Naoki Yamakawa

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 9 :

Tetsuo revoit son camarade d'enfance devenu policier, et ce dernier en sait beaucoup trop sur lui. Seraient-ce les derniers moments de liberté du père de famille ?

Pendant ce temps, on découvre le passé de sa femme, et de sa famille toxique.

Petit flashback fort sympathique avec de nouveaux personnages au caractère fort.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 8 :

Une course-poursuite s'engage entre Tetsuo qui suit sa fille, et l'un de ses prétendants, qui lui fait courir un grand danger.

Tetsuo s'est fait un allié plutôt original pour cette mission.



Tome encore bien barré digne d'un film policier.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 7 :

Reika a plusieurs prétendants... au grand dam de son père qui doit faire le tri pour savoir qui aime sa fille et qui est une menace pour elle et pour la famille.

Un ancien personnage ressurgit et va tout remettre en question.



Après le tome 6 qui était une réussite, ce tome est également très alléchant et rempli de suspense et d'humour. Un régal.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 6 :

Suite et fin du duel entre les pères désespérés, Tetsuo et Monsieur Matori.

L'après-duel est riche en rebondissements et la tension monte d'un cran.

Pendant ce temps, Reika ne sait plus où donner de la tête avec la gent masculine.



J'ai trouvé ce tome au-dessus des autres grâce à ses multiples scènes d'actions et retournements de situations. Une réussite.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 5 :

Tetsuo continue son stratagème pour faire accuser Kyôichi du meurtre.

Pour cela, il a une idée risquée et difficile à mettre en oeuvre, pour le faire accuser. La majorité de ce tome se passe dans l'appartement de Kyôichi.

Monsieur Matori, le père de la victime Nobuto, mène également l'enquête.

Le tome se termine sur le duel entre les deux pères désespérés.



Que d'actions, de suspense et d'humour dans ce tome, et toujours des idées dignes de vrais truands pour le couple Tetsuo et sa femme, pourtant criminels du dimanche.

A force, je me suis faite à cette idée et cela ne gâche pas le plaisir ni l'envie de continuer la série.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 4 :

Tetsuo veut tout faire pour accuser Kyôichi du meurtre. Les deux hommes si différents commencent pourtant à créer des liens.

Lequel des deux sera le plus malin ?



Toujours autant de suspense dans ce manga dont je ne me lasse pas. L'humour est également présent en même temps que les situations cocasses.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 3 :

Tetsuo est infiltré malgré lui dans l'organisation mafieuse et est sous surveillance constante. Il met en place un plan pour faire croire que Nobuto est toujours en vie.

Kyôichi reste toujours méfiant à son égard.



Je me suis bien bidonnée sur ce tome. De gros fous rires notamment avec l'une des scènes finales chez Tetsuo et le café.

J'en reprendrai bien volontiers une tasse... ou presque.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 2 :

On en apprend plus sur le vrai métier de Tetsuo, commercial dans une entreprise de jouets.

Et surtout, c'est le moment grand nettoyage de printemps avec le guide pour faire disparaître un corps discrètement sans éveiller les soupçons. Ça peut toujours servir. C'est l'un des grands moments de ce manga, avec des passages un peu trop parfaits qui décrédibilisent, mais l'humour est tellement présent qu'il fait oublier ce côté too much.



Ce tome fait aussi la part belle aux représailles des Yakusa.



Du suspense, des peurs, de l'humour, et des rebondissements, la recette du tome 1 est de nouveau mijotée pour ce tome 2. Un régal.

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Agréablement surprise par cette série, et très étonnée que dans ce premier tome il y ait déjà autant d'évènements qui se produisent.

Ce qui m'a dérangé était justement la rapidité des enchaînements d'actions dont certaines étaient un peu too much dans le sens où tout se goupille parfaitement bien... ou presque.

Je suis donc curieuse de savoir comment le mangaka va pouvoir étoffer son histoire sans ennuyer les lecteurs.

Rebond



Apres un début de tome nerveux mettant fin à la première partie de cette série, la suite du tome se pose un peu. Mais ce n est qu illusion car les premières pierres de la suite se placent, une taupe est en embuscade et le hasard mais la police dans cette nouvelle équation dont un aperçu rapide du résultat est montré dans ce tome.

