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Critiques de Miriam Katin (47)
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Lâcher prise

Miriam Katin signe un album surprenant au crayon de couleur. Cette manière de dessiner, renforce le ton du livre : naïf, primesautier, espiègle et donc libre de toute entrave. Pour autant, le fond du livre – dont le lecteur peut assister aux douloureuses étapes de conception mentale – n’est certainement pas anodin.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Seules contre tous (BD)

Avec cet ouvrage, Miriam Katin participe du mouvement de publication massif qui revient sur la période de la Seconde Guerre mondiale. Lorsqu’elle était enfant en 1944, elle a fui de Budapest avec sa mère, ballotée d’un endroit à l’autre, sans repères et dans la menace perpétuelle d’une arrestation. Elle reprend aujourd’hui le point de vue de la petite fille qu’elle était pour témoigner de cette période en ne négligeant pas de faire apparaître la confusion et la violence d’une situation qu’elle n’avait alors pas la possibilité de comprendre totalement.





Sur le plan intellectuel, ce témoignage n’évite pas certains écueils habituels. On retrouve ainsi certains personnages-types habituels : le méchant collaborateur, le fermier bourru mais sympa, le célibataire riche et fou amoureux, le mari-soldat absent… Le caricatural de ces personnages est encore renforcé par le langage essentiellement émotionnel choisi par Miriam Katin. On comprend que ce choix découle de la puissance des impressions suscitées par les événements sur le cerveau d’un jeune enfant, mais la transcription à l’âge adulte n’a pas évité les raccourcis parfois faciles.





Cet album me laisse un sentiment très mitigé mais la nature du sujet évoqué ne me permet pas de me montrer plus critique. Peut-on juger correctement le travail de quelqu’un ayant souhaité contribuer à l’œuvre collective de dénonciation des dérives de la Seconde Guerre mondiale ? La fin visée est légitime, pour le reste, c’est une question de goûts…
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Lâcher prise

Entre New-York et Berlin Miriam ressasse des événements que ses parents ont subi pendant la guerre de 39-45.

Son fils lui demande de l'aider à obtenir la nationalité hongroise pour pouvoir résider dans les pays de l'UE sans trop de problèmes.

Son déplacement à l'ambassade de Hongrie, puis à Berlin pour rendre visite à son fils font remonter l'aversion de Miriam pour ces pays qu'elle croyait avoir refoulés tout au fond de sa mémoire. Sa future belle-fille lui parle donc de la"Vergangenheitsbewaltigung" ou, en français, confrontation avec le passé". Elle va la rendre attentive aux changements et, tout en respectant le devoir de mémoire, à relativiser les événements liés au passé.

Le style de dessin et le dialogue sont un peu brouillons et on a de la peine à suivre l'histoire. Mais dans l'ensemble c'est une lecture instructive.
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Lâcher prise

Miriam Katin, d'origine juive, est née en 1942. Avec sa mère, elle a fui les troupes allemandes puis l'armée russe à travers la Hongrie et la Pologne. Installée aux Etats-Unis depuis 1963, elle vit aujourd'hui à New York, écrit des témoignages en bandes dessinées après avoir travaillé pour Disney.

Dans ce "Lâcher prise", elle évoque le départ de son fils adulte pour Berlin, la difficulté pour elle d'accepter qu'il adopte la nationalité hongroise et s'installe en Allemagne. Du sel sur une plaie encore à vif pour cette femme exilée... Miriam ira néanmoins lui rendre visite, et va, malgré ses réticences et son hostilité, apprivoiser le Berlin d'aujourd'hui. Un "Berlin nouveau" (sic) qui respecte les victimes de la Shoah et celles du régime soviétique de l'après-guerre.



Cet album-témoignage est intéressant, honnête. L'auteur s'y présente sans complaisance, apparaissant comme une femme torturée, agaçante, capricieuse, mais finalement attachante. Le graphisme peut rebuter : le trait et les tons sont fouillis, tristounets, ternes, vieillots - parfaitement en phase avec l'image que j'ai eue de l'auteur, cela dit.
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Seules contre tous (BD)

Et vlan ! une sacrée claque la lecture de cette BD !

D'une part, parce que près de soixante-dix ans après les faits, on pouvait espérer avoir été bien informé (?!)

D'autre part, le contexte de la Hongrie en cette année 1944 je ne connaissais pas ; merci à Nanne pour ses explications.

Ces pays d'europe de l'Est étaient pris dans l'étau entre l'armée allemande et les troupes russes, donc victimes soumises à toutes les turpitudes et à tous les courages : celui de cette femme seule avec sa petite fille qui fuit et courage de ceux qui vont lui porter secours.

