destinée et celle de sa famille.

My home hero Volume 2 :

Que seriez-vous prêt à faire pour sauver la vie de votre enfant aux prises avec une affaire de meurtre ?!

Au final, il n'existe aucune " bonne réponse " permettant à ma famille de rester en vie !!

Tetsuo Tosu, humble employé d'une entreprise mais surtout grand amateur de romans policiers, assassine Nobuto Matori, petit ami de sa fille unique et adorée afin de la protéger. Ce crime signe pour lui et pour sa femme, qui a découvert et accepté l'acte de son mari, le début d'une bataille sans fin contre l'organisation criminelle dont faisait partie Nobuto dans l'espoir de préserver leur foyer.

My home hero Volume 3 :

La situation de Tetsuo est toujours aussi désespérée. Il va rencontrer Kyoichi et le père du défunt, Tomoe. Le suspense est à son paroxysme dans ce 3e volume de My Home hero !

L'avis de notre indic :

Qu’est-ce qui pourrait tomber un gentil père de famille et sérieux employé du côté obscur de la force ? Lorsqu’il surprend que sa fille à une relation avec un yakuza violent qui envisage de tuer sa progéniture. Il n’a pas le choix, il faut qu’il agisse le premier. Dans l’appartement de sa fille, il tue le jeune garçon prétentieux. Comment se débarrasser du corps sans risquer de se faire prendre ? Par chance, l’homme en question lit et écrit beaucoup de romans policiers. Il connaît tous les trucs pour que cela passe inaperçue. Aidé de sa femme, ils font le nécessaire pour leur progéniture ne se doute de rien. Tout se serait bien passé si le yakuza n’était pas le fils de quelqu’un de très influent. Et comme il fait partie des derniers à l’avoir vu, on va le torturer. Maintenant reste à savoir qui sera le plus fort des deux. Est-ce que la lecture de policier vous rend apte à duper des as du crime ?








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Nous avons fini un arc d'une grande puissance qui nous a tous marqué, emporté. Plutôt que de finir son intrigue, nous relançons le tout avec intelligence. Nous retrouvons un mélange de tranche de vie qui va bientôt faire à nouveau place à un côté plus dangereux, un thriller. Le mangaka est un maestro dans sa mise en scène, et également dans les réflexions menées. La famille est toujours joliment mise en avant.

Pour opérer son coup, il nous projette 7 ans plus tard. Tout le monde a repris le cours de sa vie. Il nous dit dans les grandes lignes ce qui s'est passé, nous montre ce qu'ils sont devenus, et en toile de fond les implications de cette affaire. Il nous montre aussi combien Tetsuo Tosu est partagé, il n'a pas oublié, mais il a avancé, entre autre pour sa famille. Ses sentiments et toute la complexité de la situation ne sont pas négligés, mieux encore il pense également aux affres du temps et leurs implications quand on prend de l'âge.

Ainsi ce tome nous offre une reprise en douceur et en chaleur, pour finir de manière explosive. Voilà, la machine est relancée. Qu'est-ce que cet arc nous réserve ? Qui est derrière tout cela ? Comment s'en sortiront-ils ?

L'impatience de la lecture du prochain tome se fait déjà ressentir, mais il faudra attendre. Un thriller vivement conseillé pour ceux qui les aiment.

Uniquement si vous voulez avoir quelques précisions en plus, mais pas trop pas d'inquiétude. Testuo a évolué dans son travail, sa situation est surtout perçu à travers ses collègues, et sa longue absence n'avait pas joué en sa faveur, mais il est reconnu et apprécié.

Reika, ah sa chère et tendre fille, est devenue policière, pour protéger sa famille. Elle a toujours une sacrée répartie, et la voilà maintenant au coeur du système, même si quand un proche est impliqué, on ne peut pas s'occuper de l'affaire.

Tetsuo et Karen partagent toujours leur vie, sont amoureux et aiment leurs enfants. La vie leur a fait une surprise, 2 ans après la fin de l'arc précédent, et voilà Akira est né. Un petit bonheur qui leur prend également beaucoup de forces, mais également un innocent à protéger de toutes leurs forces.

Alors que Tetsuo fait tranquillement son travail, tout va se précipiter, et encore une fois vous allez être retourné.

Un premier tome assez fou dans son idée mais qui marche vraiment très bien ! J’ai tout de suite accroché à l’histoire ! Tetsuo a tout du père banal, avec un emploie banal mais le petit détail intéressant, est qu’il écrit des romans policiers. Et il trouve peut-être son inspiration pour commettre un meurtre ! Et franchement, toutes les idées pour faire disparaître le corps sont étonnantes et je n’y aurais pas penser ! Je trouve que ce manga est vraiment de tout fraicheur, et que son originalité le fait sortir du lot ! En plus c’est tout ce qui entoure la famille qui est aussi très intéressant, surtout qu’ils sont surveillés… J’ai vraiment hâte d’avoir la suite !