Un nouveau départ reussit

Un tome qui relance l'intérêt. On sent l'épisode "Village" qui arrive doucement à sa fin…. Alors oui ça prend du temps, y a du sexe, y a des morts, y a des yakuzas, des tarés, de la chasse à l'homme, des blessés, des sacrifiés, des naïves, des mercenaires etc… donc oui il y a de quoi faire, ça se met en place et on ne sait pas comment ça va se terminer cette histoire.

Ça se lit bien, et ça relance un peu l'intérêt, donc j'annonce : oui je lirai le tome 16.

Un regain d'intérêt .. Espérons que c'est pour mieux nous surprendre par la suite !

L'intrigue reprend ENFIN les bases qui avaient fait son succès en remettant le père et ses actions calculées au centre de l'histoire. Il s'agit maintenant pour lui d'arriver à faire sortir sa femme et sa fille de la secte, sans se faire attraper par le cartel qui veut sa peau.

Les dessins sont toujours aussi minutieux et les ombres hyper-travaillées pour donner l'ambiance des scènes.

La fin laisse sur un sacré suspens, j'attends donc la suite avec impatience !
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Ce manga est un thrilleur haletant, il se lit d’une traite je vous conseille d’avoir la suite sous le coude. Je lis très peu de manga mais lorsque j’ai vu la couverture de celui-ci avec la petite recommandation de Maxime Chattam je me suis laissée tenter et j’ai adoré.

J’ai eu l’impression de retrouver mon cher petit Dexter Morgan sauf que là, Tetsuo,le protagoniste principal, est un simple monsieur tout le monde.

Le pitch est simple: Tetsuo est le père d’une jeune fille de 18 ans il est commercial et père de famille. sur le papier rien ne le prédestinait à commettre un crime. mais lorsque il découvre que la vie de sa fille est en danger il va tout faire pour la mettre en sécurité.

étant une novice du genre j’avais peur d’être un peu perdue mais pas du tout, la lecture est fluide

et les dessins illustres parfaitement les pensées des personnages. On y voit un Tetsuo plus complexe et torturé qu’il n’y parait, sa femme avec un flegme incroyable un peu comme Morticia dans la famille adams et la fille on dirait un peu un télétubbies tout mignon. Petit plus pour les dessins techniques explicatifs je trouve que cela apporte une note d’humour supplémentaire.

J’ai beaucoup aimé cette lecture. Je vais attaquer la suite sans plus attendre.

Après une première partie de série qui m'avait bluffée, j'ai vraiment beaucoup de mal à voir l'intérêt d'avoir fait entrer une secte dans l'équation. Le personnage paternel est toujours en train de se questionner sur la nature humaine et sur ses capacités à franchir les interdits mais il n'apparait plus si central que ça dans l'intrigue.

Je trouve que le mangaka s'égare un peu de ce qui faisait l'attrait de la série. Je lirais sûrement le prochain tome en espérant qu'il redresse la barre.
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Parmi mes 70 livres empruntés, il faut toujours faire un choix à qui sera le prochain dans les mains et non plus sur les étagères... Je tais évidemment les livres m'appartenant et s'empilant ailleurs XD Mais bon, quand j'ai vu que le tout tout dernier tome sorti était déjà sur les étals de la biblio, je n'ai pas hésité une seconde (en omettant les 70 déjà présents à la maison) et je me suis jetée dans la lecture improbable de la vie de Tetsuo, un père de famille sans histoire. Sans quoi ?! Dans ce tome, son plan est diablement ingénieux, j'ai trouvé ça génial et je me disais enfin qu'il allait sortir de cette routine à problème. La roue du destin allait tourner ! Jusqu'à la fin du tome, j'ai espéré mais la roue ne cesse de s'arrêter sur les mots : mort, poisse, meurtre.. OUPS. Ca reste génial à suivre car c'est vraiment bien pensé comme thriller sectaire et mafieu-tique (oui car je veux inventer ce mot pour cette série).