En première approche je n'aimaiS pas le dessin, trop sombre, trop gribouillé et très vite j'ai changé d'avis devant la qualité des destructions. Elles parcourent un monde de misère et de peur : la dureté, l'aspect cru est quasiment au rendez-vous de chaque page.

La lumière et les couleurs sont là aussi : dans les planches qui relatent la vie de la petite fille devenue adulte, et maman dans ce New York des années 1970. Lumière aussi apportée par la rencontre de tous ceux qui vont accepté de les héberger, de leur venir en aide. Et grâce auxquelles el s'en tireront.



Bouleversant aussi par la réflexion sur la religion ; tant la Torah que la Bible apporte un certain confort à un petit enfant, mais ensuite...

On comprend que pour l'auteure, accepte avec réticence que son mari inscrive leur fils à l'école juive, parce que pour elle, c'est encore séparer.



Encore une belle BD qui donne matière à réflexion tout en chamboulant le coeur et en prenant aux tripes
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Seules contre tous (BD)

D’un point de vue esthétique, cette BD est un coup de cœur. Le trait est maitrisé, les dessins sont tantôt en noir et blanc tantôt en couleur selon l’époque racontée. Les dessins sont détaillés (architecture), dynamiques (vent, bombardements etc.) ou parfois simples laissant un sentiment d’inachevé (scène de violence).



Par contre, j’avoue avoir été moins emballée par le récit, car j’ai eu un arrière goût de déjà lu, le sentiment de lire le même récit que bien d’autres histoires du genre… Cela peut paraître déplacé mais c’est le sentiment que j’ai ressenti. De plus certains passages relèvent clairement plus de la fiction que de l’autobiographie (notamment les passages où le concierge dit derrière le dos de Miriam et sa mère "sales juives!"). J’ai apprécié ceci-dit toutes les remarques pertinentes de la petite Miriam sur Dieu, et je pense que c’est en grande partie ce qui l’a motivé à faire cette BD.



Il faut noter qu’elle a reçu le grand prix de la critique BD de l’ACBD (Association des critiques et journalistes de BD). Je lirai à l’occasion l’autre BD de cette dame, "lâcher prise", qui traite de "sa lutte pour passer outre ses vieilles blessures et sa haine de tout ce qui est allemand ".
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Lâcher prise

Il y a quelques jours, je vous parlais de Seules contre tous, un album où Miriam Katin revenait sur ce qu’elle a vécu pendant la Seconde Guerre Mondiale.



Nous nous invitons cette fois dans l’appartement new-yorkais de l’auteure. Elle y travaille ou du moins tente de le faire. Une mélodie sort de la pièce d’à-côté, un camion de pompier passe en trombes dans la rue, une petite faim… rien ne lui permet de se concentrer. Elle procrastine ! Elle reprend donc les choses à zéro et nous invite à créer le livre en sa compagnie.



Alors, où commence une histoire ? Imaginez que vous vous trouvez actuellement dans l’histoire en question. Que c’est une situation douloureuse et que vous savez dessiner. Alors, vous devez essayer de vous en extraire par le dessin



Une blatte fait son apparition sur son oreiller. L’appartement en regorge mais est-ce une métaphore ? Un clin d’œil au cafard de Will Eisner ? Quoiqu’il en soit, l’auteure tient un fil ; elle fait venir un technicien pour les éradiquer. Une réflexion de l’agent d’intervention la met sur une piste :



« Ah ça Madame, c’est de la blatte germanique et il y en a un paquet.

- Germanique ? Pourquoi germanique ?

- Je ne sais pas. Peut-être parce que c’est des sales bêtes ».



Et voilà Miriam Katin partie à la rencontre d’un expert pour se documenter. Elle souhaite comprendre l’origine de cette appellation. Origine ! Le mot est lancé. Ses recherches l’occupent jusqu’à ce que son fils, installé en Europe depuis quelques temps, lui annonce qu’il souhaite s’installer à Berlin et prendre la nationalité hongroise. Miriam Katin associe passé et présent. Les traumas de la Seconde Guerre mondiale ressurgissent.



-



La légèreté du ton employé de dilue en aucun cas les propos tenus par Miriam Katin dans l’ouvrage. Au début, s’il est question des difficultés liées à un sérieux manque d’inspiration, l’auteure nous emporte très rapidement vers un tout autre témoignage. Les propos d’Ilan, son fils, la percutent de plein fouet. Pourtant, malgré le raz-de-marée que provoque en elle cette annonce, elle va de l’avant et se force à comprendre la démarche de son fils. Si elle trouve ce projet insensé, il est pour elle inconcevable que son fils ait pris sa décision à la légère.