Ma note : 18/20 : Un premier tome très bon qui est vraiment original et qui saura plaire à beaucoup de personnes je pense !

#Frimousse
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Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Agréablement surprise par cette série, et très étonnée que dans ce premier tome il y ait déjà autant d'évènements qui se produisent.

Ce qui m'a dérangé était justement la rapidité des enchaînements d'actions dont certaines étaient un peu too much dans le sens où tout se goupille parfaitement bien... ou presque.

Je suis donc curieuse de savoir comment le mangaka va pouvoir étoffer son histoire sans ennuyer les lecteurs.

Tetsuo est un père de famille lambda qui écrit des romans policiers sans grand succès. Un jour, il tue le violent petit ami de sa fille pour la protéger. Problème c'est un yakusa ! Naoki Yamakawa et Masashi Asaki signent un manga original avec un anti-héro au prise avec des tueurs organisés. L'intrigue est bien menée et les dessins efficaces.

À la découverte du manga...

Découvert au quai du polar à La Ferté Saint Aubin, j'ai été déçu de cette lecture, je suis quand même allez au bout, humour spécial, tout est facile à deviner.

Les dessins sont sympas 😉

La fille de Tetsuo m'a énervé, immature et niaise.

Jusqu'où seriez vous prêts à aller pour protéger votre fille? Parfois on se surprend à être capable de bien plus que ce que l'on pouvait imaginé. Vraiment bien construit. J'attends la suite avec impatience.

Oh un début de descente aux enfers très intéressant ! C'est fou les solutions qu'on peut trouver lorsqu'on en a vraiment besoin. J'ai beaucoup apprécié la façon dont nous est présentée la psyché des personnages.

Si votre fille était en danger, n’iriez-vous pas supprimer la cause de ce danger ? Même si cette cause est une personne bien sûr !

Ce manga est très haletant. On est entraîné dès les premières pages par le suspense de l’intrigue et on se demande à chaque instant comment nos personnages vont trouver une issue à leurs problèmes. Le jeu du gentil face au méchant gagne ensuite en intensité : on cherche à savoir qui a sans cesse un coup d’avance. C’est prenant et c’est bien construit : vivement le tome 2 !
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J’ai emprunté ce volume 1 à la médiathèque car j’ai été attirée d’une part par la couverture pleine d’émotion qui nous embarque dans son univers et nous plonge dans ses couleurs, son monde, ses idées ; d’autre part, la petite banderole rouge précisant « recommandé par Maxime Chattam » m’a également « appâtée ».

Ce manga nous parle d’un père, Tetsuo Tosu, qui tue le petit copain violent de sa fille pour lui éviter une mort certaine, mais, malheureusement, ce copain est en fait le fils d’un yakusa haut placé dans le monde de la pègre.

On assiste alors à la confrontation de deux pères, l’un qui cherche à venger son fils mort et l’autre à protéger sa fille.

Dans ce manga on voit comment Tetsuo Tosu, simple commercial, devient un fin stratège prêt à tout pour sauver sa peau et celle de sa famille.

Ce tome est bien fait, on passe par beaucoup d’émotions intenses et malgré les nombreux éléments que l’auteur ajoute petit à petit dans le récit, il n’y a aucune incohérence et l’histoire est tout à fait réaliste et crédible.



Le dessin est très bien fait, même si je trouve qu’il y a beaucoup de cases vides, avec un personnage au centre et sans fond derrière.

Pour conclure, je dirais que c’est un excellent thriller psychologique que je recommande vivement.

On ne naît pas tueur mais on peut facilement le devenir. Ce gentil père de famille n'avait aucune prédisposition pour tuer un jeune homme. Même si grâce à son obsession pour les romans policiers, il a du se poser beaucoup de question sur les motivations d'un meurtrier. Une fois que le yakuza mort au sol dans une marre de sang, que devait-il faire? Aidé de sa femme, ils vont faire des choix. Il se trouve être stratège de haute voltige malgré tout. Car faire disparaître un corps est vraiment quelque chose de difficile surtout si l'on ne veut pas laisser de trace. Grâce à ces lectures, il a su quoi faire. Bien entendu cela ne sera pas suffisant car les yakuzas doivent retrouver le garçon qui est en lien avec le couple. Maintenant on se demande comment il va pouvoir s'en sortir et ce qu'il va pouvoir faire. Naoki Yamakawa a écrit une histoire tirée au cordeau. Il arrive doucement à faire monter la pression avec une légére dose de stress. Comment une famille sans histoire se retrouve liée à des criminels de haut vol sans limite? Les amateurs et passionnés de roman policier vont adorer ce manga qui les incitera à tourner les pages pour savoir qui des gentils ou des méchants va gagner. 