Aux termes de ce tome, nul ne peut encore dire s’ils vont enfin être réunis, si les yakuzas vont réussir leur plan d’enlèvement, ni même si les pseudo-alliés dans le village vont réellement aider quiconque à en sortir. Mais tout est mis en place pour ferrer le public et attendre impatiemment la suite dans un tome 15 prometteur.
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Cette série prend sa place petit à petit dans mon monde de thriller manga que j'affectionne tant. Alors qu'il avait commencé avec un meurtre violent, tout l'environnement a pris de l'ampleur avec cette dimension de secte reclue dans la campagne, la bande de mafieux et surtout, notre héros père de famille. Tetsuo rode dans le village et fomente un plan durant les festivités à contrecœur comme toujours? Peut-être pas cette fois-ci envers son beau-père gourou.. La secte est ainsi décortiquée et on en apprend plus depuis l'intérieur avec Reika, prisonnière et assistant à l'avènement de sa mère, la future Ogaminé. Chaque tome est riche en rebondissements alors vivement le prochain !!

Nous sommes à nouveau totalement pris dans la toile et surtout dans ce terrible village qui nous donne des haut-le-cœur. Le début de l'histoire plongé dans un pan du passé de Kasen nous glace littéralement le sang, de même une fois revenu au présent. Ils vont se battre, le jeu sera compliqué et terrible, les choix aussi, il y aura même comme une chasse à l'homme. Tetsuo et Kase seront au centre de ce tome, tandis que Reika est évoquée mais la grande absente. Certains personnages sont redoutables, le plan a quelque chose de machiavélique mais les deux clans également. Le plus difficile sera que finalement ça se lit très vite et qu'il faudra attendre la suite avec une certaine angoisse.

Dans ce tome, Kasen aimerait protéger sa famille, Tetsuo l'a fait, elle a même accepté d'être complice, mais tenir l'arme, faire les choses par soi-même, c'est une autre histoire, surtout si cela implique de tuer quelqu'un.

Tetsuo continue également à se battre, mais souffre tant physiquement que psychologiquement, il a tant de sang sur les mains. Notre couple soudé fait la couverture, ne sont-ils pas mignon ensemble ? Nous aurions tellement envie qu'ils s'échappent et puissent recommencer ailleurs.

Le sentiment de prison, d'être ligoté sans rien pouvoir faire, changer, est très bien rendu en ce qui concerne Kasen, également par les planches où on voit les liens se formaient autour d'elle. Tetsuo l'a déjà sauvé une fois, elle ne s'attendait malheureusement pas à ressentir à nouveau cette emprise dans sa chair.

Un village si cruel, si manipulé, et un peuple qui écoute et boit cela comme du petit lait, qui ne sont même pas choqués par certains faits. Non, ils sont complètement soumis au culte.

L'idée aussi machiavélique que terrible est de se faire confronter les deux clans qui pourrissent la vie de notre chère famille : les yakuza et le peuple de ce village.

Bien sûr, une fois que l'on croit quelque chose, que les esprits se déchaînent, impossible de les calmer, même si certains voient plus le loin que le bout de leur nez, c'est loin d'être le cas de tout le monde.

Le lecteur est totalement happé par se lecture, il passe par de multiples sensations, y compris de la peur.

Que va-t-il se passer ? Comment les personnages vont avancer leurs pions ? Dans quel état ? Quels choix cruels vont devoir être fait ?

Un thriller haletant et de bonne facture.

Dans ce septième tome de My Home Hero, Tetsuo fait la connaissance des garçons qui gravitent autour de sa fille. L’un d’eux est forcément envoyé par la pègre, mais qui sont les autres, et pourquoi s’intéressent-ils soudain à Reika ?



Ce tome commençait mal, avec le côté midinette entourée par quatre prétendants qui évoquait davantage un shojo qu’un seinen, mais contre toute attente, c’est celui que j’ai préféré jusqu’à maintenant, et qui apporte (enfin) le second souffle nécessaire à ce manga.



Les motivations de Kanai sont assez mièvres, mais elles ont le mérite de bouleverser un peu l’ordre établi et d’amener de nouveaux enjeux, ainsi que de nouvelles alliances. Je trouve néanmoins dommage d’avoir introduit les quatre garçons exactement le même jour. Sachant qu’ils ont tous des motivations différentes, le hasard est trop gros.



