Citations de Mr Tan (179)
Et il va falloir aller à l'école TOUTE l'année ?
LE PÈRE : C’est pas possible de faire de pareilles bêtises. Mais où vas-tu chercher tout ça ?
ADÈLE : Ah, tout de même, je suis flattée que tu reconnaisses enfin mon talent !
GEOFFROY : Tu crois que tu iras en enfer ou au paradis, toi ?
ADÈLE : J’irais où ils offrent des cookies !
- On va monter tout en haut pour redescendre tout en bas ? (Adèle)
- Oui enfin...c’est résumé mais oui... (le moniteur)
- Mais ça sert à rien ! C’est comme travailler pour pouvoir partir en vacances, ou gagner des sous pour payer des factures... (Adèle)
- Bah alors plus personne ne veut skier ? (Charlie)
- Laisse-leur cinq minutes ils viennent de comprendre le principe de la vie d’adulte. (Adèle)
- Tu as déjà vu un ciel avec autant d'étoiles ?
- Ce sont des pensées, des promesses et des larmes aussi. Elles s'accrochent dans le ciel et brillent pour qu'on ne les oublie pas.
Description d’une image de ce manga:
En noir et blanc : Deux enfants assis sur un banc ; l'un abandonné, habillé en hayon, l'autre perdu.
Celui qui est perdu ne veux plus de l'aide de l'autre. Il a peur. Il prend son courage à deux mains, se lève. Au dessus d'eux un arbre immense se dessine sur le ciel sombre. Le vent souffle et fait voler ses feuilles. Nous sentons peser le poids effrayant de la nuit qui approche avec son lot de dangers.
Les deux enfants sont si démunis au pied de l'arbre.
Oui tout cela se sent dans cette unique image.
- Je m'appelle Frida Von Schloss, et je n'aime pas les enfants bruyants... Je n'aime pas non plus les enfants qui se plaignent, qui rient, qui bougent dans tous les sens...
- Vous n'avez rien contre ceux qui respirent ?
- Je n'aime pas non plus les enfants qui font de l'humour.
[p47]
- Je ne comprends pas les humains. Ils passent leur temps à le perdre !
On doit empêcher les gens qu’on aime de se perdre, tu ne crois pas ? Garder une lumière allumée pour eux, pour qu’ils retrouvent toujours leur chemin. Et s’il n’y a pas de lumière, alors il faut en devenir une.
Quelque chose sur cette Terre continuera de briller. Chaque fois que tu auras peur, que tu douteras, que tu chercheras en toi la force de l'affronter. Souviens-toi, que toi aussi, tu as été aimé. Et qu'un peu de toi reste là, près de moi.
– Mon scanner m'indique que c'est une variété très toxique. C'est du… C'est du…
– DU BROCOLI !
– HEIN ?
– Cours, vite !
– Ces gens sont des barbares !
– ATTENTION, TU VAS MARCHER SUR UN CHOU DE BRUXELLES !
– AH ! J'ai été légumisée !
– Ils arrivent ! Vite, relève-toi ou nous sommes… fichus. Vous auriez une perfusion de chocolat ? Elle fait un malaise… Non ? Rien ? Vous parlez notre langue ?
(pp. 23-24)
- Il y a vraiment des jours où ton père m'énerve !
- Ça m'arrive aussi ...Mais j'ai une technique pour aller mieux !
- Ah bon ?
- Oui, je nettoie la cuvette des toilettes. Et hop, je retrouve le sourire !
- Mais ... Quel rapport avec ton père ?
- Je le fais avec sa brosse à dents.
Aujourd'hui j'ai attaqué un château, vaincu deux dragons, détruit une catapulte géante et sauté par dessus un océan en un clin d'oeil. Pas de doute, le monde des Playmobils, c'est vraiment très bon pour l'ego. (p.47)
- Adèle, je ... Je dois te demander quelque chose ... Est-ce que tu m'aimes ?
- Oh là là ... NON !
- Mais je ... Je ... Ça devait être un moment magique ...
- Bon, d'accord ... repose ta question !
- Adèle, est-ce que tu m'aimes ? !
- Oh là là, ABRACADABRA ! NON ! C'est assez magique pour toi, cette fois ? !
Qui pourrait allumer une étoile ?
Quelqu'un qui t'aime... et qui voudrait que tu ne sois jamais seul. Quelqu'un qui prie chaque soir... pour qu'une lumière brille pour toi et te protège.
L'amour te rappelle constamment que tu n'es pas seul dans le noir. Et que la douleur, quand on la porte à plusieurs ou quand les souvenirs l'accueillent ne pèse plus rien.
- Oh tu sais, on s'habitue à tout... Il faut faire comme avec les parents, tu fais semblant d'écouter et tu penses à autre chose en même temps.
page 11
Je reste près de toi, Aki. Ferme les yeux.
Ni les ombres, ni l'obscurité ne s'approcheront de toi cette nuit.
Car tu brilles, dans le noir.
- Bah, on nous a fait disséquer des grenouilles...
- Oh... ça t'a fait de la peine ?
- Bah oui, elles étaient déjà mortes ! J'suis trop déçue.
Geoffroy :
- " Est-ce que tu sens quelque chose se passer en toi quand tu me vois ?"
Adèle :
- " Sur un plan purement chimique, oui !"
Geoffroy :
- "Ah bon ? Et ça veut dire que tu m'aimes."
Adèle:
- " En science, on appelle ça l'effet "Levure" !
Ah non, ça veut dire que tu me gonfles."
page 54 .