My Hero Home m'a laissé de marbre au fil de la lecture. L'histoire en elle même est intéressante, mais je n'ai pas accroché aux protagonistes et leur manque de charisme, le scénario manque de rebondissements également. Après ce n'est que le premier tome mais j'aurai du mal à me plonger dans le second. A voir pour la suite.

Nous avons le récit d’un père de famille qui se mêle des histoires de cœur de sa fille qui a quitté le domicile familial afin de faire ses études le plus sereinement possible. Elle ne trouve rien de mieux à faire qu’à se mettre avec le pire des yakuzas, se faire battre accessoirement et se faire soutirer de l’argent ce qui oblige le père à commettre l’irréparable.



Cela donne lieu à des situations assez cocasses et absolument pas crédibles. L’attitude de la fille est presque à baffer au niveau reconnaissance mais passons. Celle de l’épouse de notre home héros est carrément incompréhensible au vu de la situation. Toute l’action est privilégiée au détriment du bon sens.



Bref, c’est un manga qui se prend au sérieux et qui va très vite s’en mêler les pinceaux. A noter également que sur la couverture, il s’agit de dresser le portrait du père, un homme de 47 ans alors qu’on dirait un jeune homme. Bref, tout est trompeur.



Cela aurait pû être un thriller intéressant mais c’est raté. Cela fait dans le stéréotype et la caricature.

Je ne vais pas vous mentir : je suis totalement passée à côté. Techniquement, ça devrait pouvoir fonctionner et graphiquement, ça passe. Mais ça n'a pas pris. Aucune empathie pour les personnages (bon, le protagoniste est particulier, mais rien pour sa fille), aucun intérêt pour ces méchants yakuzas, ennui total.

J'ai mis deux étoiles et pas une car je pense que ce titre peut plaire à beaucoup de lecteurs. Peut-être plus à des lecteurs moins connaisseurs de manga ?

Ce premier épisode se rapproche d'un thriller contemporain ou d'un épisode de série policière, avec un souci d'employer du vocabulaire scientifique et beaucoup de soin apporté aux explications techniques. On apprend comment faire disparaître un corps. Le rythme est bon, le suspense pousse à continuer sa lecture. En revanche, les personnages ont rarement des réactions crédibles : la fille paraît sans caractère, son père qui écrit des romans policiers passe de la théorie à la pratique avec beaucoup de naturel. Il est d'emblée l'homme de la situation. Quant à son épouse : "Chéri, tu prépares des pizzas à la viande fraîche ? Tu veux que je passe au supermarché ? (Chuchote : ) Les méchants ne savent pas ce qu'il y a dans la pizza, n'est-ce pas ?" (On voit la fille jouer à la console dans le canapé pendant ce temps-là.)

Je ne spoile pas ^^ (aucune pizza dans ce manga), je caricature, mais c'est un peu le souci. Je veux quand même connaître la suite.


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Pour Tetsuo rien ne compte plus que sa famille. Pour elle il serait prêt à tout ! Et c’est ce qu’il va devoir prouver quand il découvre que sa fille est tombée amoureuse d’un yakuza qui la maltraite et n’en veut qu’à son argent. Tetsuo va commettre le pire, ce qui l’entraine dans une spirale infernale pour sauver sa peau et celle de sa famille.



Une idée intéressante plutôt bien traitée. J’ai eu pourtant du mal à vraiment accrocher à l’histoire, c’est parfois peu crédible, parfois un peu trop « gore » et je ne me suis pas tellement attachée aux personnages.

Un manga seinen qui parle de yakuzas, de mafia, de gans, de meurtres, de découpage de cadavre et qui arrive à me faire rire… Étonnant, non ? Et pourtant, comme le disait une actrice connue "Je ne suis pas folle, vous savez".



Tetsuo est un modeste père de famille, le genre de papa gâteau qui fait tout pour sa fille, qui la couve, que cherche à la voir, à passer des moments avec elle.



À ses heures perdues, il écrit des polars. Rien de prétentieux, il s’inspire beaucoup de ce qu’ont déjà écrit les autres.



Et alors que tout semblait bien aller dans sa ville monotone et tranquille, le voilà avec un cadavre sur les bras, à se demander comment faire pour s’en sortir et s’en débarrasser.