Un tumulte qu’elle illustre parfaitement. Feutres, crayons de couleurs, crayon de papier… c’est un joyeux charivari d’humeurs et de décors qui nous emporte dans le quotidien légèrement déjanté de l’auteure. Une femme qui croque la vie à pleines dents, du moins c’est l’impression qui ressort. Elle est amusante et ne s’encombre pas avec de complexes inutiles. Sans chercher à plaire ou à déplaire, elle s’affranchit des codes de bonne conduite habituels, elle se montre telle qu’elle est dans son quotidien : mal coiffée au réveil, débraillée après un repas bien arrosé avec sa mère… Sans changer de rythme ou de registre narratif, elle nous livre sans pudeur ses inquiétudes les plus tenaces, ses peurs et ses joies les plus primaires. Une femme forte qui n’hésite pas à remettre en cause ses convictions et ses choix. Elle nous offre la possibilité de l’accompagner dans un quotidien décapant.



Certaines planches m’ont fait penser au travail de Florent Chavouet (Manabé Shima, Tokyo Sanpo). Certes, le trait de Miriam Katin est moins chargé. Les teintes des illustrations sont douces, le dessin est soigné même si ponctuellement, il se fait plus nerveux pour coller aux moments de précipitation (un départ en avion, un gros problème gastrique à l’hôtel…) ou d’angoisses. Les dessins, soignés et détaillés, vrillent régulièrement sous l’effet d’un trait plus sec et nerveux. Une veine graphique qui renforce la spontanéité que l’on ressent dans la manière que l’auteure a de se présenter au lecteur et dans sa manière d’être au quotidien. La personnalité de cette dernière fait le reste et le lecteur l’accompagne dans son quotidien pétillant. On trouvera également de nombreuses métaphores graphiques qui soulagent ses propos, renforcent l’idée qu’elle pose un regard amusé sur sa vie et la manière qu’elle a d’aborder les difficultés.



(...)
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Lâcher prise

A 65 ans Miriam, juive hongroise accepte difficilement que son fils aille s'installer avec sa fiancée à Berlin. Elle dont la famille a été décimée lors de la deuxième guerre mondiale et qui a fuit l'europe et ses souvenirs douloureux pour se réfugier à New york.



Miriam Katin livre ici un roman graphique autobiographique ou elle livre sans détours ses appréhensions, ses ressentiments vis à vis d'une allemagne nazie qu'elle refuse de voir telle qu'elle est aujourd'hui.



Mais comme l'indique le titre de l'oeuvre Miriam avec humour et introspection finira par lâcher prise au fil du temps et nous offre ici un témoignage touchant de sincérité.



Les planches sont graphiquement riches en détails et d'une finesse que j'ai beaucoup apprécié, un joli coup de crayon de couleur qui aide l'artiste à adoucir les propos du premier tiers du livre.
Lien : http://edea75.canalblog.com/..
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Lâcher prise

(CA 976)Comment quand on a 65 ans, qu'on vit à New-York et qu'on a du enfant, fuir son pays la Hongrie avec ses parents pour échapper à l'holocauste, peut-on accepter que son propre fils décide de vivre à Berlin? C'est un long chemin que devra parcourir cette mère pour entreprendre un voyage à Berlin lieu d'extermination des siens, se rendre dans les musée et lieux de commémoration pour enfin "Lâcher prise" et retrouver la sérénité. Un album en forme de carnet de voyage crayonné aux couleurs pastels qui pourrait être retenu en collège et en lycée.
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Lâcher prise

Miriam Katin est née en Hongrie durant la Seconde Guerre mondiale. Elle a survécu à l'Holocauste en fuyant son pays dans les bras de sa mère. Elle a vécu en Israël puis émigré aux États-Unis en 1963. Elle a travaillé pour des studios de dessin animé et habite désormais à New-York avec son mari.

Miriam a raconté l'histoire de sa fuite de Hongrie dans sa première bande dessinée, Seules contre tous, en 2006, alors âgée de 63 ans. Une auteure de BD tardive !



Avec Lâcher prise (2013), elle aborde ses tourments personnels, quelques soixante années plus tard.

Le récit se passe à l'époque actuelle. Elle vient justement de publier son autobiographie dessinée dans laquelle elle raconte les atrocités dont elle a été le témoin durant la Seconde Guerre mondiale et son fils Ilan lui annonce qu'il désire s'installer à Berlin avec sa fiancée. Il sollicite son aide pour obtenir la nationalité hongroise et devenir ainsi membre de l'Union européenne.

C'est l'horreur pour Miriam qui continue de détester l'Allemagne et la Hongrie du plus profond de son être.