Je ne comprends pas non plus comment Tetsuo a pu être identifié aussi facilement par un parfait inconnu grâce au roman qu’il a écrit. D’ailleurs, le roman… Je ne l’ai pas spécifiquement évoqué dans ma précédente chronique, mais je le compte parmi les actions débiles que je lui reproche. Il fallait tellement s’attendre à ce que ça tourne mal que j’ai envie de lui dire d’aller se jeter directement dans une cellule, parce qu’une partie de lui fait tout pour en arriver là ! Comment peut-on mettre au point des stratégies aussi élaborées et se montrer en parallèle si stupide, si inconscient ?



Vous l’aurez compris, plus j’avance, moins je supporte Tetsuo. En revanche, j’apprécie toujours autant Kasen, elle m’a fait rire aux éclats avec son couteau. Et Kyôichi… Aaah, Kyôichi ! J’ai déjà dit que j’adorais ce personnage ? Cette classe ! Ce charisme ! Je suis heureuse qu’il soit de retour, un tome sans lui, c’était beaucoup trop long ! Même s’il semble avoir un plan, je m’inquiète de ce que l’avenir lui réserve. Quant à Shiraku, je dois avouer qu’il m’intrigue, il est le seul dont le rôle reste pour l’heure mystérieux.



Dans l’ensemble, et malgré les défauts récurrents, j’ai vraiment passé un bon moment avec ce tome, qui a ravivé mon intérêt pour le manga. J’hésitais à poursuivre ma lecture, mais il m’a convaincue de continuer (surtout grâce à Kyôichi, je le reconnais).
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Tetsuo est prêt à se rendre dans ce sixième tome de My Home Hero, mais y renonce en comprenant qu’il a besoin d’être libre et en vie pour continuer à protéger sa famille. Matori, cependant, est bien décidé à lui faire payer la mort de son fils.



Le premier chapitre a été une véritable surprise, je ne m’attendais pas à ce que le face à face entre Tetsuo et Matori se déroule ainsi, et pourtant, à bien y réfléchir, c’était une évidence. Comme quoi, les couvertures sont parfois trompeuses…



Passée cette entrée en matière, les choses se tassent, et c’est un tome plus calme que l’on découvre, après le rythme effréné du précédent… jusqu’à ce que les ennuis reviennent frapper à la porte de Tetsuo.



Malheureusement, je ne peux pas dire que ce manga trouve le second souffle que j’espérais pour lui. L’intrigue rebondit, certes, mais pour repartir sensiblement sur le même chemin. Autant j’apprécie le fait de mettre en avant l’idée qu’on ne peut pas commettre un crime impunément et aspirer à reprendre une vie normale, autant cette rengaine commence à devenir lassante.



Et surtout, Tetsuo m’apparaît de plus en plus stupide. Si je trouvais jusqu’à présent ses stratégies aussi complexes que faillibles, je les trouve cette fois juste consternantes. Après tout ce qu’il a élaboré, il se contente d’aller au plus simple, ce qui ne serait pas un défaut en soi… s’il ne fonçait pas tête baissée vers la case prison. Qu’est-ce qu’il espérait en venant se balader à flanc de montagne, hormis se faire repérer ? Il aurait presque pu prendre une flèche fluorescente avec lui pour la braquer sur sa tête !



Et l’inspecteur, j’imagine que c’est le nouveau Kyôichi ? Celui qui voit clair dans le jeu de Tetsuo au premier coup d’œil ? Et en parlant de Kyôichi… Qu’est-ce qu’il m’a manqué ! (Insérez ici un sanglot.) J’espère qu’on le reverra très vite !



Et Reika… Non, décidément, ça ne passe pas. Je sais bien qu’elle n’est pas au courant de tout, qu’elle ne se prend pas autant la tête que ses parents, qu’elle est jeune et surtout que ce n’est pas sa faute si elle est la cible de la pègre, mais tout ce qu’elle continue à m’inspirer, c’est l’envie de l’attraper par les épaules et de la secouer comme un prunier en lui hurlant d’arrêter d’attirer plus d’ennuis qu’elle n’en a déjà provoqués.



En conclusion, je dirais que c’est un tome moyen, pas tant parce qu’il est moins riche en suspens que parce que l’intrigue semble se répéter, et l’absence de Kyôichi ne m’a pas aidée à l’apprécier. Le tome 7 est le dernier de ma PAL, je croise les doigts pour qu’il m’incite à poursuivre la lecture de ce manga, et non qu’il finisse de me lasser.
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