Bourré de situations cocasses et d’humour noir, ce manga m’a fait découvrir des choses intéressantes, notamment comment se débarrasser le plus facilement possible d’un corps. Par certains aspects, j’ai pensé à un épisode de la série Breaking Bad où Walter White doit lui aussi réduire un cadavre à l’état le plus liquide possible.



En prenant ce manga au second degré, il me fut plus facile d’accepter que notre pauvre homme de 47 ans, le genre d’homme tranquille qui ne sera jamais le meneur d’un groupe, ait su trouver toutes les astuces pour liquéfier le corps dans la baignoire et rapporter ensuite les restes dans une sorte de doggy bag valise.



Notre Tetsuo n’a rien d’un super héros, ni d’un mec couillu, il est monsieur-tout-le-monde, mais je me demande combien réussirait cette mission sans craquer, sans foirer le truc, sans rien oublier… Tetsuo est à deux doigts de craquer, il a la trouille de sa vie, mais il y arrive, lui !



Le tout sous la compréhension absolue de son épouse qui va l’aider et sous le regard un peu absent de sa fille qui ne se rend pas compte de ce que ses parents sont en train de faire pour elle et qui me semble fort apathique. Limite à baffer, la fille !



En tout cas, dans ce manga, on ne voit pas le temps passer, le rythme est assez élevé, sans pour autant aller trop vite et le mangaka nous évite les scènes les plus gores. L’humour noir est présent, les situations cocasses font sourire, il y a du suspense et on se demande bien comment cette petite famille va s’en sortir avec les yakuzas.



J’ai bien envie de poursuivre avec le tome suivant, lorsque je l’aurai acheté, pour voir comment ce manga va évoluer.


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Il est résulte un thriller assez efficace, au scénario bien fourni, qui rend hommage à la littérature policière en traçant sa propre voie. Reste que le livre ne s’adresse pas à tous les publics.
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Je viens de lire le tome 1 et j'ai adoré. C'est vraiment intrigant. On a un père et une mère sympathiques qui ont commis un acte horrible pour sauver leur fille et ils essaient de s'en échapper grâce à l'imagination du père, auteur amateur de romans policiers. C'est une histoire quelque peu déroutante mais on se demande comment les parents vont s'en sortir face aux yakuzas.

My Home Hero reste une histoire assez insolite à plusieurs niveaux. Cela va être un jeu d’échec grandeur nature entre cette famille et ces yakusas. Les parents de Reika sont très protecteurs, et ce ne sont pas les seuls. Ils feraient tout pour leur fille, ils s’inquiètent pour elle. La père semble être un papa poule, ces réactions vis à vis de sa fille sont aussi drôles qu’ironiques surtout quand on va voir ce qu’il va faire pour la protéger. Il a l’expérience des romans policier sur le papier. Evidemment, la vraie vie et le papier, ce n’est pas totalement la même chose, pourtant le couple se révèle très stoïque et pragmatique. D’un côté, le lecteur pourra vraiment se dire qu’ils sont forts. Trop forts ? Est-ce bien crédible ? D’un côté, on a des réactions et actions quand il s’agit de protéger Reika très fortes, réfléchies, pas précipiter, mais d’un autre il y a une certaine psychologie, car ils se posent quand même des questions, le père panique par moment, s’inquiète pour le futur. La mère se révèle plus que la parfaite ménagère, une équipière de choc dans leur vie de couple. Reika semble être une jeune femme sensée, un peu submergée par l’amour de ses parents ? Par contre, le choix de son petit-ami fût une catastrophe. Il ne s’agit pas seulement de quelqu’un de violent, imbu de lui-même, mais elle est également tombée dans un sacré piège. Son père accuse les coups, mais pas touche à Reika. Il va alors se servir de son expérience professionnelle et de vie pour réagir face à l’impensable. Le titre s’avère très drôle avec des réactions hors normes, mais apporte également son lot de frissons. Ils n’ont pas à faire à n’importe qui. Au-delà de la réaction calme, ou comme chacun le sait, on ne réagit pas tous de la même façon. Ils auraient pu se mettre en mode robot.



La réflexion, et ce que chacun trouve est épatant, on croirait des agents secrets. Chez les yakusas, il n’y pas que des idiots non plus. Le jeune homme qui les piste est très fort.



Tout dépend de comment on prend cette série, il y a quand même une certaine ironie. La famille est plutôt attachante, et le graphisme sympathique. La méthode choisie pour dissimuler le cadavre a l’air réfléchi aussi, il y a une ironie de traiter cela comme un problème usuel d’ordure ménagère.



N’oubliez pas de soulever la jaquette.
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