"Moi vivante, ça n'arrivera pas ! Ils ont voulu nous tuer !"



Le passé remonte à la surface et Miriam va devoir affronter ses démons intérieurs pour accéder à la demande de son fils.

Elle en est malade dans un premier temps, passe son temps à gamberger, en discute avec son mari, avec sa mère, avec une copine.

Bravant ses préjugés, elle se rend une première fois visite à son fils à Berlin en 2009 et découvre une ville harmonieuse qui a fait le deuil de son passé douloureux.



Une seconde visite, à l'occasion de l'exposition de certaines de ses planches de dessin, sera nécessaire pour se confronter à son passé et arriver à le maîtriser (le fameux "vergangenheitsbewältigung" allemand)...



Je ne connaissais pas du tout cette femme ni son œuvre artistique et c'est vraiment par hasard que je suis tombée sur cette bande dessinée. J'ai été immédiatement séduite par le sujet, par l'humour et l'autodérision de l'auteure, et surtout par ces délicieux coups de "crayons de couleurs".




Lien : http://linecesurinternet.blo..
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Lâcher prise

Entre journal intime, carnet de croquis et carnet de voyage, Lâcher prise semble donc indiquer un processus de création qui ne se déroule pas a posteriori des événements racontés, mais bien de façon simultanée.
Lien : http://www.du9.org/chronique..
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Lâcher prise

Une histoire somme toute assez banale, tout le charme se trouve dans l'illustration ( au crayon) au charme désuet.
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Lâcher prise

Une BD contre les idées reçues, contre les vieilles façons de penser et de croire qui n’ont plus de raisons d’être, et définitivement pour un avenir optimiste, sans oublier le vergangenheitsbewältigung : la confrontation avec le passé.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Seules contre tous (BD)

Avec la réédition de ce titre initialement paru aux éditions du Seuil, Miriam Katin fait coup double en ce début d’année 2014 puisqu’en même temps paraît, chez Futuropolis également, sa bande dessinée intitulée Lâcher prise.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Seules contre tous (BD)

Une belle autobiographie qui raconte la sombre période qu'ont traversée l'auteure, alors jeune enfant, et sa mère pendant la seconde guerre mondiale en Hongrie. Son père parti à la guerre, sa mère juive se doit d'improviser quand on lui demande de répertorier ses effets avant de ne partir je ne sais où. Elle fuit alors à la campagne et doit affronter de multiples épreuves.... J'ai aimé le graphisme en noir et blanc et le coup de trait au fusain ainsi que les quelques touches de couleurs dissiminées au travers du livre qui plonge le lecteur au moment de l'écriture, une autre époque, une autre vie mais surlaquelle le passé pèse...
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Lâcher prise

Au final que dire de plus de cet album si ce n’est que derrière ses aspects simplistes, il offre un récit intime et profond bref une belle leçon de vie.
Lien : http://www.avoir-alire.com/l..
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Seules contre tous (BD)

EXTRAIT "J’ai lu cet album d’une traite, avec un sentiment d’oppression assez inattendu. Il m’a fallu aller jusqu’au bout, lire, lire, comme pour arriver plus rapidement à un dénouement moins malheureux que le vécu de cette femme et de sa fille, l’auteure elle-même. Miriam Katin nous entraîne dans cette histoire sans qu’on y prenne garde. On se met à trembler de peur pour elles, on imagine forcément le destin qui sera le leur si elles sont prises par les nazis."
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..
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Lâcher prise

Après le bouleversant récit Seules contre tous que les éditions Futuropolis rééditent à l'occasion de la sortie de Lâcher prise, l'auteure Myriam Katin nous livre une petite pépite de sincérité et une bonne leçon d'introspection qui ne devrait pas laisser pas le lecteur indifférent.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Seules contre tous (BD)

EXTRAIT "J’ai lu cet album d’une traite, avec un sentiment d’oppression assez inattendu. Il m’a fallu aller jusqu’au bout, lire, lire, comme pour arriver plus rapidement à un dénouement moins malheureux que le vécu de cette femme et de sa fille, l’auteure elle-même. Miriam Katin nous entraîne dans cette histoire sans qu’on y prenne garde. On se met à trembler de peur pour elles, on imagine forcément le destin qui sera le leur si elles sont prises par les nazis. Et la grande force de Katin, c’est qu’elle réalise cela avec un mélange de souvenirs et de moments romancés. "
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Seules contre tous (BD)

Après l’impressionnant Seules contre tous, Miriam Katin raconte sa découverte de Berlin, à travers des retrouvailles filiales compliquées. Léger et profond à la fois, avec autant de fantaisie que d’autodérision.
Lien : http://www.actuabd.com/Lache..
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